Rick Gekoski
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Rick Gekoski
Rick Gekoski, né le 25 août 1944, est un écrivain, un marchand de livres rares et un universitaire.
Il a écrit plusieurs textes de non-fiction dont notamment Staying Up, Tolkien Gown, Outside of a Dog et Lost, Stolen or Shredded.
Son premier roman, Darke, a été publié en 2017 quand Gekoski avait 72 ans, et a été shortlisté pour le Author's Club Best First Novel Award.
Source: Editeur
son site
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Rick Gekoski
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A Long Island Story / Long Island Story
J’ai fait en tout cas une nouvelle fois le tour des familles aux secrets multiples, les faubourgs avec les rôles bien définies, les hommes vont travailler, les femmes s’occupent du foyer et des enfants. On se retrouve dans les années 50 avec tout ce que cela voulait dire. Avec un sénateur McCarthy en cerise sur le gâteau.
Puisque ce genre d’histoire m’attire encore, je ne pouvais pas résister.
Je ne ressors pas déçue… mais pas trop enthousiaste non plus.
Disons, c’est un bon roman, rien à dire contre son style, il tient bien les différents fils de son scénario. Mais il m’a manqué un petit je ne sais pas trop. Cela semble un peu trop plat… trop ennuyeux.
Je ne veux pas être déloyal, cela se peut que j’aie peut-être lu trop d’autres romans avec ce sujet, mais il n’arrive en effet pas de surpasser une de mes anciennes lectures…
Dommage… j’aime bien le son de Long Island et la couverture de la version française est sublime, mais malheureusement voilà des points qui ne suffisent pas de me convaincre qu’il s’agit d’un roman coup de cœur.
A Long Island Story / Long Island Story
Je ne saurais même plus dire combien de romans dans une veine similaire que j’ai lu. Beaucoup. Et il semble que cette envie de retrouver ces trames si typiquement américaines ne se rassasie pas.Présentation de l’éditeur
Dans la lignée de Brooklyn de Colm Tóibín et de La Fenêtre panoramique de Richard Yates, la chronique subtile et nostalgique d'un couple en pleine crise, sur fond de persécution maccarthyste. Rick Gekoski livre un roman d'une maîtrise impressionnante, flirtant avec l'autofiction, une œuvre aussi douce-amère que lumineuse.
En cet été caniculaire 1953, les Grossman déménagent, préférant quitter l'agitation politique de Washington pour une tranquille vie de banlieue à Long Island.
L'occasion pour eux de s'éloigner de la paranoïa anticommuniste, de regarder enfin grandir les enfants, de se retrouver.
Mais cet été qui n'en finit plus de languir va révéler de profondes failles. L'ennui s'installe et, avec lui, les non-dits, les infidélités, les frustrations. Quoi ? Est-ce là tout ce que la vie a à leur offrir ? Pourquoi le couple est-il venu se terrer ici ? Que partagent-ils encore qui vaille la peine de se battre ?
J’ai fait en tout cas une nouvelle fois le tour des familles aux secrets multiples, les faubourgs avec les rôles bien définies, les hommes vont travailler, les femmes s’occupent du foyer et des enfants. On se retrouve dans les années 50 avec tout ce que cela voulait dire. Avec un sénateur McCarthy en cerise sur le gâteau.
Puisque ce genre d’histoire m’attire encore, je ne pouvais pas résister.
Je ne ressors pas déçue… mais pas trop enthousiaste non plus.
Disons, c’est un bon roman, rien à dire contre son style, il tient bien les différents fils de son scénario. Mais il m’a manqué un petit je ne sais pas trop. Cela semble un peu trop plat… trop ennuyeux.
Je ne veux pas être déloyal, cela se peut que j’aie peut-être lu trop d’autres romans avec ce sujet, mais il n’arrive en effet pas de surpasser une de mes anciennes lectures…
Dommage… j’aime bien le son de Long Island et la couverture de la version française est sublime, mais malheureusement voilà des points qui ne suffisent pas de me convaincre qu’il s’agit d’un roman coup de cœur.
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Re: Rick Gekoski
Pas de problème, ma LAL est suffisamment pourvue !
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"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
Liseron- Messages : 4115
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Rick Gekoski
Liseron a écrit:Pas de problème, ma LAL est suffisamment pourvue !
Oui on passera notre chemin alors...
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3431
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