Shuichi Yoshida
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Shuichi Yoshida

Né en 1968 à Nagasaki, Yoshida Shuichi suit des études de gestion à l’Université Hosei à Tôkyô, avant de commencer à écrire,
En 1997, il obtient le prix Bungakkai du premier roman pour Saigo no musoko (Le Dernier fils »).
Depuis il a publié de nombreux romans, plusieurs ont été couronnés par des prix littéraires. »
Source : Éditeur
Dernière édition par kenavo le Ven 7 Mai - 2:21, édité 1 fois
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George Gershwin
Re: Shuichi Yoshida
Illustratrions : Emilie Protière

Park Life
Aucun doute possible – j’ai acheté ce livre à cause de la version illustrée… et la couverture a joué un rôle puisque je la trouvais trop attrayante.
Mais avant l’achat, j’aurais dû jeter un œil sur les lectures de @eXPie
Et c’est tout à fait cela – sympathique.
On suit les déambulations de ce jeune homme et je dois avouer que je me suis laissée prendre au jeu. Je trouvais ces sorties agréable à lire.
Mais oui, c'est difficile de comprendre le gain du prix Akutagawa.
Peut-être sans ce prix on pourrait entamer cette lecture comme le dit si bien la maison d’édition « une bouffée d’air pur ». En sortant de ce roman mes ressentis sont en effet très positifs et j’ai adoré ce séjour au dans ce parc.
Mais je pense que je vais aussi l’oublier très vite.
Je vais plutôt garder un œil sur d’autres œuvres de l’illustratrice Emilie Protière que de l’auteur.

Park Life
Présentation de l’éditeur
Ce petit roman est une bouffée d’air pur, un air venu du parc de Hibiya à Tokyo, où l’on pénètre sur les pas d’un employé légèrement excentrique, et soudain « l’exhalaison de terre et d’herbe vous chatouille les narines ». Là, il croise une triathlonienne consommatrice de bains moussants, rencontre un vieil homme qui fait voler un capricieux aérostat, rêve, médite, s’exerce à chambouler la perspective pour voir le monde autrement. Il arrive que s’y nouent des idylles, à peine plus tangibles que le bruissement des pigeons qui s’envolent. Ce récit a le charme des parenthèses qui s’ouvrent dans la vie pour laisser entrer l’enchantement, comme un léger vertige teinté de déraison. La ville n’est pas loin, les buildings cernent l’horizon, mais dans cet espace clos et protégé, se jouent les menues aventures qui donnent son goût unique à l’existence, la petite musique d’un grand parc au coeur d’une immense capitale.
Park Life a été couronné en 2002 du prix Akutagawa, le Goncourt japonais.
Aucun doute possible – j’ai acheté ce livre à cause de la version illustrée… et la couverture a joué un rôle puisque je la trouvais trop attrayante.
Mais avant l’achat, j’aurais dû jeter un œil sur les lectures de @eXPie
(dans d’autres lieux)eXPie a écrit:En conclusion : un tout petit roman très lisible, sympathique (car court), mais vraiment anecdotique. A le lire, on n'imaginerait pas un instant (car sa lecture ne prend pas tellement plus de temps) qu'il ait pu remporter le prix Akutagawa...
Et c’est tout à fait cela – sympathique.
On suit les déambulations de ce jeune homme et je dois avouer que je me suis laissée prendre au jeu. Je trouvais ces sorties agréable à lire.
Mais oui, c'est difficile de comprendre le gain du prix Akutagawa.
Peut-être sans ce prix on pourrait entamer cette lecture comme le dit si bien la maison d’édition « une bouffée d’air pur ». En sortant de ce roman mes ressentis sont en effet très positifs et j’ai adoré ce séjour au dans ce parc.
Mais je pense que je vais aussi l’oublier très vite.
Je vais plutôt garder un œil sur d’autres œuvres de l’illustratrice Emilie Protière que de l’auteur.
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