Chiara Mezzalama
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Re: Chiara Mezzalama
Après avoir terminé la lecture de l’album Valentin de toutes les couleurs pour lequel j’avais prévu de n’ouvrir qu’un fil pour l’illustrateur Reza Dalvand, j’étais quand même si impressionnée par le texte et ainsi j’ai lancé une petite recherche.
Voilà que je n’ai non seulement découvert que j’avais déjà lu une histoire d’elle… mais en plus, ces événements se trouvent aussi dans un roman… et hep, une autre lecture à faire
Voilà que je n’ai non seulement découvert que j’avais déjà lu une histoire d’elle… mais en plus, ces événements se trouvent aussi dans un roman… et hep, une autre lecture à faire
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George Gershwin
Re: Chiara Mezzalama
Illustrations: Reza Dalvand
Valentin de toutes les couleurs
Reza Dalvand dédicace cet album à « ceux qui sont différents et fiers de leur différence. »
Si vous avez des jeunes autour de vous qui ne savent pas encore en être fier de leur différence, en voici l’album qui pourrait les aider de faire ce pas.
En ce qui concerne l’album – histoire nickel et des illustrations qui m’ont enthousiasmées. Quelle belle découverte.
Je ne vais pas m’arrêter ici, je continue avec Reza Dalvand.
Valentin de toutes les couleurs
Présentation de l’éditeur
Valentin aime les couleurs, il aime colorer sa vie : le jaune pour les jours de pluie, le rose pour l’amitié. Ses amies, c’est plutôt des filles, car avec les garçons, c’est plus compliqué : il n’aime pas la bagarre, ni jouer au ballon,
et il est moqué, souvent, pour ses tenues trop colorées ou ses manières gentilles. Pour se réconforter, Valentin sort sa machine à coudre. Tandis qu’il coud, le temps est suspendu. Peut-on recoudre l’amitié ?
Reza Dalvand dédicace cet album à « ceux qui sont différents et fiers de leur différence. »
Si vous avez des jeunes autour de vous qui ne savent pas encore en être fier de leur différence, en voici l’album qui pourrait les aider de faire ce pas.
En ce qui concerne l’album – histoire nickel et des illustrations qui m’ont enthousiasmées. Quelle belle découverte.
Je ne vais pas m’arrêter ici, je continue avec Reza Dalvand.
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George Gershwin
Re: Chiara Mezzalama
Illustrations: Régis Lejonc
Le jardin du dedans-dehors
La guerre en Iran en 1979, je fais partie de la génération qui a vu les images chaque soir à la télé…et je m’en rappelle.
Mais cet album n’est pas là pour seulement raconter ces faits, il fait bien plus.
Chiarra Mezzalama n’était pas devant la télé, elle se trouvait dans l’ambassade de l‘Italie en Iran lors de ces années et le jardin était son aire de jeu, le seul endroit où elle pouvait passer son temps en dehors de la maison.
Derrière les murs il y avait un « dehors » trop effrayant.
Histoire d’une amitié inhabituel, des images de Régis Lejonc qui redonnent très bien cette atmosphère du ‘sécurité-danger’…
Impressionnant
Le jardin du dedans-dehors
Raconter la guerre sans montrer une image violente, c’est déjà un défi.Présentation de l’éditeur
La famille de Chiara part s’installer dans un pays lointain. Là où ils vont, Chiara n’est pas sûre qu’il y ait des jouets. Là où ils vont, il y a un dedans et un dehors.
Le dedans, c’est ce jardin luxuriant, sauvage, où se promenaient autrefois des princes et des princesses, des vrais.
Le dehors, c’est la ville noire, la ville monstre, les soldats aux grosses bottes et grandes barbes, les bombes. La guerre.
Un jour, un garçon venu du dehors escalade le mur du jardin. S’il semble d’abord une menace, il devient bientôt pour Chiara un ami, le prince persan avec qui elle s’évade de sa prison dorée…
Inspiré par l’enfance de l’auteure, dont le père fut nommé ambassadeur d’Italie à Téhéran en 1979, ce texte raconte un pays frappé par la guerre, d’où l’amitié surgit malgré les murs qui s’érigent.
La guerre en Iran en 1979, je fais partie de la génération qui a vu les images chaque soir à la télé…et je m’en rappelle.
Mais cet album n’est pas là pour seulement raconter ces faits, il fait bien plus.
Chiarra Mezzalama n’était pas devant la télé, elle se trouvait dans l’ambassade de l‘Italie en Iran lors de ces années et le jardin était son aire de jeu, le seul endroit où elle pouvait passer son temps en dehors de la maison.
Derrière les murs il y avait un « dehors » trop effrayant.
Histoire d’une amitié inhabituel, des images de Régis Lejonc qui redonnent très bien cette atmosphère du ‘sécurité-danger’…
Impressionnant
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George Gershwin
Re: Chiara Mezzalama
Le jardin persan
Le hasard fait parfois très bien les choses. Et pour ce roman, faut dire que je suis très contente de la découverte. Grand coup de cœur.Présentation de l’éditeur
Eté 1981, une famille prépare ses valises pour se rendre dans un lieu insolite. Le père, diplomate, a été nommé ambassadeur d'Italie à Téhéran. Dès l'arrivée à l'aéroport les personnages sont projetés dans un univers plein de violence, d'interdits, de femmes voilées en noir, d'hommes barbus et de soldats armés. Tous sont dominés par la figure puissante et énigmatique de l'Ayatollah Khomeiny.
Dans cette atmosphère sombre s'ouvre un lieu enchanté : le jardin de l'ambassade, ancienne demeure de princes persans, qui cache des mystères et la promesse de jeux sans fin, dans un espace hors du temps, le temps de l'enfance et où toutes les relations avec l'extérieur sont gravement menacées par la situation historique et politique de l'Iran de l'époque.
Roman autobiographique, Le Jardin persan, raconte l'histoire d'une famille projetée dans un pays bouleversé par la Révolution Islamique et la guerre contre l'Irak. Face à une réalité dure et cruelle le regard de l'enfance permet de garder une délicatesse et une candeur attachantes. Le jeu devient un espace de découverte d'émotions et d'idées, transformant la vie quotidienne en une grande aventure et marquant la fin de l'âge de l'insouciance.
En quelque sorte j’avais des images de Régis Lejonc en tête lors de la lecture… mais après un bout de temps j’ai lancé une recherche pour voir à quoi cette ambassade ressemblait dont Chiara Mezzalma parlait. Et surtout ce jardin.
Je comprends son enchantement, en tant qu’enfant elle a dû être sous le charme. Et elle transforme ses vécus en un récit envoûtant. La magie se dégage de ces pages et le lecteur ne peut qu’aimer sa lecture
À côté de ses écrits pour la jeunesse, elle peut continuer de publier de tels récits… je suis conquise.
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George Gershwin
Re: Chiara Mezzalama
Ils ont l'air très soignés ces albums. Ca accroche en tout cas...
Aeriale- Messages : 11934
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Chiara Mezzalama
Illustrations : Régis Lejonc
La robe de soie
Quelle joie de découvrir un autre album de ce duo.
J’aime autant les histoires (souvenirs) de Chiara Mezzalama que les images de Régis Lejonc.
Bien que les souvenirs de Chiara sont tristes pour cet album… mais de la tragédie naît quand même de l’espoir… et surtout ce très beau livre.
Voilà comment rendre témoignage de façon extraordinaire et garder des bouts de souvenirs de famille.
Extra !
La robe de soie
Présentation de l’éditeur
Dans la grande maison rouge était cachée, au fond d’une armoire, une boîte en carton. Et dans cette boîte, une robe de soie chinoise d’un rouge flamboyant. Elle était si belle que la fillette avait eu envie de l’essayer.
« Nonna, regarde ce que j’ai trouvé ! »
« Comment as-tu osé toucher à cette robe ? Enlève-la immédiatement ! » cria sa grand-mère.
L’enfant se mit à pleurer. Elle ne comprenait pas. Quels fantômes du passé avait-elle réveillé en enfilant cette robe ?
Par le truchement de la bouleversante relation d’une fillette et de sa grand-mère, Chiara Mezzalama ressuscite un passé familial douloureux, rappelant qu’en temps de guerre, l’enfance n’est dans aucun camp, si ce n’est celui de la peur, du chagrin et de la perte.
Quelle joie de découvrir un autre album de ce duo.
J’aime autant les histoires (souvenirs) de Chiara Mezzalama que les images de Régis Lejonc.
Bien que les souvenirs de Chiara sont tristes pour cet album… mais de la tragédie naît quand même de l’espoir… et surtout ce très beau livre.
Voilà comment rendre témoignage de façon extraordinaire et garder des bouts de souvenirs de famille.
Extra !
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George Gershwin
Re: Chiara Mezzalama
Illustrations: Mariachiara Di Giorgio
Peur à peur
Très belle histoire qui est si bien installée dans la ville des Doges.
Cette rencontre entre la fillette et le pigeon est extra. Et va emporter le lecteur dans bon nombre de possibilités.
La solution porposé par Chiara Mezzalama est très bonne.
Les illustrations de Mariachiara Di Giorgio sont sublimes.
Quel bel album !
Peur à peur
Oh, voilà quelqu’un qui aime bien Venise.Présentation de l’éditeur
Elle habite Venise, lui aussi. La fillette a terriblement peur des pigeons, le pigeon a terriblement peur des enfants. Leur rencontre est pourtant inévitable... Sauront-ils dépasser leur peur de l'autre ?
Très belle histoire qui est si bien installée dans la ville des Doges.
Cette rencontre entre la fillette et le pigeon est extra. Et va emporter le lecteur dans bon nombre de possibilités.
La solution porposé par Chiara Mezzalama est très bonne.
Les illustrations de Mariachiara Di Giorgio sont sublimes.
Quel bel album !
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