Angus Wilson

Angus Frank Johnstone Wilson, né le 11 août 1913 à Bexhill dans le Sussex et mort le 31 mai 1991 à Bury St Edmunds dans le Suffolk, est un écrivain britannique, auteur de romans, de nouvelles et d'essais.

Lauréat du James Tait Black Memorial Prize pour The Middle Age of Mrs Eliot (Les Quarante Ans de Mrs Eliot), il fut anobli par la reine Élisabeth II et reçut la distinction de commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique.


source et suite

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The Middle Age of Mrs Eliot / Les quarante ans de Mrs Eliot

Présentation de l’éditeur
C'est l'histoire de Mrs Eliot, élégante et riche Londonienne qui, devenue veuve et pauvre, apprend à taper à la machine. Mieux que cela, c'est l'histoire d'une femme intelligente et charmante, mais égoïste et dominatrice qui, prenant conscience de ce qu'elle est, va s'efforcer de se conduire de façon à ménager les gens qu'elle estime. La mort de son mari constitue un premier choc... Pour finir, elle s'apercevra qu'elle est impuissante à s'amender, mais cela n'ira pas sans expériences diverses, car Meg est plus qu'un caractère romanesque, c'est un personnage total, une Emma Bovary d'un nouveau genre, une réalité humaine émouvante et profonde.

Trouvé dans le livre Rosie de Rose Tremain:

my old friend and mentor Angus Wilson

et cela m‘a rappelé ce roman de lui que j‘ai commencé en 2019 et comme vous le savez, j‘ai souvent des romans que je lis, délaisse, reprend, met de côté… et ainsi celui-ci m‘a accompagné pendant un bon bout de temps. Mais je viens de le terminer  – grâce à cette connaissance avec Rose Tremain. Je ne saurais pas si je l‘aurais repris autrement.

Ma réticence de lire ce livre d‘un trait est certainement dû au style de l‘auteur.

C‘est du „slow motion“ in extremis!

Je veux bien des descriptions de tout et de rien, mais ici j‘avais l‘impression que l‘auteur s‘éparpille un peu trop.

La première partie (de trois) raconte dans tous les détails une journée de Mrs Eliot – par après on a l‘impression d‘en avoir partagé un mois avec elle.

Ce n‘est pas déplaisant à lire, mais faut être en mode zen pour un tel exercise.

En tout une expérience de lecture qui va me rester certainement en mémoire, surtout le dernier chapitre en vaut l‘expérience. L‘évolution du personnage principal est intéressant.

kenavo a écrit:C‘est du „slow motion“ in extremis!

Je veux bien des descriptions de tout et de rien, mais ici j‘avais l‘impression que l‘auteur s‘éparpille un peu trop.

La première partie (de trois) raconte dans tous les détails une journée de Mrs Eliot – par après on a l‘impression d‘en avoir partagé un mois avec elle.

Arf! Je ne connaissais pas l'expression mais je sais déjà que ce n'est pas pour moi

Merci quand même Kena!

(La couverture au dessus est bien jolie, cependant)

Je crois bien avoir lu un truc de lui il y a longtemps, faut que je cherche.