Célia Houdart
3 participants
Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature française :: Auteurs nés à partir de 1941
Page 1 sur 1
Re: Célia Houdart

Tout un monde lointain
Une fois de plus je rencontre un auteur qui va publier un nouveau roman en octobre et que je voulais découvrir à travers un autre livre.Présentation de l’éditeur
Un été à Roquebrune-Cap-Martin, deux jeunes gens, Louison et Tessa, entrent clandestinement dans la villa E.1027, la villa blanche conçue par l’architecte et designer irlandaise Eileen Gray.
Gréco, une femme âgée, décoratrice, veille avec un soin amoureux sur cet endroit. Un jour, elle y surprend les deux jeunes squatteurs, danseurs au style néo-hippie. Gréco est aussi sobre et pudique qu’eux sont sensuels, dénudés et volcaniques. Ils s’opposent, s’apprivoisent. Ce roman est l’histoire de leur rencontre...
Quelle belle rencontre, je suis sous le charme de la plume de Célia Houdart.
Ou peut-être je suis fascinée par cette villa E-1027, quelle beauté !
Gréco est un personnage énigmatique, bien qu’on est pendant la plupart du roman près d’elle. Elle garde un côté secret. Mais cela ajoute à la fascination du récit.
Tout comme ce jeune couple dont on ne sait pas s’il y a du danger dans leur sillage. Ils sont en tout cas entouré de plein de mystère.
C’est une lecture fascinante, on est happé par ce beau monde et on a envie de partager quelques jours près de la mer, dans cette maison…
J’en ressors émerveillée et partante de découvrir d’autres livres de Célia Houdart.
Dernière édition par kenavo le Ven 1 Oct - 5:19, édité 1 fois
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Célia Houdart
Je suis bien curieuse de ce livre aussi ! On a visité cette villa avec @Aeriale il y a 3 ans. Un endroit assez incroyable. Alors j'aimerais lire un roman qui s'y passe. Je le note pour bientôt.
_________________
'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3213
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Célia Houdart
ah oui, si tu connais le lieu, la lecture s'impose 

_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Célia Houdart
Mais oui... un très bon souvenir! J’aimerais bien aussi me le procurer, un lieu magique..domreader a écrit:Je suis bien curieuse de ce livre aussi ! On a visité cette villa avec @Aeriale il y a 3 ans. Un endroit assez incroyable. Alors j'aimerais lire un roman qui s'y passe. Je le note pour bientôt.
Noté aussi :-)
Aeriale- Messages : 10768
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Célia Houdart

Villa Crimée
Présentation de l’éditeur
Les 212 fragments qui composent ce livre répondent aux 212 fenêtres des bâtiments du 168, rue de Crimée, dans le dix-neuvième arrondissement de Paris qui, d’un geste un peu miraculeux, réunit 31 logements sociaux dont 7 ateliers d’artistes, autour d’une cour pavée.
Points de vue sur une architecture contemporaine (Agence Metek-Sarah Bitter avec Christophe Demantké) et sur la vie rêvée de ses futurs habitants, en même temps que coups de sonde dans le passé d’un quartier parisien.
Série de visions, de fictions : un labyrinthe de traits sur un plan d’architecte, un toit-manteau de cuivre gold. Un couple qui dort à la belle étoile sur une loggia, le piano d’Anton Tchekhov dans sa Datcha Blanche.
Après la villa E-1027, on retrouve Célia Houdart une fois de plus avec un sujet autour de l’architecture.
Ce bâtiments du 168, rue de Crimée est très différent de la villa et surtout sa façon de s’en approcher en est une autre. Mais j’ai eu autant de plaisir de visiter ces logements à Paris que vivre dans la villa près de la Méditerranée.
J’ai vu dans une interview que Célia Houdart parle ici pour la première fois dans un de ses romans en « je ». Elle habite en plus le quartier. Ainsi, bon nombre de ses ‘fragments’ sont assez personnels. Et cela lui réussi très bien.
J’ai en tout cas adoré chacun de ses 212 « instantanés » qui forment ce livre.
Plus que jamais conquise, je continue avec elle…
168 rue Crimée, à Paris 19e




_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Célia Houdart

Journée particulière
Présentation de l’éditeur
C’est le récit d’une étrange demande que formule un jour un ami photographe, Alain Fonteray, à Célia Houdart : qu’elle écrive le récit d’une rencontre unique, qui le hante.
Plusieurs années auparavant, celui-ci croise par hasard dans Paris le grand photographe américain Richard Avedon : dans un café, un homme, assis un peu plus loin, se lève, s’approche d’Alain Fonteray et d’une amie et leur demande s’il peut faire leur portrait. L’inconnu les remercie et s’en va avec une femme rousse. Quelques minutes plus tard, la femme rousse revient dire à Alain Fonteray que l’homme qui les a pris en photo est Richard Avedon. Alain Fonteray, qui admire énormément l’artiste américain, ne l’a pas reconnu. Il le rejoint à un passage piéton. À l’issue d’un bref échange, Richard Avedon accepte à son tour d’être photographié par Alain Fonteray, dans le même café.
Près de trente ans plus tard, Alain Fonteray est toujours hanté par cette rencontre. Célia Houdart fait le récit de sa « journée particulière », sans savoir exactement pourquoi, mais avec le pressentiment d’un mystère. Elle revient sur les lieux de ce double portrait, consulte des catalogues pour mieux connaître l’œuvre de Richard Avedon. Se met en quête de témoignages de proches du photographe américain. Elle tente de saisir la raison pour laquelle cette journée comptait à ce point pour Alain Fonteray. « Faire le récit de cette rencontre fugitive avec Richard Avedon me l’a rendue encore plus profonde et mystérieuse, écrit-elle. C’était tenter à ma manière de la sauver de l’oubli, et cela m’a offert l’occasion, par un jeu de reflets et de surimpressions, profitant du trouble dans lequel cette enquête me plongeait, d’explorer des épisodes de ma propre vie et de mon enfance dans les coulisses des théâtres, auprès de mes parents comédiens. Je croyais regarder un autre. Je ne voyais pas, dans cette glace à plusieurs faces, mon propre reflet. »
J’ai a-d-o-r-é ma première rencontre avec Célia Houdart, oui, je l’avoue, probablement la villa E.1027 avait un impact, mais reste que son roman autour de cette maison est fabuleux.
J’ai beaucoup aimé ma deuxième lecture autour de cette Villa Crimée.
En voyant la présentation de l’éditeur pour ce nouveau roman, j’étais certaine d’un autre coup de cœur. Une sorte d’un biopic en plus la photographie, j’étais tout de suite partante pour découvrir.
Et ben, les attentes étaient probablement un peu trop hautes.
Le pire, je ne peux même pas dire exactement ce qui ne collait pas, mais cette fois-ci la magie n’a en effet pas opéré.
Peut-être c’est le moment de faire une petite pause avec cette auteure et la retrouver de plus belle dans un autre livre.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Célia Houdart
Bon, on retient surtout ses incursions dans les lieux mythiques alors!
Merci pour ton post ;-)
Merci pour ton post ;-)
Aeriale- Messages : 10768
Date d'inscription : 30/11/2016
Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature française :: Auteurs nés à partir de 1941
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|