David Grann
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Re: David Grann
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The White Darkness
Et ben, il y a de ces « héros » que je ne peux pas comprendre, bien que je dois avouer d’avoir tout plein de respect pour leur exploit.
Henry Worsley possédait certainement un degré de volonté qui m’est totalement, mais vraiment totalement, inconnu.
Mais surtout derrière mon respect il y a la grande question « à quoi bon ? ».
Vraiment !
Je peux comprendre qu’on a besoin d’un challenge, je veux bien qu’il y ait une envie de tenter l’impossible… mais pourquoi il y a des gens qui se délectent à se faire du mal ? Cela me dépasse.
L’Antarctique se fout royalement de qui va arriver de la traverser alors pourquoi il y a quelqu’un qui a besoin de se mettre cette flagellation sur son plan de vie?
Voilà des idées de vie qui ne sont décidément pas pour moi, mais David Grann a raconté une histoire extra et il rend un bel hommage à cet homme qu’était Henry Worsley.
Beaucoup de photos accompagnent ce récit.
Le team de Shakleton
et 100 ans plus tard, le team Worsley
The White Darkness
Présentation de l’éditeur
Comme souvent dans les récits de David Grann, un homme est dévoré par son idéal. Ce personnage d'un autre temps sorti tout droit d'un film de Werner Herzog, se nomme Henry Worsley.
The White Darkness raconte son extraordinaire histoire. Celle d'un militaire britannique fasciné par l'exemple d'Ernest Shackleton (1874-1922) et par ses expéditions polaires ; un homme excentrique, généreux, d'une volonté exceptionnelle, qui réussira ce que Shackleton avait raté un siècle plus tôt : relier à pied une extrémité du continent à l'autre.
Une fois à la retraite, il tentera d'aller encore plus loin en traversant l'Antarctique seul, sans assistance.
Il abandonne tout près du but, dans un état de santé tel qu'il meurt quelques heures après son sauvetage.
Édifiant destin d'un homme perdu par une quête d'impossible, qui n'est pas sans rappeler Percy Fawcett, autre explorateur guidé par une obsession, dont David Grann avait conté l'histoire dans La Cité perdue de Z.
"Tout le monde a son Antarctique', a écrit Thomas Pynchon, rien n'est moins vrai dans ce récit magnifique qu'on ne peut lâcher avant de l'avoir accompagné jusqu'à son terme.
Et ben, il y a de ces « héros » que je ne peux pas comprendre, bien que je dois avouer d’avoir tout plein de respect pour leur exploit.
Henry Worsley possédait certainement un degré de volonté qui m’est totalement, mais vraiment totalement, inconnu.
Mais surtout derrière mon respect il y a la grande question « à quoi bon ? ».
Vraiment !
Je peux comprendre qu’on a besoin d’un challenge, je veux bien qu’il y ait une envie de tenter l’impossible… mais pourquoi il y a des gens qui se délectent à se faire du mal ? Cela me dépasse.
L’Antarctique se fout royalement de qui va arriver de la traverser alors pourquoi il y a quelqu’un qui a besoin de se mettre cette flagellation sur son plan de vie?
Voilà des idées de vie qui ne sont décidément pas pour moi, mais David Grann a raconté une histoire extra et il rend un bel hommage à cet homme qu’était Henry Worsley.
Beaucoup de photos accompagnent ce récit.
Le team de Shakleton
et 100 ans plus tard, le team Worsley
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