Mimei Ogawa
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Mimei Ogawa
Mimei Ogawa (小川 未明), né le 7 avril 1882 et décédé le 11 mai 1961, est un écrivain japonais.
Auteur de célèbres contes de fée, il est parfois comparé à Hans Christian Andersen.
Biographie
Mimei Ogawa est né en 1882 à Takada (préfecture de Niigata). Il étudie la littérature anglaise à l'Université Waseda dont il est diplômé en 1905. Sa sensibilité littéraire, romantique et humaniste, ne correspond alors pas au courant dominant à l'époque, le naturalisme (dans son acception japonaise, différente de l'occidentale).
Il est par la suite l'un des premiers auteurs japonais à écrire à destination des enfants, des contes où il développe sa vision d'une nature cruelle.
Il obtient le prix Noma en 1946.
Source: Wikipédia
Dernière édition par Kenavo le Lun 23 Jan - 8:08, édité 1 fois
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George Gershwin
Re: Mimei Ogawa
Le marchand de pierres précieuses
Présentation de l'éditeur
Peu connu en Europe, Ogawa Mimei est le maître incontesté du conte enfantin dans la littérature moderne au Japon. À travers ce conte-ci, défile une impressionnante galerie d’émotions à travers des thèmes classiques du folklore japonais tels que les fantômes prenant l’apparence d’êtres humains pour éprouver le coeur des hommes, et l’absence de capacité de ceux-ci à tirer la leçon des évènements surnaturels.
L’histoire est celle d’un marchand qui achetait des pierres précieuses pour les revendre, un jour qu’il voyageait dans une tempête de neige…
La princesse rouge et le prince impérial noir
Présentation de l'éditeur
Ogawa Mimei est au Japon le maître incontesté du conte pour enfants. Fantômes et démons sont dans ses récits une figure traditionnelle récurrente pour donner aux vivants des leçons dont ils tiennent rarement compte. Les contes relatent souvent la rencontre heureuse d’une princesse merveilleusement belle et d’un prince courageux et intelligent après de dures épreuves, et celui-ci commence de la même façon par la négociation d’un mariage princier. Mais la princesse cette-fois ci ne prête pas foi à ce qu’on lui rapporte de son futur et décide de mener sa petite enquête…
Lors de ma lecture du tome 6 du Maître des livres, j’ai rencontré le nom de cet auteur. Et ma curiosité m’a amené vers deux petits contes qui existent en version e-book.
Je mets pour l’instant son fil dans la section littérature au lieu de jeunesse.
Difficile de juger un auteur après seulement quelques pages (les deux contes ne font pas plus que 20 pages), mais il n’y a pour l’instant pas trop de livres en version française disponible. En attendant plus, je voulais quand même lui ouvrir son fil.
L’univers de ces deux contes semble se situer dans une dimension tout à fait réelle… mais change en cours de route vers un monde onirique.
Ce n’est pas effrayant et bien écrit.
Envie de découvrir autre chose de lui.
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Re: Mimei Ogawa
Illustrations: Komako Sakaï
Une sirène chez les hommes
Quelle belle histoire, mais pour tout conte qui se respecte, aussi un peu triste…
En plus de l’histoire, ce livre m’a fait découvrir l’illustratrice Komako Sakaï, coup de cœur instantané !
Une sirène chez les hommes
Encore une fois un conte… et mon préféré du lot.Présentation de l’éditeur
Les hommes font rêver les sirènes, c'est bien connu. Leurs villes sont belles, lumineuses. Ils sont bons, généreux, hospitaliers... Pourquoi ne pas vivre parmi eux, plutôt qu'au fond des mers glacées? C'est ainsi qu'une sirène qui portait un enfant décida de le mettre au monde une nuit, en cachette, au pied d'un petit temple, afin qu'il soit recueilli par des humains et qu'il grandisse dans la joie. Si elle avait pu imaginer quel sort attendait sa fille, jamais elle ne l'aurait abandonnée...
Quelle belle histoire, mais pour tout conte qui se respecte, aussi un peu triste…
En plus de l’histoire, ce livre m’a fait découvrir l’illustratrice Komako Sakaï, coup de cœur instantané !
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Re: Mimei Ogawa
Illustrations: Stefano Arici
L’enfant qui était monté au sommet d’un arbre
Surtout le texte qui donne le titre au livre est très à part. Joli, mais triste… cela semble aussi une spécialité de lui (et je comprends de plus en plus la référence de l’auteur et Hans Christian Anderson, dont j’éprouve tous les contes comme très tristes)
Une fois de plus, mention spéciale pour l’illustrateur. Extra !
L’enfant qui était monté au sommet d’un arbre
Tout comme dans les autres livres que j’ai lu de Mimei Ogawa, j’ai retrouvé dans ces deux contes sa prédilection pour un mélange entre monde réel et onirique.Présentation de l’éditeur
Les deux contes choisis rassemblés ici, L'enfant qui était monté au sommet d'un arbre et Le tonnerre qui gronde au loin, permettront au lecteur de se familiariser avec Ogawa Mimei.
Surtout le texte qui donne le titre au livre est très à part. Joli, mais triste… cela semble aussi une spécialité de lui (et je comprends de plus en plus la référence de l’auteur et Hans Christian Anderson, dont j’éprouve tous les contes comme très tristes)
Une fois de plus, mention spéciale pour l’illustrateur. Extra !
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