Félix Vallotton

En effet. Inconnu de moi aussi :-)

et après toutes ces années, je découvre encore des pépites


Les genêts en fleurs, Avallon, 1923

Femme faisant lire une petite fille -1900-

Le Chemin à Locquirec, 1902




j’ai vu une version du livre de Marie Sizun avec cette image de Vallotton… et c’est bien qu’on l’a changé avant la publication
Loquirec se trouve aussi en Bretagne mais le roman se situe à l’île Tudy, ce qui est quand même bien loin de Loquirec et ainsi Maurice Denis avec sa peinture Les Pins à Loctudy était le meilleur choix

Je préfère en général ses paysages à ses natures mortes, mais j'aime bien celle-ci, découverte sur une page FB.



Nature morte, 1925

je ne connaissais pas, belle découverte

et une autre belle découverte de Moinette


Au marché, 1895



en même temps je découvre son triptyque Au bon marché de 1898

des images qui me rappellent ma lecture de Au Bonheur des Dames

s'il n'y aurait pas sa signature, je ne sais pas si j'aurais cru que c'était de lui... il arrive toujours à me surprendre

La Falaise de la Grève blanche à Vasouy, 1913

C’est une longue plage de sable blanc, à peine interrompue au loin par un tournant, et qui continue ensuite, croirait-on, jusqu’à l’infini. Une longue plage déserte à l’exception de deux très petits personnages, deux hommes, représentés de façon presque schématique, qui cheminent côte à côte. À droite, la mer, très bleue, épousant les sinuosités de la plage. À gauche, une falaise brune au sommet recouvert d’une dune verte et jaune. Le ciel, une étroite bande d’un gris très pâle : une absence.
C’est tout.





La route à Saint-Paul, 1922

Sur l’image on voit une route, un paysage méditerranéen, sans doute français, peut-être dans le Var. Sur la hauteur une chapelle banche, très simple, de facture contemporaine. Autour de ce bâtiment des pins, des cyprès sous un ciel d’été d’un bleu orageux. On devine que la chaleur est intense. Justement, une femme, accotée au muret qui borde le côté gauche de la route, semble s’être arrêtée là pour une sorte de pause. Extérieur au paysage, ce personnage devient pour le spectateur essentiel, et concentre vite tout l’intérêt.





Bancs de sable sur la Loire, 1923

C’est un paisible paysage de bord de Loire, des bancs de sable doré formant de doux îlots aux courbes harmonieuses dont le plus grand est planté d’arbres au magnifique feuillage. Une image qui irradie la paix et un bonheur de solitude étonnamment sensuel. Ce doit être l’été ou un printemps chaud. Pas un nuage dans le ciel bleu clair, L’eau de la Loire, d’un bleu plus intense, est parfaitement immobile. Immobile aussi la petite barque bleue échouée sur le bord de l’îlet. Et, là-bas, tout seul sur l’autre bord, la petite silhouette trapue d’un pêcheur, attendant sans doute que ça morde.


Suites dans Les petits personnages de Marie Sizun

Paysage printanier, environs de Lausanne, 1916

après toutes ces années, il m'arrive encore de tomber sur des images de lui que je ne connaissais pas du tout...
et avec lesquelles il m'étonne très souvent...


L’Eure à Pacy-sur-Eure, 1924

kenavo a écrit:après toutes ces années, il m'arrive encore de tomber sur des images de lui que je ne connaissais pas du tout...
et avec lesquelles il m'étonne très souvent...

et une fois de plus


La baignade à Etretat, 1899

jamais deux sans trois...
je ne voyais pas le cher Félix à Venise...
mais voilà, non seulement il y était, mais il rapporté au moins une toile


Rio della Salute, Venise, ca 1902