Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
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Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Queenie a écrit:Merci pour le double rire Céline!
Mais alors si j'ouvre Salammbô et que j'ai cette chanson dans la tête, je risque de t'en vouloir un petit peu.
Quand tu commences tu passes très vite sur cette phrase avant que la rengaine te rentre en tête.
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“With freedom, books, flowers, and the moon, who could not be happy?” Oscar Wilde
Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
un petit tour au Danemark en classique: Peter Nansen
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George Gershwin
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Les travailleurs de la mer de Victor Hugo
Ou comment le souffle et le lyrisme de Victor Hugo ne pouvaient mieux s'exprimer que dans cette sombre histoire où la mer joue les premiers rôles.
Gilliatt est un être un peu frustre, malchanceux, considéré par la population de Guernesey comme un être malfaisant aux dons de sorcier.
Sa destinée va se trouver bouleversée par un étrange signe dans la neige que laissera Déruchette, une jeune fille dont il tombe éperdument amoureux.
L'oncle de Déruchette perd sa galiote, la Durande, qui se trouve à l'état d'épave à l'écueil des Douvres.
Seule la machine est intacte, et Galliatt se propose d'aller récupérer la machine en l'échange d'une promesse de mariage avec Déruchette.
L'arrivée sur les lieux dans une simple barque, la récupération de la machine (un véritable travail de Titan), la tempête, la lutte avec une pieuvre, la survie autour de ces éléments hostiles, tout ceci fait un récit hallucinant où la nature se déchaîne.
Sans oublier les tempêtes sous un crane des uns et des autres, domaine où Hugo excelle.
Et que dire du fameux vocabulaire Hugolien, une lange à elle toute seule, pas la peine de chercher dans le dictionnaire vous ne trouverez pas tout mais quelle force descriptive dans ces mots, quelle richesse, c'en est étourdissant.
Encore un très bon livre de VH, après "Les misérables", "L'homme qui rit", "Notre Dame de Paris", "Dernier jour d'un condamné", "Claude Gueux", mon admiration est sans bornes.
Ou comment le souffle et le lyrisme de Victor Hugo ne pouvaient mieux s'exprimer que dans cette sombre histoire où la mer joue les premiers rôles.
Gilliatt est un être un peu frustre, malchanceux, considéré par la population de Guernesey comme un être malfaisant aux dons de sorcier.
Sa destinée va se trouver bouleversée par un étrange signe dans la neige que laissera Déruchette, une jeune fille dont il tombe éperdument amoureux.
L'oncle de Déruchette perd sa galiote, la Durande, qui se trouve à l'état d'épave à l'écueil des Douvres.
Seule la machine est intacte, et Galliatt se propose d'aller récupérer la machine en l'échange d'une promesse de mariage avec Déruchette.
L'arrivée sur les lieux dans une simple barque, la récupération de la machine (un véritable travail de Titan), la tempête, la lutte avec une pieuvre, la survie autour de ces éléments hostiles, tout ceci fait un récit hallucinant où la nature se déchaîne.
Sans oublier les tempêtes sous un crane des uns et des autres, domaine où Hugo excelle.
Et que dire du fameux vocabulaire Hugolien, une lange à elle toute seule, pas la peine de chercher dans le dictionnaire vous ne trouverez pas tout mais quelle force descriptive dans ces mots, quelle richesse, c'en est étourdissant.
Encore un très bon livre de VH, après "Les misérables", "L'homme qui rit", "Notre Dame de Paris", "Dernier jour d'un condamné", "Claude Gueux", mon admiration est sans bornes.
darkanny- Messages : 826
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Lu il y a très très longtemps. Il ne m'en reste pas trop de souvenirs.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
J'ai relu Les lettres persanes de Montesquieu, là j'ai attaqué la relecture de Cinna de Corneille en relation avec le Mooc sur le théâtre classique.
Je vais continuer avec L'adolescent de Dostoïevsky, auteur que j'aime énormément, mais je n'avais pas encore eu l'occasion de lire cette oeuvre.
Je vais continuer avec L'adolescent de Dostoïevsky, auteur que j'aime énormément, mais je n'avais pas encore eu l'occasion de lire cette oeuvre.
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Lulu de Frank Wedekind est ma lecture d'un classique pour février
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Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Moi je lis un peu du Horla.
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 6985
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
J'ai terminé Le Horla de Maupassant. Bien, mais inégal je trouve.
Je vais essayer d'en parler plus sur le fil.
J'attaque...
A la recherche du temps perdu de Proust.
J'ai fini le premier chapitre. Je ne sais pas si je vais connaître la Magie Incroyable de l'écriture de Proust. On verra.
Je vais essayer d'en parler plus sur le fil.
J'attaque...
A la recherche du temps perdu de Proust.
J'ai fini le premier chapitre. Je ne sais pas si je vais connaître la Magie Incroyable de l'écriture de Proust. On verra.
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 6985
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Avec le MOOC sur le théâtre classique, j'en relis plein, Le Cid, Phèdre....faut trouver le temps d'en parler. Et j'ai enfin fini Delphine de Mme de Staël.
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Queenie : tu penses enchaîner tous les volumes ??
Arabella : super que tu puisses suivre le MOOC sur le théâtre et faire des relecture !
Arabella : super que tu puisses suivre le MOOC sur le théâtre et faire des relecture !
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“Il n’y a point de génie sans un grain de folie.” Aristote
Luciole- Messages : 1040
Date d'inscription : 04/12/2016
Age : 48
Localisation : France - Pays de la Loire
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
C'est à toi que je le dois, @Luciole. C'est passionnant, même si cela prend pas mal de temps au final.
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
J'en suis contente
De mon côté, je ne le suis pas par manque de temps..
De mon côté, je ne le suis pas par manque de temps..
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“Il n’y a point de génie sans un grain de folie.” Aristote
Luciole- Messages : 1040
Date d'inscription : 04/12/2016
Age : 48
Localisation : France - Pays de la Loire
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
mon classique pour mars: Mario Pratesi, La viaccia
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Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Pour février-mars, lu Henri le Vert, de Gottfried Keller. Commentaire à suivre...
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“With freedom, books, flowers, and the moon, who could not be happy?” Oscar Wilde
Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Nul besoin d’yeux d’époque pour lire les classiques
Céline a écrit:Pour février-mars, lu Henri le Vert, de Gottfried Keller. Commentaire à suivre...
Ce sera en avril pour moi, je vais lire ton commentaire après ma lecture.
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Arabella- Messages : 4791
Date d'inscription : 29/11/2016
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