Rubén Pellejero
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Rubén Pellejero

Rubén Pellejero est un dessinateur espagnol né le 20 décembre 1952 à Badalona en Espagne.
source et suite
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Rubén Pellejero
Scénario : Denis Lapière

L’impertinence d’un été (première partie)

L’impertinence d’un été (seconde partie)
C’est un choix tout à fait justifiable, voyant les changements que ce pays a vécu pendant les années 20 du XXème siècle.
Avec un scénario qui ne laisse rien à désirer, de l’art, des rencontres avec Diego Rivera et les discussions autour de la photographie et avec des planches qui sont tout à fait extra, voilà une bonne BD qui peut plaire aussi bien pour le côté biographie romancée que pour le côté « cours d’histoire » sans trop de peine sur le Mexique.
Malheureusement ma lecture du livre Tina Modotti d'Angel De La Calle est encore toute récente et ainsi ces deux volumes me paraissent un peu « pâle » (bien qu’ils sont en couleur tandis que celui d’Angel de la Calle est en noir et blanc) et manquent un peu de poids.
Mais néanmoins, pour une entrée dans la vie de Tina Modotti et/ou d’Edward Weston, c’est une agréable lecture.

L’impertinence d’un été (première partie)
Présentation de l’éditeur
Mexico, août 1923. Le photographe américain Edward Weston vient d'abandonner femme et enfants pour rejoindre sa maîtresse Tina Modotti. Fille d'émigrés italiens, Tina a démarré une carrière d'actrice à Hollywood avant de se révéler photographe, dans le sillage d'Edward.
Au Mexique, les deux amants découvrent que révolution rime avec expression. Sur les murs des bâtiments publics explosent les peintures de Diego Rivera, de Xavier Guerrero et de tous ceux qui resteront dans l'histoire de l'art sous le nom de "muralistes".
En ces années 1920, charnières entre l'ancien monde, balayé par la première guerre mondiale, et le nouveau monde qu'il reste à construire, Tina et Edward s'engagent aux côtés des guérilleros de l'art. Dès lors, pour Tina, le sexe, la liberté, l'art et la politique s'avèrent indissociables de son mode de vie ; une quadrature du cercle difficile à résoudre pour Edward. Mais si la passion brûle les sens, la souffrance attise les feux de la création...

L’impertinence d’un été (seconde partie)
Contrairement au livre d'Angel de la Calle (qui Pellajero salue en tant qu’ami au début du livre et le remercie de ses informations et inspirations) Lapière et Pellejero se concentrent seulement sur l’étape mexicaine d’Edward Weston et Tina Modotti.Présentation de l’éditeur
À l'effervescence politique, artistique et amoureuse du Mexico du début des années 1920 succèdent le tumulte et le doute, tandis que pointe, déjà, le désenchantement auquel Tina, pas plus que ses amis, n'échappera.
Edward reparti aux Etats-Unis, Tina se retrouve seule à un moment charnière de sa vie. Passionnée, brillante et libre, elle oscille à la recherche d'elle-même, entre engagement pour le Parti, recherche artistique personnelle et parcours amoureux qui s'entrecroisent. Incapable de se résoudre à choisir une voie qui lui en ferme d'autres, elle ne retrouve Edward que pour mieux le quitter. La situation politique mexicaine se tend, les avis et les destins divergent au sein du groupe d'artistes auquel appartiennent Edward et Tina... L'été s'achève en effet, et commence déjà à se muer en un long hiver.
C’est un choix tout à fait justifiable, voyant les changements que ce pays a vécu pendant les années 20 du XXème siècle.
Avec un scénario qui ne laisse rien à désirer, de l’art, des rencontres avec Diego Rivera et les discussions autour de la photographie et avec des planches qui sont tout à fait extra, voilà une bonne BD qui peut plaire aussi bien pour le côté biographie romancée que pour le côté « cours d’histoire » sans trop de peine sur le Mexique.
Malheureusement ma lecture du livre Tina Modotti d'Angel De La Calle est encore toute récente et ainsi ces deux volumes me paraissent un peu « pâle » (bien qu’ils sont en couleur tandis que celui d’Angel de la Calle est en noir et blanc) et manquent un peu de poids.
Mais néanmoins, pour une entrée dans la vie de Tina Modotti et/ou d’Edward Weston, c’est une agréable lecture.
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George Gershwin
Re: Rubén Pellejero
Scénario : Denis Lapière

Un peu de fumée bleu…
Histoire qui se regroupe autour du sujet de l'amour et les différentes façon de le vivre... sans pour que cela vire au sucrée (marrant comme cela devient utile de se justifier quand il s'agit "d'amour", comme si ce sujet allait "rabaisser" le niveau)
Difficile de parler de dictactures et tortures sans tomber dans l'un ou l'autre piège de généralités. Réussite sur ce plan.
Pour moi définitivement un duo à suivre!

Une partie de ce poème de Tristan Corbière (1845-1875) se trouve sur les cigarettes de Laura:
Petit mort pour rire
Va vite, léger peigneur de comètes !
Les herbes au vent seront tes cheveux ;
De ton oeil béant jailliront les feux
Follets, prisonniers dans les pauvres têtes...
Les fleurs de tombeau qu'on nomme Amourettes
Foisonneront plein ton rire terreux...
Et les myosotis, ces fleurs d'oubliettes...
Ne fais pas le lourd : cercueils de poètes
Pour les croque-morts sont de simples jeux,
Boîtes à violon qui sonnent le creux...
Ils te croiront mort - Les bourgeois sont bêtes -
Va vite, léger peigneur de comètes !

Un peu de fumée bleu…
Après des bonnes expériences aussi bien côté scènario que du côté images, je ne pouvais pas résister à une autre découverte de ces deux artistes.Résumé
Quelque part en Europe de l'Est l'ancienne Tchécoslovaquie, peut-être, mais peu importe. Un homme et une femme se rencontrent. Lui est photographe, elle tenancière d'une auberge. Elle raconte son histoire avec un écrivain emprisonné et torturé par le pouvoir. S'il a tenu bon, dit-elle, c'est grâce à un poème de Tristan Corbière dont elle lui écrivait les vers sur des cigarettes... Lapière et Pellejero signent ici un récit d'espoir à la lumière éclatante. Un acte de foi en la poésie, en la littérature et en l'amour, comme autant de moyens de résister au totalitarisme et à la barbarie
Histoire qui se regroupe autour du sujet de l'amour et les différentes façon de le vivre... sans pour que cela vire au sucrée (marrant comme cela devient utile de se justifier quand il s'agit "d'amour", comme si ce sujet allait "rabaisser" le niveau)
Difficile de parler de dictactures et tortures sans tomber dans l'un ou l'autre piège de généralités. Réussite sur ce plan.
Pour moi définitivement un duo à suivre!

Une partie de ce poème de Tristan Corbière (1845-1875) se trouve sur les cigarettes de Laura:
Petit mort pour rire
Va vite, léger peigneur de comètes !
Les herbes au vent seront tes cheveux ;
De ton oeil béant jailliront les feux
Follets, prisonniers dans les pauvres têtes...
Les fleurs de tombeau qu'on nomme Amourettes
Foisonneront plein ton rire terreux...
Et les myosotis, ces fleurs d'oubliettes...
Ne fais pas le lourd : cercueils de poètes
Pour les croque-morts sont de simples jeux,
Boîtes à violon qui sonnent le creux...
Ils te croiront mort - Les bourgeois sont bêtes -
Va vite, léger peigneur de comètes !
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Re: Rubén Pellejero
Scénario: Jorge Zentner

Dieter Lumpen
Et je ne suis pas déçue de cette lecture.
Je connaissais déjà le travail aussi bien de l’illustrateur que du scénariste et ainsi je pense qu’on a ici un bien bon livre entre les mains.
Pour tous les fans de ce genre de « BD aventure » voyager avec Dieter Lumpen est un exploit extra !



Dieter Lumpen
En attendant le retour de Corto, je me suis dit que je pouvais faire connaissance entretemps avec son ‘petit frère’.Présentation de l’éditeur
D'Istanbul à Paris, en passant par les Indes, le Colorado, Manaus, Dieter Lumpen mène une vie trépidante dans onze aventures pleines de surprises, d'espions, de femmes, de joueurs invétérés, de contrebandiers...
Petit frère de Corto Maltese, Dieter Lumpen promène sa longue silhouette dégingandée des sables du désert à la forêt amazonienne.
Braqueur nonchalant, il évolue dans un univers exotique et désenchanté à la poursuite d'amours improbables.
Pellejero et Zentner associent leur immense talent dans de prenantes aventures teintées de fantastique.
Et je ne suis pas déçue de cette lecture.
Je connaissais déjà le travail aussi bien de l’illustrateur que du scénariste et ainsi je pense qu’on a ici un bien bon livre entre les mains.
Pour tous les fans de ce genre de « BD aventure » voyager avec Dieter Lumpen est un exploit extra !


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Re: Rubén Pellejero
Scénario : Juan Díaz Canales

Sous le soleil de minuit

Reprendre un personnage aussi emblématique que Corto Maltese est plein de risque.
Les premières images que j’ai pu voir avant la publication me confirmaient qu’il n’y avait pas de problème du côté de Rubén Pellejero. Il assurait.
Fallait donc attendre de pouvoir le lire pour voir ce qu’il en est du scénario. Et là je dois dire que Juan Díaz Canales fait aussi un très bon travail.
J’ai retrouvé cette atmosphère propre aux histoires de Corto. Un monde d’aventures, mélangé avec une dose d’onirisme et magie avec un Corto qui garde à tout moment le sang-froid et qui est plus énigmatique qu’il ne l’ait jamais été… et encore plus beau
Je dois avouer que je suis plutôt bon public pour ce genre de BD (et Corto est la seule BD de ce genre que je lis). En tout cas je suis conquise et ces deux peuvent continuer de m'enchanter avec le héros maltais…



Sous le soleil de minuit
Présentation de l’éditeur
1915. Corto Maltese est à San Francisco quand il reçoit une lettre de son vieil ami Jack London. Ce dernier, se sentant mourir, lui confie une dernière volonté : retrouver une femme, son amour de jeunesse, pour lui porter une lettre d'adieu. L'écrivain promet un incroyable trésor en échange de ce service, qui va entraîner Corto dans le grand nord du continent américain.

Reprendre un personnage aussi emblématique que Corto Maltese est plein de risque.
Les premières images que j’ai pu voir avant la publication me confirmaient qu’il n’y avait pas de problème du côté de Rubén Pellejero. Il assurait.
Fallait donc attendre de pouvoir le lire pour voir ce qu’il en est du scénario. Et là je dois dire que Juan Díaz Canales fait aussi un très bon travail.
J’ai retrouvé cette atmosphère propre aux histoires de Corto. Un monde d’aventures, mélangé avec une dose d’onirisme et magie avec un Corto qui garde à tout moment le sang-froid et qui est plus énigmatique qu’il ne l’ait jamais été… et encore plus beau

Je dois avouer que je suis plutôt bon public pour ce genre de BD (et Corto est la seule BD de ce genre que je lis). En tout cas je suis conquise et ces deux peuvent continuer de m'enchanter avec le héros maltais…


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Re: Rubén Pellejero



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Re: Rubén Pellejero
Scénario: Juan Díaz Canales

Équatoria

Mea culpa, je suis amoureuse d’un personnage de BD
Corto Maltese est vraiment une série que je suis depuis des années et avec beaucoup de plaisir.
Une fois de plus, Juan Díaz Canales et Ruben Pellejero confirment qu’ils sont dignes de la relève, Hugo Pratt serait content de leur travail.
L’ouverture à Venise était déjà un garant pour m’enchanter. Ruben Pellejero croque adorablement cette ville. Après les premières pages j’étais partante pour cette nouvelle aventure et j’ai vécu un très bon moment.
Je l’ai déjà dit, mais Corto est vraiment la seule BD de ce genre qui m’emporte autant…






Équatoria
Présentation de l’éditeur
1911, entre Venise et les jungles d'Afrique équatoriale, Corto recherche le "miroir du prêtre Jean", un mystérieux objet rapporté des croisades. Sur sa route, il croise trois jeunes femmes aux destins étrangement complémentaires : Aïda, journaliste entreprenante, Ferida, exploratrice en quête de son père disparu, et Afra, ancienne esclave.

Mea culpa, je suis amoureuse d’un personnage de BD

Corto Maltese est vraiment une série que je suis depuis des années et avec beaucoup de plaisir.
Une fois de plus, Juan Díaz Canales et Ruben Pellejero confirment qu’ils sont dignes de la relève, Hugo Pratt serait content de leur travail.
L’ouverture à Venise était déjà un garant pour m’enchanter. Ruben Pellejero croque adorablement cette ville. Après les premières pages j’étais partante pour cette nouvelle aventure et j’ai vécu un très bon moment.
Je l’ai déjà dit, mais Corto est vraiment la seule BD de ce genre qui m’emporte autant…






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