Antonio Lapone
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Antonio Lapone
Antonio Lapone est un dessinateur de bande dessinée né le 24 octobre 1970 à Turin en Italie.
source et suite
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George Gershwin
Re: Antonio Lapone
Scénario : Jean-Philippe Peyraud
La Fleur dans l’atelier de Mondrian
André Kertész, La Fleur dans l’atelier de Mondrian
Oui… la couverture ! Comment résister à cette tentation ?!
En plus on sait bien que j’adore le genre de la biographie romancée et voici qu’une pièce d’un puzzle fascinant a été ajouté à la personne de Piet Mondrian.
De 1918 jusqu’aux années 30, on va voir quelques bouts de vie de ce peintre énigmatique.
Antonio Lapone a une façon assez unique pour « décomposer » une page. Des petites cases, des grandes, horizontales, verticales… cela fait autant danser les yeux que Mondrian le fait sur ces planches.
C’est une lecture à part et n’importe la taille des cases, on a envie de les examiner toutes à fond, tellement cela fait plaisir de découvrir cette histoire.
Je ne suis pas grande fan de ce peintre, mais cette BD est un chef d’œuvre et j’en ressors enthousiaste
La Fleur dans l’atelier de Mondrian
Présentation de l’éditeur
Une évocation sublime d'une figure majeure de l'art abstrait
À l'origine, il y avait cette même photo que Jean-Philippe Peyraud et Antonio Lapone avaient au-dessus de leur table à dessin. Celle d'une fleur en plastique dans l'atelier de Mondrian, seul rappel du végétal dans l'univers à la géométrie implacable du peintre. C’est l'histoire de cette fleur que les auteurs ont décidé d'imaginer pour raconter Mondrian, figure majeure de l'art abstrait, dont on connaît peu de choses, si ce n'est qu'il vivait au cœur du Montparnasse des années folles et qu'il était un inconditionnel de la danse de salon...
André Kertész, La Fleur dans l’atelier de Mondrian
La Fleur dans l'atelier de Mondrian est autant une évocation subtile de l'art abstrait qu'un magnifique album au format hors normes (enrichi de 40 pages d'études, de crayonnés et de story-board), servi par le graphisme élégant d'Antonio Lapone et le scénario d'une incroyable poésie de Jean-Philippe Peyraud.
Oui… la couverture ! Comment résister à cette tentation ?!
En plus on sait bien que j’adore le genre de la biographie romancée et voici qu’une pièce d’un puzzle fascinant a été ajouté à la personne de Piet Mondrian.
De 1918 jusqu’aux années 30, on va voir quelques bouts de vie de ce peintre énigmatique.
Antonio Lapone a une façon assez unique pour « décomposer » une page. Des petites cases, des grandes, horizontales, verticales… cela fait autant danser les yeux que Mondrian le fait sur ces planches.
C’est une lecture à part et n’importe la taille des cases, on a envie de les examiner toutes à fond, tellement cela fait plaisir de découvrir cette histoire.
Je ne suis pas grande fan de ce peintre, mais cette BD est un chef d’œuvre et j’en ressors enthousiaste
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George Gershwin
Re: Antonio Lapone
je ne suis pas fan de ce peintre dans sa période "géométrique". Par contre j'aime bien ce qu'il faisait avant. Sympa l'idée de baser le livre sur la fleur de son atelier. Seules courbes existantes.
Pia- Messages : 106
Date d'inscription : 08/12/2016
Age : 56
Localisation : Utrecht
Re: Antonio Lapone
oui, de même...Pia a écrit:je ne suis pas fan de ce peintre dans sa période "géométrique". Par contre j'aime bien ce qu'il faisait avant.
dans ce cas je suis plus intéressée par sa personne que par son art
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Re: Antonio Lapone
Scénario : Gihef
Love is in the air
Le scénario de Gihef est sublime, on se retrouve bien à New York, mais finalement on retrouve un groupe d’habitants d’un immeuble ce qui donne une atmosphère d’un petit village ou tout le monde connaît tout le monde…
On s’attache très vite à ces gens et l’histoire de ce pauvre Norman qui ne peut plus dormir ou travailler à cause sa nouvelle voisine est succulente.
Si on aime les images d’Antonio Lapone on passe un temps merveilleux avec cet album…
J’ai adoré !
Love is in the air
Ah… Greenwich Village dans les années 60… quel beau décor.Présentation de l’éditeur
Printemps 1960. Norman Oaks est chroniqueur à la pige pour un journal new-yorkais. Il vit seul mais heureux dans son appartement de Greenwich Village. Sa quiétude est troublée par la jolie Bebe Newman, une hôtesse de l’air particulièrement bruyante qui s’installe un étage au-dessus du sien. Elle aime faire la nouba jusqu’au petit matin; il aime se coucher et se lever à heures fixes. Elle ne jure que par la modernité; il préfère la tradition. Bref, tout les oppose. Et pourtant, pour décourager un ex aussi collant que peu recommandable, Bebe convainc Norman de se faire passer pour son compagnon et de partager avec lui le même appartement. Une cohabitation qui s’annonce explosive!
Le scénario de Gihef est sublime, on se retrouve bien à New York, mais finalement on retrouve un groupe d’habitants d’un immeuble ce qui donne une atmosphère d’un petit village ou tout le monde connaît tout le monde…
On s’attache très vite à ces gens et l’histoire de ce pauvre Norman qui ne peut plus dormir ou travailler à cause sa nouvelle voisine est succulente.
Si on aime les images d’Antonio Lapone on passe un temps merveilleux avec cet album…
J’ai adoré !
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George Gershwin
Re: Antonio Lapone
Scénario: Gihef
What’s new Pussycat?
Au centre de l’histoire se trouve ici l’artiste qui était un personnage secondaire dans le premier album.
Nous voici donc dans une belle histoire autour de l’art. Les images redonnent bien le courant artistique de ces années. Du pop art à merveille.
Scénario et images une fois de plus à la hauteur. Un diptyque extra.
What’s new Pussycat?
Cet épisode est la suite de Love is in the air. On retrouve tous les habitants du premier tome.Présentation de l‘éditeur
Automne 1960. Cole Slowe est un sculpteur au tempérament ombrageux et aux fins de mois difficiles. S’il jouit à Greenwich Village d’une belle cote d’estime, son refus d’exposer ses œuvres aux yeux du grand public l’empêche d’accéder à une notoriété sonnante et trébuchante. Ses sculptures d’assemblage ont néanmoins capté le regard de Sophie St-Cyr, une jeune comtesse française grande amatrice d’art. L’artiste n’est pas insensible au charme de la belle et accepte pour la séduire une exposition à sa gloire. Mais c’est sans compter les agissements nocturnes d’un cambrioleur de haut vol qui hante depuis peu le quartier. Agile comme un chat, le monte-en-l’air signe ses méfaits "Pussycat". Il a délesté de ses plus belles œuvres pas moins de trois galeries en quelques jours et ne compte pas s’arrêter là…
Au centre de l’histoire se trouve ici l’artiste qui était un personnage secondaire dans le premier album.
Nous voici donc dans une belle histoire autour de l’art. Les images redonnent bien le courant artistique de ces années. Du pop art à merveille.
Scénario et images une fois de plus à la hauteur. Un diptyque extra.
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