Eleonore Frey
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Eleonore Frey
Née en 1939 à Frauenfeld, Eleonore Frey habite à Zurich.
De 1958 à 1966, elle étudie les littératures allemande et française et la littérature comparée à l’université de Zurich et à la Sorbonne.
Elle obtient sa licence en 1966 avec un travail consacré à Franz Grillparzer, puis son doctorat en 1972.
De 1982 à 1997, elle enseigne la nouvelle littérature allemande à l’université de Zurich.
Eleonore Frey traduit également des textes du français et de l’anglais vers l’allemand.
source
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Best when you improvise
George Gershwin
Re: Eleonore Frey
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Unterwegs nach Ochotsk / En route vers Okhotsk
Cela aiguise toujours ma curiosité
Au début de ce roman il y a la phrase « Je me perds » et il s’agit tout à fait de cela. Plusieurs personnes qui perdent un peu le repère dans leur vie et cherchent à s’orienter de nouveau.
Pour plus d’un il semble qu’un voyage vers ce fameux Okhotsk soit la solution de leur problème.
Mais en fin de compte, ils ne vont pas bouger et trouver quand même une solution à leurs questions…
Des courtes phrases, dialogue et réflexion mélangés, elle saute d’une personne à l’autre… cela semble être un pêle-mêle, mais je confirme qu’il n’y a jamais de soucis pour suivre la trame.
J’ai bien aimé ce « voyage » et je viens de découvrir une voix forte de la littérature suisse.
On ne va pas y aller à Ochotsk dans ce livre, mais j’étais quand même curieuse d’y jeter un œil
Unterwegs nach Ochotsk / En route vers Okhotsk
Je ne connaissais pas cette auteure… découvert à cause de plusieurs commentaires élogieux sur différents blogs.Présentation de l’éditeur
« Loin d'ici, voilà mon but ! » écrivait Kafka.
Otto, le médecin qui a les pieds sur terre, planifie un voyage sur les traces d'un bonheur évanoui. Il rêve de nature et de grands espaces. Sophie, mère divorcée, imagine parfois trouver la liberté dans la toundra. Therese, déjà un peu hors d'elle, s'éparpille et se répand pour combler le vide qui se creuse dans son esprit. Toutes deux sont amoureuses de Robert, alias Mischa Perm, auteur d'En route vers Okhotsk. Robert semble tout droit sorti des romans d'Enrique Vila-Matas: il ne veut plus, ne peut plus écrire, sa Sibérie est intérieure.
Récit de voyageurs sans voyage, En route vers Okhotsk invite à renouer avec le monde et donne une belle légèreté à ce thème universel de la littérature qu'est la disparition de soi.
« Un chef d'oeuvre empreint d'un imaginaire d'une rare précision » Manfred Papst
« Un monde simple et complexe à la fois, au-delà du clair et net. Ce roman est un bijou. » Neue Zürcher Zeitung
Cela aiguise toujours ma curiosité
Au début de ce roman il y a la phrase « Je me perds » et il s’agit tout à fait de cela. Plusieurs personnes qui perdent un peu le repère dans leur vie et cherchent à s’orienter de nouveau.
Pour plus d’un il semble qu’un voyage vers ce fameux Okhotsk soit la solution de leur problème.
Mais en fin de compte, ils ne vont pas bouger et trouver quand même une solution à leurs questions…
Des courtes phrases, dialogue et réflexion mélangés, elle saute d’une personne à l’autre… cela semble être un pêle-mêle, mais je confirme qu’il n’y a jamais de soucis pour suivre la trame.
J’ai bien aimé ce « voyage » et je viens de découvrir une voix forte de la littérature suisse.
On ne va pas y aller à Ochotsk dans ce livre, mais j’étais quand même curieuse d’y jeter un œil
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