Benoît Guillaume
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Benoît Guillaume
Né en 1976 en France, Benoît Guillaume étudie le dessin à l’école d’art et d’architecture de Paris, puis à la Parsons School of design de New-York, où il travaille d’arrache pied, sérigraphie à s’en user les mains, et se fait des amis nés sur des continents différents.
De retour en France, il fait du graphisme et des animations en flash pour des agences de site internet, et passe ses soirs à faire ses trucs, bandes dessinées et animations publiées sur le net. Puis de plus en plus de bandes dessinées. Benoît Guillaume sort alors davantage son nez dehors, pour dessiner, et s’abimer l’audition dans des concerts de rock. Il travaille désormais en freelance dans une grande ville cosmopolite et touristique, en France.
Source : Editeur
son site
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Re: Benoît Guillaume
d’après le roman de Marie NDiaye
La sorcière
Ainsi, je suis leurs publications de très près.
En voyant cette couverture, j’étais déjà curieuse et le nom de Marie NDiaye a encore augmenté mon envie de découvrir.
Après ma lecture j’ai relu le commentaire d’@Aeriale et je souligne ce qu’elle a écrit
Sans avoir lu le roman de Marie NDiaye, je « nageais » en effet par moment, mais Benoît Guillaume a réussi de mettre des images fortes pour illustrer l'histoire de cette sorcière et de sa famille.
J’ai beaucoup aimé et j’ai surtout découvert un artiste dont j’ai envie de poursuivre…
La sorcière
La maison d’édition Actes Sud n’est pas spécialisée en BD comme Futuropolis ou Casterman, mais les albums que j’ai découvert chez eux ont été toujours d’une grande qualité.Présentation de l’éditeur
Lucie se fait un devoir de transmettre ses dons de sorcellerie à ses deux filles jumelles, Maud et Lise. Ces dernières dépasseront bientôt, et de loin, les dons médiocres de leur mère, pour finir par (littéralement) voler de leurs propres ailes, laissant seule Lucie, aux prises avec l'éclatement du reste de sa famille. Le dessin puissant, réel et magique de Benoît Guillaume au service de l'adaptation du roman éponyme de Marie NDiaye.
Ainsi, je suis leurs publications de très près.
En voyant cette couverture, j’étais déjà curieuse et le nom de Marie NDiaye a encore augmenté mon envie de découvrir.
Après ma lecture j’ai relu le commentaire d’@Aeriale et je souligne ce qu’elle a écrit
C'est une vision bien sombre de la vie que nous offre ce récit proche de l'absurde, et ces envolées dans le fantastique amènent un souffle salutaire. Certains peuvent lui trouver un aspect un peu bancal, on nage entre l’irréel et l'hyper réalisme, il en reste cette écriture bien particulière, subtile et racée, la marque d'un talent en devenir et pour moi la confirmation de son génie!
Sans avoir lu le roman de Marie NDiaye, je « nageais » en effet par moment, mais Benoît Guillaume a réussi de mettre des images fortes pour illustrer l'histoire de cette sorcière et de sa famille.
J’ai beaucoup aimé et j’ai surtout découvert un artiste dont j’ai envie de poursuivre…
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