Sophie Blackall
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Sophie Blackall
Sophie Blackall est une artiste et illustratrice australienne de livres pour enfants basée à Brooklyn, New York.
Elle a remporté la médaille Caldecott 2016 pour Trouver Winnie: La véritable histoire de l'ours le plus célèbre du monde.
Elle a illustré plus de 30 livres pour enfants, y compris la série Ivy and Bean.
Blackall a collaboré avec des auteurs tels que Jacqueline Woodson, John Bemelmans Marciano, Jane Yolen et Meg Rosoff.
Son travail comprend également des publicités télévisées animées et des illustrations éditoriales pour des journaux et des magazines.
source et suite
son site
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George Gershwin
Re: Sophie Blackall
Histoire : Deborah Noyes
Papillon rouge : Ou comment une princesse fit sortir de Chine le secret de la soie
Mais moi j’adore les légendes… surtout quand elles sont si joliment illustrées.
Le monde pictural de Sophie Blackall fait partie de ceux que j’ai délaissé depuis un moment… mais son illustration pour l’album A Velocity of Being me l’a rappelé et ainsi j’ai retrouvé cet album sur mes étagères.
Mais cela reste un fait que j’aime toujours autant de telles histoires et de ce côté ce livre reste une très belle découverte.
Avis aux amateurs.
Papillon rouge : Ou comment une princesse fit sortir de Chine le secret de la soie
Présentation de l’éditeur
Une jeune princesse chinoise dit au revoir aux mille splendeurs du royaume de son père, qu'elle aime tant.
" Adieu, pétales rosés. Adieu, lune blonde. " A la fin de l'été, elle devra partir vivre dans une oasis au fin fond d'un désert sec et brûlant. Mais, en secret, elle ose emporter un petit morceau de son pays natal avec elle.
Papillon rouge réinvente. La Légende de la princesse douce, mais rebelle, qui fit sortir de Chine un secret gardé jalousement depuis deux mille ans : le secret de la soie.
Je veux bien croire que les savants ont trouvé une autre explication que cette légende qui raconte comment la soie a pu sortir de la Chine.Khotan fut le premier endroit en dehors de la Chine historique à réussir à produire la soie. La légende, répétée dans de nombreuses sources et illustrée par des peintures murales découvertes par des archéologues, veut qu'une princesse chinoise a apporté des œufs de vers à soie cachés dans ses cheveux lorsqu'elle a été envoyée pour épouser le roi de Khotan. Cela a probablement eu lieu dans la première moitié du Ier siècle, mais la véracité de cette légende est contestée par plusieurs savants
source
Mais moi j’adore les légendes… surtout quand elles sont si joliment illustrées.
Le monde pictural de Sophie Blackall fait partie de ceux que j’ai délaissé depuis un moment… mais son illustration pour l’album A Velocity of Being me l’a rappelé et ainsi j’ai retrouvé cet album sur mes étagères.
Mais cela reste un fait que j’aime toujours autant de telles histoires et de ce côté ce livre reste une très belle découverte.
Avis aux amateurs.
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George Gershwin
Re: Sophie Blackall
Histoire : Lindsay Mattick
Finding Winnie: The Story of the Real Bear Who Inspired Winnie-the-Pooh
En voilà le hasard qui s‘en est chargé et quand je suis tombée sur ce titre, pas question que je voulais savoir plus.
Jusqu‘à présent pas de traduction française, ce qui est étonnant puisque Sophie Blackall a d‘autres livres qui ont été traduits et surtout Winnie-the-Pooh est quand même aussi une connaissance des jeunes lecteurs francophones.
Mais en tout cas, c‘est une très belle histoire, racontée de façon touchante et les images de Sophie Blackall s‘associent bien avec les mots.
Envie de retrouver l‘ours dans l‘histoire de A.A. Milne.
voilà où j‘ai trouvé cette adorable histoire… en plus il y a d‘autres images
Finding Winnie: The Story of the Real Bear Who Inspired Winnie-the-Pooh
Je n‘ai fait connaissance avec Winnie dans le livre de Alan Alexander Milne que récemment, mais je n‘avais jamais regardé d‘en savoir plus sur l‘origine de cette histoire.Présentation de l’éditeur
Before there was Winnie-the-Pooh, there was a real bear named Winnie.
In 1914, Harry Colebourn, a vet on his way to tend horses in World War 1, followed his heart and rescued a baby bear. He named her Winnie, and he took her to war.
Harry Colebourn's real-life great-granddaughter tells the true story of a remarkable friendship and an even more remarkable journey - from the fields of Canada to an army base in England. . .
And finally to London Zoo, where Winnie made another new friend - a boy named Christopher Robin Milne. . .
En voilà le hasard qui s‘en est chargé et quand je suis tombée sur ce titre, pas question que je voulais savoir plus.
Jusqu‘à présent pas de traduction française, ce qui est étonnant puisque Sophie Blackall a d‘autres livres qui ont été traduits et surtout Winnie-the-Pooh est quand même aussi une connaissance des jeunes lecteurs francophones.
Mais en tout cas, c‘est une très belle histoire, racontée de façon touchante et les images de Sophie Blackall s‘associent bien avec les mots.
Envie de retrouver l‘ours dans l‘histoire de A.A. Milne.
voilà où j‘ai trouvé cette adorable histoire… en plus il y a d‘autres images
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George Gershwin
Re: Sophie Blackall
Traduit de l’anglais pas Susie Morgenstern
Si tu viens nous voir sur Terre
J’avais entendu du bien lors de la parution anglaise et noté quelque part mais ce n’est qu'avec le commentaire dans Télérama que j'ai réalisé que la version française est disponible.
Marine Landrot en dit entre autre:
Sophie Backall, douée pour raconter des histoires qui font danser la réalité
et c’est tout à fait cela, la réalité danse, les images sont extra, les mots font voyager… je suis conquise !
Si tu viens nous voir sur Terre
Je suis navrée @Liseron, mais ta liste va s’agrandir, faudra ajouter cette pépite pour tes lecturesPrésentation de l’éditeur
« Si tu viens nous voir sur la Terre, voici ce que tu dois savoir.
Tu nous trouveras près d’un grand Soleil.
Et d’une toute petite Lune.
Au milieu d’un tas d’autres planètes, la nôtre est celle qui est vert bleu. »
Avec ses mots à lui, un enfant écrit une longue lettre à un visiteur de l’espace, pour lui expliquer à quoi ressemble son monde. Il lui décrit la Terre, ses climats, ses animaux, sa campagne, ses villes, ses habitants, leur diversité mais aussi ce qui les rassemble, nos manières de communiquer, de voyager, nos arts, notre quotidien d’enfant.
Tout en douceur et en bienveillance, les illustrations de cette lettre de 80 pages dépeignent toute la diversité de l’univers de l’enfant, la diversité des peaux, la diversité des sexes, des familles, des corps, des passions…
Avec la naïveté et la sincérité d’un petit humain, notre monde décrit pour un extra-terrestre se révèle multiple, complexe, beau, fragile et unique !
Sophie Blackall, illustratrice de renom multi récompensée, s’est inspirée de ses rencontres avec des classes à travers le monde pour nous offrir cet hymne à la bienveillance et au vivre ensemble.
Son objectif ? L’idée lui est venue dans l’Himalaya alors qu’elle grimpait jusqu’à une minuscule école pour une association.
« On ne se comprenait pas les uns les autres, mais les enfants ont eu l’idée de réaliser des dessins, ont partagé leur déjeuner, et de mon côté je leur ai montré quelques livres. » C’est ainsi qu’est né le projet d’illustrer tout ce qui nous avons en commun sur cette belle planète. « La seule que nous ayons, alors nous devons en prendre soin. »
J’avais entendu du bien lors de la parution anglaise et noté quelque part mais ce n’est qu'avec le commentaire dans Télérama que j'ai réalisé que la version française est disponible.
Marine Landrot en dit entre autre:
Sophie Backall, douée pour raconter des histoires qui font danser la réalité
et c’est tout à fait cela, la réalité danse, les images sont extra, les mots font voyager… je suis conquise !
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George Gershwin
Re: Sophie Blackall
Le Phare
Des histoires de phares, il y en a plus d’une sur mes étagères. Et je ne m’en lasse pas.Présentation de l’éditeur
Au milieu de l'océan, un gardien de phare veille sur les navires de passage, au fil de journées obéissant à un rituel immuable pour conserver la lampe de l'édifice en bon état de marche. Seuls, parfois, une tempête, une baleine passant par là, un naufrage, l'arrivée d'un bateau de ravitaillement ou le retour de l'épouse, viennent briser la routine.
Un album célébrant une vie simple et retirée.
Sophie Blackall a ajouté un bien bel album à ma collection.
Elle fait vraiment « le tour » de la vie du gardien du phare. Elle ne se limite pas de raconter une belle histoire, mais elle le fait à travers la vie de ces hommes à bord de ces « bateaux en pierres ».
Fascinant et extra !
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George Gershwin
Re: Sophie Blackall
J’aime beaucoup !
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"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
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Re: Sophie Blackall
Histoire : Matthew Olshan
A Voyage in the Clouds
The Mostly True Story of the First International Flight by Balloon in 1785
Et c’est dommage, il s’agit d’une histoire si drôle et les illustrations de Sophie Blackall s’associent adorablement.
Le ton de l’histoire, racontée par Matthew Olshan, est vraiment très malicieux.
Il se défoule avec le fait que les bonhommes sont de différentes nationalités et ainsi chacun d’eux veut avoir le succès pour son pays (avant qu’ils aient réussi leur exploit).
Avec les difficultés rencontrées en route, les voilà forcé de s’unir pour mener à bien leur projet et ainsi la fin ne va pas seulement être la première traversée en ballon de la Manche mais aussi leur amitié !
Album grand coup de cœur !
A Voyage in the Clouds
The Mostly True Story of the First International Flight by Balloon in 1785
Cet album se trouve depuis 2016 sur mes étagères et j’attendais une traduction… malheureusement toujours pas en vue.Présentation de l’éditeur
In the year and a half since the flight of the first manned balloon in 1783, an Italian has flown, a Scot has flown, a woman has flown, even a sheep has flown. But no one has flown from one country to another.
John Jeffries, an Englishman, and his pilot, Jean-Pierre Blanchard, a Frenchman, want to be the first.
On January 7, 1785, they set out to cross the English Channel to France in a balloon. All seemed to be going fine, until Jeffries decides the balloon looks too fat and adjusts the air valve--how hard could it be? Too bad he drops the wrench over the side of the aerial car. With no way to adjust the valve, the balloon begins to sink. Jeffries and Blanchard throw as much as they can overboard--until there is nothing left, not even their clothes.
Luckily, they come up with a clever (and surprising) solution that saves the day.
A Voyage in the Clouds from Matthew Olshan and Sophie Blackall is a journey that will keep kids laughing the whole way.
Et c’est dommage, il s’agit d’une histoire si drôle et les illustrations de Sophie Blackall s’associent adorablement.
Le ton de l’histoire, racontée par Matthew Olshan, est vraiment très malicieux.
Il se défoule avec le fait que les bonhommes sont de différentes nationalités et ainsi chacun d’eux veut avoir le succès pour son pays (avant qu’ils aient réussi leur exploit).
Avec les difficultés rencontrées en route, les voilà forcé de s’unir pour mener à bien leur projet et ainsi la fin ne va pas seulement être la première traversée en ballon de la Manche mais aussi leur amitié !
Album grand coup de cœur !
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Re: Sophie Blackall
La Ferme
Présentation de l’éditeur
Au bout d’un chemin semé d’orties et de mauvaises herbes, il était une ferme. Celle-ci avait vu grandir autrefois douze enfants entre ses murs. Mis à part quelques animaux qui y avaient trouvé refuge, elle n’était plus habitée depuis longtemps et tombait en ruine. Pourtant, elle regorgeait des secrets et des trésors de ses anciens habitants.
En une seule phrase, qui rythme tout l’album, l’autrice nous embarque dans un récit émouvant, à la rencontre d’une famille où l’on joue, se chamaille, se câline, où l’on prépare des tartes dont on se régale ensuite, où l’on dort les uns contre les autres, où l’on se réveille à l’aube pour traire les vaches, faire les foins et cueillir les pommes. Cette histoire n’en est pas une : elle raconte la vie, tout simplement.
Oooh j’aime ce genre d’albums.
Sophie Blackall ne raconte non seulement une très belle histoire mais elle le fait aussi avec des ustensiles qu’elle a récupéré dans ladite maison.
Et pour couronner le tout, elle a acheté cette ferme et le terrain autour pour en créer un lieu unique – Milkwood.
Mais revenons à La Ferme.
Le lecteur devient témoin de cette famille aux douze enfants, on suit leur jeunesse, la vie dans cette maison et ensuite leur départ.
On verse une petite larme à la fin quand on voit la dégradation.
Mais heureusement cela se termine quand même joyeusement puisque c’est Sophie Blackall qui vient et trouve cette maison et retire tout le matériel dont elle a besoin pour raconter son histoire… et créer par la suite quelque chose de nouveau dans ce lieu
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Re: Sophie Blackall
Things to Look Forward To
52 Large and Small Joys for Today and Every Day
Sur sa page Internet, il y a la section « Books For Children » et puis celle de « Books for Grownups ».Présentation de l’éditeur
Everyone needs things to look forward to: big things and small things, on good days and on bad days, whether we actively create delight for ourselves or simply allow it to enter our lives.
In these pages, beloved author and illustrator Sophie Blackall has gathered a collection of joys for all of us—reminders of everyday magic, like the sun coming up and new babies being born. With wisdom, whimsy, and compassion, the 52 illustrated ideas in this book offer moments of uplift and serendipity for yourself and your loved ones. Suggestions range from baking muffins for a friend to drawing a face on an egg and putting it in the fridge where it will smile at you each time you open the door.
A message of hope and solace in hard times and of joyful anticipation at times of new beginnings—whether you're grieving a loss or starting a new chapter, and for all the days in between—Things to Look Forward To is full of gentle reminders of the objects, occasions, gestures, and ideas that warm our hearts. There is always something bright on the horizon, and sometimes that horizon can be a lot closer than we think.
Cela a naturellement aiguisé ma curiosité.
En consultant cette section, j’ai vu qu’il n’y a pour l’instant seulement ce livre/album… et le résumé m’a donnée envie de tenter cette aventure pour « Grownups ».
quelle bonne idée
J’avais envie de poster toutes les images et tous les textes pour ses 52 Large and Small Joys.
Avec la plupart de ses idées, elle a ouvert la porte vers plein de mes propres souvenirs… des petites madeleines.
Cela m’a emmené dans une vraie aventure.
J’ai lu et en même temps j’avais envie d’écrire mes textes.
Belle découverte, je partage pas mal de moments joyeux avec Sophie Blackall.
En voici un livre que je vais lire et relire… quel grand coup de cœur !
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Re: Sophie Blackall
Texte : Ann E. Burgh
Force of Nature
A Novel of Rachel Carson
Après toutes ces années, cela me fascine toujours ce qui peut m’amener à découvrir un livre.
Pour celui-ci, il y avait non seulement une, même pas deux, mais trois tentations qui m’ont fait succomber.
Naturellement il y a le nom de Sophie Blackall qui signe ici pour les illustrations, bien que seulement en noir et blanc, mais j’aime bien ce qu’elle fait, du coup, garant pour que j’y jette un œil.
Ensuite un autre nom, celui de Rachel Carson que j’ai déjà croisé et qui m’était en bonne mémoire.
Mais bien sûr ce qui m’a totalement convaincu, c’est la façon de Ann E. Burgh pour écrire ce texte : en vers libres. Genre littéraire que j’adore !
Et elle excelle, il s’agit d’un bijou
J’espère que le personnage de Rachel Carson est assez fameux pour qu’un éditeur français se consacre d’une traduction, c’est un si beau texte… extra !
Force of Nature
A Novel of Rachel Carson
Présentation de l’éditeur
A beautiful and hopeful story of how a young impassioned naturalist grows up to change the world.
For everyone who cares about our fragile planet.
"An absolute joy to read." -Book Riot
"Gracefully written...pleasing to the eye and ear." -Kirkus Reviews
Rachel was a girl who loved
science and the sea,
books and writing
and all the creatures of the world.
Rachel was quiet,
a listener by nature.
But when she saw problems,
she could not remain silent.
Some people thought girls
shouldn't be scientists.
They thought girls
shouldn't use their voices
to question or challenge,
even to protect
all the creatures of the world.
Luckily Rachel didn't listen
to them.
Après toutes ces années, cela me fascine toujours ce qui peut m’amener à découvrir un livre.
Pour celui-ci, il y avait non seulement une, même pas deux, mais trois tentations qui m’ont fait succomber.
Naturellement il y a le nom de Sophie Blackall qui signe ici pour les illustrations, bien que seulement en noir et blanc, mais j’aime bien ce qu’elle fait, du coup, garant pour que j’y jette un œil.
Ensuite un autre nom, celui de Rachel Carson que j’ai déjà croisé et qui m’était en bonne mémoire.
Mais bien sûr ce qui m’a totalement convaincu, c’est la façon de Ann E. Burgh pour écrire ce texte : en vers libres. Genre littéraire que j’adore !
Et elle excelle, il s’agit d’un bijou
J’espère que le personnage de Rachel Carson est assez fameux pour qu’un éditeur français se consacre d’une traduction, c’est un si beau texte… extra !
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George Gershwin
Re: Sophie Blackall
Illustrations : Emily Jenkins
A Fine Dessert
Four Centuries, Four Families, One Delicious Treat
Au début, c’est le nom de Sophie Blackall qui m’a amené vers cet album. Quelle bonne découverte.
C’est vraiment marrant que ce fameux dessert donne l’occasion à l’auteur de raconter cette histoire extraordinaire.
En quelque sorte c’est une ronde avec très peu – mais d’importants – changements au cours des années.
Extra !
A Fine Dessert
Four Centuries, Four Families, One Delicious Treat
Présentation de l’éditeur
From highly acclaimed author Jenkins and Caldecott Medal–winning illustrator Blackall comes a fascinating picture book in which four families, in four different cities, over four centuries, make the same delicious dessert: blackberry fool. This richly detailed book ingeniously shows how food, technology, and even families have changed throughout American history.
In 1710, a girl and her mother in Lyme, England, prepare a blackberry fool, picking wild blackberries and beating cream from their cow with a bundle of twigs. The same dessert is prepared by an enslaved girl and her mother in 1810 in Charleston, South Carolina; by a mother and daughter in 1910 in Boston; and finally by a boy and his father in present-day San Diego.
Kids and parents alike will delight in discovering the differences in daily life over the course of four centuries.
Au début, c’est le nom de Sophie Blackall qui m’a amené vers cet album. Quelle bonne découverte.
C’est vraiment marrant que ce fameux dessert donne l’occasion à l’auteur de raconter cette histoire extraordinaire.
En quelque sorte c’est une ronde avec très peu – mais d’importants – changements au cours des années.
Extra !
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