Hélène Gaudy

domreader a écrit:

C'est drôle les ressentis, en relisant vos commentaires après avoir écrit le mien, j'ai l'impression qu'on a pas lu le même livre. Mais c'est tout l'intérêt de ce forum et des partages de lectures sur lesquelles on se rejoint, parfois pas tout à fait, ou encore pas du tout.

oui, cela arrive qu'on est tous tellement unanime que cela fait peur… mais cela peut aussi se faire qu'on ne retrouve pas les mêmes sensations dans les mêmes livres

comme tu le dis, c'est tout l'intérêt de nos échanges…

je suis quand même désolée si c'est le cas avec un tel grand coup de coeur pour moi… mais je vais y survivre

En plein dans la nuit

Présentation de l’éditeur
Un court roman d'une densité incroyable qui nous mène comme en apnée dans la tête d'un adolescent un peu perdu. En quittant en douce le collège, Julien trouve une arme. Il va l'apporter à Chen, son ancien ami. Ensemble ils vont trouver quoi en faire. L'univers cru de l'adolescence est évoqué sans effets et nous laisse sans voix.

Deux différences avec les autres livres de la collection Photoroman – tout d’abord il n’y pas une photo en couverture.

Par contre on a choisi une très belle image de Tom Haugomat. Cela me va très bien. Surtout qu’il met toujours de grands soins dans ses couvertures. Soit il a lu le texte, soit l’éditeur lui a donné un bon synopsis. En tout cas il a percé cette histoire en une image à perfection !


Et voilà la deuxième différence :  il n’y a pas de photos dans le livre, mais Hélène Gaudy donne au début un lien vers le site du photographe : Bertrand Desprez

Je ne saurais pas dire si ces photos ont inspirées une si bonne histoire à Hélène Gaudy ou si c’est seulement moi qui aime tout ce qu’elle écrit, j’en ressors enthousiaste.

En ce qui me concerne l’un des meilleur livre de cette collection.

Comme le dit la maison d’édition : « densité incroyable »

Dès que l’arme fait son apparition, il règne une tension tellement palpable, on n’arrête pas de tourner les pages pour voir comment cela va se terminer.

Wow, chapeau bas pour savoir tenir son lecteur ainsi en suspens.