Maggie Nelson
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Maggie Nelson
Maggie Nelson, née en 1973 à San Francisco, est une romancière, poète, essayiste, universitaire, américaine, qui traite, entre autres, des thèmes comme le féminisme, la violence sexuelle, l'identité sexuelle, le genre, la violence dans les médias, l'histoire de l'art et la philosophie.
Ses œuvres les plus connues sont Bleuets et Les Argonautes.
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Re: Maggie Nelson
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Bluets / Bleuets
La version française est sortie en août 2019 et depuis, ce texte se trouvait sur mes étagères. Le moment de ma « fête en bleu » me semblait la bonne occasion pour finalement franchir le pas.
Oui, il y a du bleu entre ses lignes… il y a de beaux passages… mais je dois avouer que pour la plupart je suis restée en dehors de ces fragments (surtout que je n’ai pas du tout compris le rapport entre baiser et la couleur bleu. Et elle s’étend plus d’une fois sur ce sujet).
Bref, cela va rester pour moi le souvenir d’une très belle couverture… mais pas beaucoup plus
Bluets / Bleuets
Mea culpa. Ce livre a en effet attiré mon attention à cause de la couverture de la version anglaise. Puis le titre et cette première phrase qu’elle était tombée amoureuse d’une couleur…Présentation de l’éditeur
Dans le sillage des Pensées de Pascal citées en exergue, Bleuets est un objet hybride quelque part entre l'essai, le récit, le poème. Deux cent quarante fragments composent cette méditation poétique, intime et obsessionnelle autour d'une couleur, le bleu. Le deuil, le sentiment amoureux, la mélancolie sont autant de thèmes chers à Maggie Nelson ici abordés dans une maïeutique convoquant l'art et la beauté entre deux digressions introspectives ou savantes, des fantasmes de l'auteure à des approfondissements autour de la pensée de Platon ou de Goethe, en passant par l’œuvre d'un Warhol ou d'un Klein ou la musique de Leonard Cohen.
Laissons-nous séduire par cette déclaration d'amour fou à une couleur, un livre à ranger précieusement entre les Fragments d'un discours amoureux de Roland Barthes et Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman.
Et si je commençais en disant que je suis tombée amoureuse d'une couleur. Et si je le racontais comme une confession ; et si je déchiquetais ma serviette en papier pendant que nous discutons. C'est venu petit à petit. Par estime, affinité. Jusqu'au jour où (les yeux rivés sur une tasse vide, le fond taché par un excrément brun et délicat enroulé sur lui-même pareil un hippocampe), je ne sais comment, ça a pris un tour personnel.
La version française est sortie en août 2019 et depuis, ce texte se trouvait sur mes étagères. Le moment de ma « fête en bleu » me semblait la bonne occasion pour finalement franchir le pas.
Oui, il y a du bleu entre ses lignes… il y a de beaux passages… mais je dois avouer que pour la plupart je suis restée en dehors de ces fragments (surtout que je n’ai pas du tout compris le rapport entre baiser et la couleur bleu. Et elle s’étend plus d’une fois sur ce sujet).
Bref, cela va rester pour moi le souvenir d’une très belle couverture… mais pas beaucoup plus
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