Rachel Hausfater
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Re: Rachel Hausfater
ensemble avec Yaël Hassan
Perdus de vue
En alternant les voix des deux protagonistes, on découvre Sofiane (Rachel Hausfater) et Régine (Yaël Hassan), leur vie, leurs pensées, leurs blessures…
Et finalement ils vont arriver à s’aider l’un l’autre… extra !
Première rencontre avec aussi bien Rachel Hausfater que le « duo littéraire » qu’elle forme avec Yaël Hassan, mais j’adore et je ne vais pas en rester là.
Stromae, Papaoutai
Perdus de vue
En effet, une rencontre improbable… mais heureusement pas impossible. Et du coup le lecteur se retrouve avec le plus grand plaisir au premier rang pour devenir témoin comment ces deux vont devenir des amis.Présentation de l’éditeur
Sofiane et Régine. L’adolescent et la vieille dame. Contre toute attente, le destin les réunit. Peu à peu ils se dévoilent, partagent leurs passions, les lectures, les balades… et les douleurs aussi. Forts de soutien et de courage, c’est ensemble qu’ils se confrontent aux erreurs du passé et façonnent l’histoire d’une belle amitié.
" Et je me retrouve dans la rue ensoleillée avec une petite vieille accrochée à mon bras. Normal, je suis son guide… Si les copains me voyaient… Je respire un bon coup et je lui dis :
— En route pour l’aventure ! "
illustration de la couverture: Olivier Tallec
En alternant les voix des deux protagonistes, on découvre Sofiane (Rachel Hausfater) et Régine (Yaël Hassan), leur vie, leurs pensées, leurs blessures…
Et finalement ils vont arriver à s’aider l’un l’autre… extra !
Première rencontre avec aussi bien Rachel Hausfater que le « duo littéraire » qu’elle forme avec Yaël Hassan, mais j’adore et je ne vais pas en rester là.
Stromae, Papaoutai
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Rachel Hausfater
Yankov
Cet album faisait partie de la sélection du Prix des Incorruptibles 2015/16.Présentation de l’éditeur
Yankov est un des rescapés des camps de la mort, avec d'autres comme lui ils sont recueillis dans une maison d'enfants. Mais comment redevenir un enfant quand on a vécu l'horreur ?
L'écriture poétique incantatoire de l'auteur restitue avec acuité les pensées et les émotions de ces enfants rendus sauvages qui ont presque tout oublié de la tendresse, de la tranquillité, et qu'une faim constante dévore.
Pour la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l’Holocauste, je voulais aussi trouver un titre dans la section jeunesse.
Je dois l’avouer, au début j’étais réticente d’entamer cette lecture. Ce n’est quand même pas si facile de parler des camps de la mort aux jeunes. Mais c’était mal connaître Rachel Hausfater.
Quel grand coup de cœur ! Et une fois de plus grâce au Prix des Incorruptibles.
Elle traite ce sujet avec une sensibilité, c’est extra.
Elle n’épargne pas au lecteur quelques scènes plus graves, mais elle les met bien dans le contexte.
Si je devais proposer de lire un livre du domaine de la jeunesse autour de l’Holocauste, je recommanderais ce roman.
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George Gershwin
Re: Rachel Hausfater
Illustrations : Caroline Ayrault
Je m'appelle Wlodjimyerz
Je pense que le prénom est pour bon nombre de gens la cause de petits soucis.
Pour moi c’était tout le contraire que pour Wlodjimyerz.
Sans se rendre compte, ma mère a eu la mauvaise idée de choisir un prénom qui était à la mode lors de ma naissance ce qui a donnée par la suite des situations de confusion à l’école. Certaines années on se retrouvaient à deux, trois, voire quatre filles avec le même prénom en classe.
Vive l’individualité et galère pour la maîtresse !
Cela ne pouvait pas arriver à Wlodjimyerz, mais on a détesté tous les deux notre prénom à un certain moment donné de notre vie ! Et comment !
Ce qui pose encore plus grand soucis que les problèmes de prononciation de ses copains ou personnel éducatif (n’en parlons pas de l’écrire), mais les blagues qu’on en fait. Et surtout les cruautés que les méchants font subir à ce jeune garçon.
Mais il va trouver la bonne attitude… et aussi les bons moyens pour se défendre et finalement il va même arriver après quelques détours à faire la paix avec ce prénom hors norme.
Bien fait pour lui !
C’était très agréable de retrouver la plume de Rachel Hausfater.
Je m'appelle Wlodjimyerz
Présentation de l’éditeur
Les ennuis ont commencé à la maternelle : son meilleur copain, qui s’appelle Bob, a su écrire son prénom en deux jours. Cole et Coline, Romain et Marine, Shira et Amina ont appris en quelques semaines, et à Noël tous écrivaient leur prénom sans problème. Tous sauf Wlodjimierz, a qui il a fallu un an pour y arriver. Un an, c’est aussi le temps que ça prend chaque année au maître ou à la maîtresse pour le retenir et le prononcer. Wlodjimyerz en a marre de ce prénom !
À cause de lui, les autres enfants se moquent et les grands sont toujours gênés. Si seulement il pouvait en changer...
Je pense que le prénom est pour bon nombre de gens la cause de petits soucis.
Pour moi c’était tout le contraire que pour Wlodjimyerz.
Sans se rendre compte, ma mère a eu la mauvaise idée de choisir un prénom qui était à la mode lors de ma naissance ce qui a donnée par la suite des situations de confusion à l’école. Certaines années on se retrouvaient à deux, trois, voire quatre filles avec le même prénom en classe.
Vive l’individualité et galère pour la maîtresse !
Cela ne pouvait pas arriver à Wlodjimyerz, mais on a détesté tous les deux notre prénom à un certain moment donné de notre vie ! Et comment !
Ce qui pose encore plus grand soucis que les problèmes de prononciation de ses copains ou personnel éducatif (n’en parlons pas de l’écrire), mais les blagues qu’on en fait. Et surtout les cruautés que les méchants font subir à ce jeune garçon.
Mais il va trouver la bonne attitude… et aussi les bons moyens pour se défendre et finalement il va même arriver après quelques détours à faire la paix avec ce prénom hors norme.
Bien fait pour lui !
C’était très agréable de retrouver la plume de Rachel Hausfater.
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George Gershwin
Re: Rachel Hausfater
Illustrations: Emmanuelle Halgand
La lumière de Bouchka
La présentation de l’éditeur le dit très bien.
Moi j’aurais plutôt dit : les caprices d’une jeune fille… je sais, cela sonne méchante, mais même si cela remonte à bien longtemps, j’étais une petite fille moi aussi
Et tout comme Bouchka, j’étais plutôt papa que maman, ainsi ces colères lors des moments de séparation, je connaissais. Et le manque de compassion de la part de la mère, cela sent aussi le vécu.
Mais Rachel Hausfater raconte en effet cette histoire de colère, se sentir rejeté, seul… très bien. Et comme si souvent dans la vie d’enfants, il ne s’agissait que d’un petit moment et les retrouvailles sont harmonieuses et paisibles.
Le tout est illuminé par les belles planches de l’artiste.
Extra.
La lumière de Bouchka
La recherche pour d’autres albums de Emmanuelle Halgand m’a amené vers cette histoire.Présentation de l’éditeur
"Papa est parti. Comme tout le temps, il n'a pas eu de temps pour Bouchka. Parce qu'il faut toujours qu'il travaille, toujours qu'il voyage, toujours qu'il soit jamais là. En voyant la porte se refermer, Bouchka s'est fâchée tout rouge, fâchée tout noir, et elle a tant crié que la colère l'a emportée".
Cette histoire toute en poésie nous fait passer de la colère à la douceur, de la nuit noire à la lumière, de la peur à l'apaisement.
La présentation de l’éditeur le dit très bien.
Moi j’aurais plutôt dit : les caprices d’une jeune fille… je sais, cela sonne méchante, mais même si cela remonte à bien longtemps, j’étais une petite fille moi aussi
Et tout comme Bouchka, j’étais plutôt papa que maman, ainsi ces colères lors des moments de séparation, je connaissais. Et le manque de compassion de la part de la mère, cela sent aussi le vécu.
Mais Rachel Hausfater raconte en effet cette histoire de colère, se sentir rejeté, seul… très bien. Et comme si souvent dans la vie d’enfants, il ne s’agissait que d’un petit moment et les retrouvailles sont harmonieuses et paisibles.
Le tout est illuminé par les belles planches de l’artiste.
Extra.
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George Gershwin
Re: Rachel Hausfater
Illustrations : Marion Barraud
Les pochettes-surprises
Je retrouve Rachel Hausfater une fois de plus avec une idée extraordinaire qui sait transposer son lecteur.
Première rencontre avec le monde graphique de Marion Barraud. Conquise.
Les pochettes-surprises
Oh comme c’est joli… belle découverte de ces pochettes-surprises qui racontent bien plus que l’énumération de leur contenu.Présentation de l’éditeur
Un tendre et poétique album cadeau sur le plaisir d'offrir et de surprendre ceux qu'on aime.
Dans la boutique d'Élisheva, on trouve tout ce qu'il faut pour fabriquer et remplir des pochettes-surprises. On farfouille dans les grands coffres peints, les armoires dodues et les paniers profonds. Puis on choisit un cornet de la couleur qu'on veut avant de le fermer avec un beau ruban. Ainsi découvre-t-on au fil des pages les pochettes personnalisées que l'enfant confectionne avec tendresse, comme autant d'évocations de ceux qu'il aime : Miki son copain rigolo, Lola son amour secret, Maman, Papa, Baba et Zézé ses grands-parents, et d'autres, plus inattendus. On y croise un livre d'histoires sans fin, les horaires d'un train appelé Transsibérien, une canne à pêcher les souvenirs, un crocodile aux grandes dents, des billes géantes, un mini-jeu électronique qui fait "zip boum dring"... Dans les pochettes-surprises, il y a tout, il y a eux, il y a nous.
On plonge avec délectation dans la poésie de ces listes à la Prévert, mêlant tendresse et humour, évoquant avec une grande justesse le plaisir d'offrir ainsi que les petits et grands bonheurs de la vie.
Je retrouve Rachel Hausfater une fois de plus avec une idée extraordinaire qui sait transposer son lecteur.
Première rencontre avec le monde graphique de Marion Barraud. Conquise.
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