Julian Barnes
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Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature de culture anglaise et gaëlique
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Re: Julian Barnes
Vous lui avez fait son pull pour l'hiver à Julian !
Jamais lu. Je crois que j'en ai un quelque part. Tout ça ne donne pas envie...
Jamais lu. Je crois que j'en ai un quelque part. Tout ça ne donne pas envie...
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Julian Barnes
Queenie a écrit:Vous lui avez fait son pull pour l'hiver à Julian !
C'est vrai que si on se relit...
Pourtant il est rempli d'éloges. Et conseillé par la librairie. Mais pas la bonne (J'en ai deux habituelles )
Aeriale- Messages : 11922
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Julian Barnes
Je le trouve ennuyeux et souvent les thèmes qu'il traite m'indiffèrent. Il m'avait aussi été recommandé chaudement par une libraire...
Dernière édition par domreader le Sam 5 Jan - 11:07, édité 1 fois
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3618
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Julian Barnes
Faut se méfier si ce sont les librairies qui vous conseillent plutôt que les libraires... Après tout, ce ne sont que des bâtiments... et je pense qu'elles n'ont pas d'yeux ni d'oreille, alors pour lire/écouter un livre, c'est chaud... !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Julian Barnes
LE FRACAS DU TEMPS (The noise of time) :4ème de couverture Folio : « Dans la Russie de Staline, un trait de plume du tyran suffit à vous condamner à mort et à faire disparaître votre oeuvre. Le jour où le jeune compositeur Dmitri Chostakovitch, au succès international, découvre dans la Pravda un article qui l'accuse de "déviationnisme élitiste et bourgeois" , il comprend que sa famille et lui sont menacés. C'est le point de départ d'une existence tiraillée entre la crainte permanente du pouvoir, l'instinct de survie et la quête de liberté. Julian Barnes explore en trois tableaux la vie et l'âme d'un grand créateur qui s'est débattu dans le chaos de son époque, tout en essayant de ne pas renoncer à son art. Un récit subtil et poignant. »
Ce musicien a passé trois grandes période historiques : La Révolution soviétique (Lénine), Le Culte de la Personnalité (Staline), La Guerre Froide (Kroutchev). Il est tour à tour honoré, honni, ou utilisé par les autorités suivant les moments et les besoins du pouvoir. Il rencontre aussi bien en Russie qu’à travers le monde (il représente l’Union Soviétique et la ‘musique pour le Peuple’) des artistes, musiciens, peintres, écrivains, philosophes, … mais tout cela reste superficiel dans le livre, tout comme son ressenti de ces situations. L’auteur se perd dans des considérations secondaires qui ne sont même pas approfondies, mais malheureusement répétées. Il faut peut-être faire de la page ? Sa construction me déplait, par petits paragraphes sautant d’un non sujet à un autre, glissant de temps en temps quelques lignes d’intérêt. Je suis allé jusqu’au bout, pour le côté historique, et peut-être en me disant que j’écouterai autrement ces symphonies et autres morceaux. De cet auteur, c’est une première pour moi, mais une dernière ; ennuyeux.
Ce musicien a passé trois grandes période historiques : La Révolution soviétique (Lénine), Le Culte de la Personnalité (Staline), La Guerre Froide (Kroutchev). Il est tour à tour honoré, honni, ou utilisé par les autorités suivant les moments et les besoins du pouvoir. Il rencontre aussi bien en Russie qu’à travers le monde (il représente l’Union Soviétique et la ‘musique pour le Peuple’) des artistes, musiciens, peintres, écrivains, philosophes, … mais tout cela reste superficiel dans le livre, tout comme son ressenti de ces situations. L’auteur se perd dans des considérations secondaires qui ne sont même pas approfondies, mais malheureusement répétées. Il faut peut-être faire de la page ? Sa construction me déplait, par petits paragraphes sautant d’un non sujet à un autre, glissant de temps en temps quelques lignes d’intérêt. Je suis allé jusqu’au bout, pour le côté historique, et peut-être en me disant que j’écouterai autrement ces symphonies et autres morceaux. De cet auteur, c’est une première pour moi, mais une dernière ; ennuyeux.
Ovalire- Messages : 125
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 66
Localisation : IdF
Re: Julian Barnes
Déjà testé sur un autre roman et pas aimé non plus !
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"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
Liseron- Messages : 4303
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Julian Barnes
Oui, c'est un peu le qualificatif qui me revient si je pense au premier roman de Julian Barnes que j'ai lu.Ovalire a écrit:ennuyeux.
J'ai eu du mal avec ce rythme lent et des répétitions. Pas un auteur pour moi non plus!
Aeriale- Messages : 11922
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Julian Barnes
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The Pedant In The Kitchen / Un homme dans sa cuisine
Cela faisait un bail que je n’ai pas lu Julian Barnes, mais j'aime bien le sujet de la cuisine et le résumé de cet homme dans la cuisine me tentait.
Ce qui est certain – j’ai beaucoup ri lors de cette lecture (écoute). Il a le don de parler de sujets sérieux et mettre en même temps un peu de bonne humeur.
En tout cas ses exploits en cuisine sont par moment hilarants, bien que je dois dire chapeau bas pour son courage d’avoir tenté autant de différents plats.
J’aurais abandonné après le premier ratage.
En tout un livre agréable qui fait passer quelques bons moments.
The Pedant In The Kitchen / Un homme dans sa cuisine
Présentation de l’éditeur
Autrefois, dans la famille Barnes, jamais un homme ne se serait risqué devant un fourneau. La cuisine, c'était une affaire réservée aux femmes...
Mais quand Julian est parti vivre à Londres, il a dû s'y mettre et on peut dire désormais que ses progrès ont été spectaculaires, sinon rapides...
Un des plus célèbres écrivains anglais d'aujourd'hui va nous livrer ici le désopilant récit de ses trouvailles (parfois curieuses, voir le saumon aux raisins secs), de ses échecs (souvent savoureux, voir pourquoi il a raté le lièvre à la sauce au chocolat) et de ses coups de gueule (ah, ces livres de cuisine tous aussi imprécis les uns que les autres !).
Celui qui se définit comme un "obsessionnel anxieux" nous fait partager ses angoisses et bien sûr ses enthousiasmes - en nous livrant au passage de bien délicieux secrets.
Cela faisait un bail que je n’ai pas lu Julian Barnes, mais j'aime bien le sujet de la cuisine et le résumé de cet homme dans la cuisine me tentait.
Ce qui est certain – j’ai beaucoup ri lors de cette lecture (écoute). Il a le don de parler de sujets sérieux et mettre en même temps un peu de bonne humeur.
En tout cas ses exploits en cuisine sont par moment hilarants, bien que je dois dire chapeau bas pour son courage d’avoir tenté autant de différents plats.
J’aurais abandonné après le premier ratage.
En tout un livre agréable qui fait passer quelques bons moments.
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