Alfred Kazin
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Re: Alfred Kazin
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A Walker in the City / Retour à Brooklyn
Lors de mes recherches, je suis tombée sur ce livre. En voyant que cela parle de New York, ou au moins d’un quartier de la ville, je ne pouvais pas résister.
Avec Alfred Kazin on va remonter le temps et on se retrouve dans une ville qui a disparu depuis longtemps. Il en reste de la nostalgie et de belles histoires de la jeunesse de l’auteur.
Mais c’est en fait cette teinte de sépia qui m’a enchantée le plus. Il décrit le tout de si près, on a l’impression de faire partie de sa famille, de sa rue, de son quartier.
Et le quartier se délimite en effet, si on croise quelques rues on se retrouve chez les Italiens ou les Allemands. Pas de grandes hostilités, mais on reste chez soi, pas de mélange entre les nations.
J’ai adoré mes balades avec Alfred Kazin dans ce New York ancien…
A Walker in the City / Retour à Brooklyn
Présentation de l’éditeur
Alfred Kazin est né en 1915, et a passé les vingt-trois premières années de sa vie dans le quartier de Brownsville à Brooklyn, l'un des cinq « boroughs « dont la réunion constitue la ville de New York.
Brownsville, écrit Kazin, était « le plus dur, le plus lointain, le plus vulgaire des ghettos de New York ».
Lui, il était le fils d'immigrants, petits ouvriers juifs. Enfant, il grimpait sur une colline du sommet de laquelle il pouvait apercevoir Manhattan :
« Je contemplais New York comme une ville étrangère. Là, brillante et irréelle, la ville vivait de sa vie propre, et c'était Brownsville qui était à nous. Que les deux ne fissent qu'une en moi, je l'ignorais alors... »
Son « Retour » est une évocation autobiographique de la quête classique du garçon à la recherche de l'homme qu'il lui faudra devenir. C'est aussi un coup d’œil jeté dans le « creuset américain », ce creuset où se mêlent les particularismes des immigrants venus d'Europe et les forces puissantes, mystérieuses, quelquefois écrasantes du Nouveau Monde et d'où sortent, en une génération à peine, de « vrais » Américains.
Lors de mes recherches, je suis tombée sur ce livre. En voyant que cela parle de New York, ou au moins d’un quartier de la ville, je ne pouvais pas résister.
Avec Alfred Kazin on va remonter le temps et on se retrouve dans une ville qui a disparu depuis longtemps. Il en reste de la nostalgie et de belles histoires de la jeunesse de l’auteur.
Mais c’est en fait cette teinte de sépia qui m’a enchantée le plus. Il décrit le tout de si près, on a l’impression de faire partie de sa famille, de sa rue, de son quartier.
Et le quartier se délimite en effet, si on croise quelques rues on se retrouve chez les Italiens ou les Allemands. Pas de grandes hostilités, mais on reste chez soi, pas de mélange entre les nations.
J’ai adoré mes balades avec Alfred Kazin dans ce New York ancien…
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