Robin Robertson
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Robin Robertson
Né en 1955, Robin Robertson est l'un des principaux poètes britanniques contemporains.
Il est également l'éditeur d'Irvine Welsh, John Banville et James Kelman. Succès en Angleterre, Walker a remporté le Goldsmiths Prize for innovative fiction et a été finaliste du Man Booker Prize en 2018.
Source : Editeur
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Re: Robin Robertson
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The Long Take / Walker
Ceux qui me connaissent, savent que cela allait fonctionner comme appât de rêve pour que je tente cette lecture.
Et j’en ressors vraiment enthousiaste. Un texte qui reste quand même facile d’accès, il n’y a rien d’un poème « hermétique ».
En fait il y a de longs passages qui donnent l’impression plutôt d’un roman avec un aménagement à part que d’un poème.
Le personnage de Walker revient de guerre mais l’Amérique ne le fête pas en héros, en fait, plus personne ne veut parler de cette guerre mais gagner de l’argent et s’amuser.
Ainsi notre « héros » se perd un peu entre ses cauchemars des choses vues en Europe et son envie de reprendre une vie normale.
Si on aime ce genre de texte un peu ‘expérimentale’, on va y trouver son bonheur.
La noirceur et le côté grave de la guerre y sont naturellement, mais en tout je dois dire que je suis vraiment convaincue du résultat.
The Long Take / Walker
Présentation de l’éditeur
« Il marche, Walker. C’est son nom et sa nature. »
Jeune soldat canadien de retour des champs de bataille de la Seconde Guerre mondiale, Walker s’installe à New York en 1946. Hanté par la violence des combats, il peine à trouver sa place dans une Amérique où l’argent et la corruption règnent désormais en maîtres.
Il se lance alors dans une odyssée qui le conduit à San Francisco puis Los Angeles, tente de gagner sa vie en travaillant dans la presse et côtoie le monde du cinéma et du film noir qui le fascine.
Mais point de salut pour cette âme perdue, condamnée à errer dans un décor qui n’est autre que le reflet de son chaos intime.
Road novel en forme de poème épique aux images puissantes, Walker est une évocation en noir et blanc de l’Amérique de l’après-guerre, une sublime parabole sur la nature du Mal.
Ceux qui me connaissent, savent que cela allait fonctionner comme appât de rêve pour que je tente cette lecture.
Et j’en ressors vraiment enthousiaste. Un texte qui reste quand même facile d’accès, il n’y a rien d’un poème « hermétique ».
En fait il y a de longs passages qui donnent l’impression plutôt d’un roman avec un aménagement à part que d’un poème.
Le personnage de Walker revient de guerre mais l’Amérique ne le fête pas en héros, en fait, plus personne ne veut parler de cette guerre mais gagner de l’argent et s’amuser.
Ainsi notre « héros » se perd un peu entre ses cauchemars des choses vues en Europe et son envie de reprendre une vie normale.
Si on aime ce genre de texte un peu ‘expérimentale’, on va y trouver son bonheur.
La noirceur et le côté grave de la guerre y sont naturellement, mais en tout je dois dire que je suis vraiment convaincue du résultat.
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