William Fiennes
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Re: William Fiennes
commentaire de 2014
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The Snow Geese / Les oies des neiges
Mais me voilà avec un livre qui ne parle pratiquement que de cela. Comment cela se fait ?
Tout d’abord une mention dans la liste des meilleurs livres de l’année 2014 d’après le magazine LIRE et ensuite la quatrième de couverture qui m’a donné envie d’aller à la rencontre.
Et elle fut bonne. Même très bonne !
Naturellement il parle beaucoup des oiseaux et en particulier des oies des neiges, du fait de la migration, il cite les recherches qu’on a fait pour comprendre le comment et pourquoi.
Mais ce voyage qu’il entreprend va se faire sur terre et parmi des gens qu’il rencontre au cours de son périple. Il y a plus d’un «oiseau étrange» parmi ceux-là aussi. Mais tous sont dépeints avec beaucoup de sympathie et bienveillance.
Pour moi non seulement un dépaysement à cause du voyage mais certainement aussi à cause du sujet.
Je ne saurais pas dire ce que cela a donné en version française, mais en anglais c’est une des écritures les plus belles que j’ai rencontrées ces dernières années.


The Snow Geese / Les oies des neiges
Je vous garantis, je n’ai pas développé lors de ces derniers mois un intérêt pour l’ornithologie. Au contraire. Rien ne me laisse si indifférent que les oiseaux.Présentation de l’éditeur
Gravement malade alors qu'encore étudiant, ballotté entre hôpitaux et longues périodes de convalescence dans la maison familiale, William Fiennes retrouve par hasard dans une bibliothèque un livre de son enfance : L'Oie des neiges. Et ce sera pour lui l'amorce d'une renaissance...
Chaque été, les oies des neiges nidifient dans l'Arctique canadien. Et chaque automne elles migrent par millions vers le sud des États-Unis et le golfe du Mexique. Avant de refaire au printemps suivant le voyage en sens inverse. Pourquoi de tels périples, longs de près de cinq mille kilomètres, dont beaucoup ne reviennent pas ? Quels signes mystérieux leur indiquent qu'il faut partir ? Quelle force les pousse deux fois par an à quitter un lieu pour un autre, une maison pour une autre ?
Autant de questions qui le fascinent, l'interpellent. Et voilà, pour s'échapper de la prison de la maladie, qu'il entreprend de faire à son tour ce voyage, à leur suite...
Au final, un récit aux multiples rebondissements, tout autant sur la migration des oiseaux que sur la notion même d'errance, sur la joie de bouger, d'être en vie.
Une œuvre exceptionnelle qui fourmille d'histoires, d'anecdotes et de rencontres humaines.
Couvert de prix dès sa parution, dont le Somerset Maugham Award, ce livre est pour Rick Bass «un véritable trésor» et pour Peter Carey «un enchantement».
Mais me voilà avec un livre qui ne parle pratiquement que de cela. Comment cela se fait ?
Tout d’abord une mention dans la liste des meilleurs livres de l’année 2014 d’après le magazine LIRE et ensuite la quatrième de couverture qui m’a donné envie d’aller à la rencontre.
Et elle fut bonne. Même très bonne !
Naturellement il parle beaucoup des oiseaux et en particulier des oies des neiges, du fait de la migration, il cite les recherches qu’on a fait pour comprendre le comment et pourquoi.
Mais ce voyage qu’il entreprend va se faire sur terre et parmi des gens qu’il rencontre au cours de son périple. Il y a plus d’un «oiseau étrange» parmi ceux-là aussi. Mais tous sont dépeints avec beaucoup de sympathie et bienveillance.
Pour moi non seulement un dépaysement à cause du voyage mais certainement aussi à cause du sujet.
Je ne saurais pas dire ce que cela a donné en version française, mais en anglais c’est une des écritures les plus belles que j’ai rencontrées ces dernières années.
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