Judith Kerr
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Judith Kerr
© Tom Pilston
Judith Kerr au zoo de Londres, 2016, recevant le prix BookTrust Lifetime Achievement pour sa contribution à la littérature jeunesse
Fille d'un écrivain allemand reconnu, Judith Kerr est née en 1923 à Berlin.
Sa famille quitta l'Allemagne lors de la montée du nazisme et s'installa en Angleterre en 1936.
Elle a épousé l'écrivain Nigel Kneale et est devenue citoyenne britannique. Leur fille sera actrice et leur fils, romancier. Ainsi, la tradition de l'écriture se perpétue pour l'instant sur trois générations.
Judith Kerr a été enseignante, designer dans le textile et a travaillé dans l'édition avant de devenir écrivain
Source : Editeur
plus d'informations en anglais
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George Gershwin
Re: Judith Kerr
Judith Kerr récompensée pour sa contribution à la littérature jeunesse
06/07/2016
L’auteure et illustratrice britannique Anna Judith Gertrud Helene Kerr, dite Judith Kerr, a été récompensée par le prix BookTrust Lifetime Achievement pour sa contribution à la littérature jeunesse, elle qui a vendu près de 9 millions de livres dans le monde, et dont le travail est traduit dans 25 langues différentes. Chaque année, le prix est attribué à un écrivain ou illustrateur dont l’œuvre (tournée vers la littérature pour enfants) mérite la reconnaissance du jury.
« Je suis honorée et ravie d’avoir été choisie pour recevoir le Lifetime Achievement Award du Booktrust », a déclaré la lauréate de 93 ans après la cérémonie de remise de la récompense, organisée au Zoo de Londres.
L’un des membres du jury, la chancelière de l’université de l’Essex (Colchester, Angleterre) Shami Chakrabarti, n’a pas tari d’éloges pour l’auteure. Selon elle, Judith Kerr représente « la puissance durable de la narration et de la parole écrite » et « symbolise le meilleur de la littérature européenne et britannique. En tant que jeune réfugiée qui a fui les nazis, elle a grandi et a apporté la plus grande contribution à la littérature jeunesse au Royaume-Uni. Tant que les gens liront Quand Hitler s'empara du lapin rose, il y aura de l’espoir dans le monde ».
Rassemblant la critique Nicolette Jones, l’auteure et illustratrice Cressida Cowell, le poète John Agard, l’illustrateur et écrivain anglais de littérature jeunesse Chris Riddel et la directrice générale de BookTrust, Diana Gerald, le jury s'est réuni pour la 2e année consécutive. L’année dernière, ils ont récompensé Shirley Hughes pour ses ouvrages Dogger (éd. The Bodley Head, 1977) et sa série The Alfie.
« De grands auteurs et illustrateurs amènent les enfants à découvrir des livres qui leur sont destinés. Nous savons que les livres peuvent être une étape de changement dans la vie des enfants, et nous voulons célébrer le travail des auteurs dont les livres provoquent ce genre d’impacts. Judith est l’une de ces personnes » a complété Diana Gerald.
Un devoir de mémoire de l'Holocauste
Surtout connue pour ses livres jeunesse, Judith Kerr a rédigé la célèbre série The Mog, composée de 18 ouvrages. Elle a aussi écrit la trilogie à succès Out of the Hitler Time, composée des livres When Hitler Stole Pink Rabbit (1971), The Other Way Round (1975) et A Small Person Far Away (1987).
Il s’agit en réalité d’un récit autobiographique basé sur sa propre expérience de la Seconde Guerre mondiale. Contraints de fuir l’Allemagne avec sa famille en 1933 — le père de Judith Kerr, journaliste et scénariste avait critiqué par les nazis et était recherché —, les Kerr sont passés par la Suisse et Paris avant d’arriver en Angleterre en 1936. Naturalisée quelques années après son arrivée dans le pays, elle décide d’y poursuivre sa vie. Dans les ouvrages de la série Out of the Hitler Time, l’auteure met l’accent sur la montée du Nazisme dans les années 30, et fait état de son propre retour d’expérience en tant que réfugiée.
En 1945, elle est diplômée de la Central School of Arts and Crafts, une école publique d’Arts à Londres et exerce dans la foulée la profession d’enseignante, de scénariste pour la BBC, puis d’auteur, avec la sortie de son ouvrage The Tiger Who Came to Tea (1968), qu’elle a commencé à écrire lorsque ses propres enfants étaient en âge de lire. Le livre, qui n’a jamais cessé d’être réédité depuis sa sortie, fut l’un de ses plus grands succès.
En 2012, Judith Kerr a reçu le grade d’Officier de l’ordre de l’Empire britannique, un ordre de chevalerie du système honorifique britannique, la récompensant également pour son œuvre pour la littérature jeunesse, mais aussi pour son éducation à l’Holocauste. Elle crée l’événement l’année passée en publiant son premier ouvrage depuis 37 ans. Intitulé Mister Cleghorn’s Seal (Le phoque de M. Cleghorn), ce livre illustré a été publié en septembre chez HarperCollins Children’s Book.
source
06/07/2016
L’auteure et illustratrice britannique Anna Judith Gertrud Helene Kerr, dite Judith Kerr, a été récompensée par le prix BookTrust Lifetime Achievement pour sa contribution à la littérature jeunesse, elle qui a vendu près de 9 millions de livres dans le monde, et dont le travail est traduit dans 25 langues différentes. Chaque année, le prix est attribué à un écrivain ou illustrateur dont l’œuvre (tournée vers la littérature pour enfants) mérite la reconnaissance du jury.
« Je suis honorée et ravie d’avoir été choisie pour recevoir le Lifetime Achievement Award du Booktrust », a déclaré la lauréate de 93 ans après la cérémonie de remise de la récompense, organisée au Zoo de Londres.
L’un des membres du jury, la chancelière de l’université de l’Essex (Colchester, Angleterre) Shami Chakrabarti, n’a pas tari d’éloges pour l’auteure. Selon elle, Judith Kerr représente « la puissance durable de la narration et de la parole écrite » et « symbolise le meilleur de la littérature européenne et britannique. En tant que jeune réfugiée qui a fui les nazis, elle a grandi et a apporté la plus grande contribution à la littérature jeunesse au Royaume-Uni. Tant que les gens liront Quand Hitler s'empara du lapin rose, il y aura de l’espoir dans le monde ».
Rassemblant la critique Nicolette Jones, l’auteure et illustratrice Cressida Cowell, le poète John Agard, l’illustrateur et écrivain anglais de littérature jeunesse Chris Riddel et la directrice générale de BookTrust, Diana Gerald, le jury s'est réuni pour la 2e année consécutive. L’année dernière, ils ont récompensé Shirley Hughes pour ses ouvrages Dogger (éd. The Bodley Head, 1977) et sa série The Alfie.
« De grands auteurs et illustrateurs amènent les enfants à découvrir des livres qui leur sont destinés. Nous savons que les livres peuvent être une étape de changement dans la vie des enfants, et nous voulons célébrer le travail des auteurs dont les livres provoquent ce genre d’impacts. Judith est l’une de ces personnes » a complété Diana Gerald.
Un devoir de mémoire de l'Holocauste
Surtout connue pour ses livres jeunesse, Judith Kerr a rédigé la célèbre série The Mog, composée de 18 ouvrages. Elle a aussi écrit la trilogie à succès Out of the Hitler Time, composée des livres When Hitler Stole Pink Rabbit (1971), The Other Way Round (1975) et A Small Person Far Away (1987).
Il s’agit en réalité d’un récit autobiographique basé sur sa propre expérience de la Seconde Guerre mondiale. Contraints de fuir l’Allemagne avec sa famille en 1933 — le père de Judith Kerr, journaliste et scénariste avait critiqué par les nazis et était recherché —, les Kerr sont passés par la Suisse et Paris avant d’arriver en Angleterre en 1936. Naturalisée quelques années après son arrivée dans le pays, elle décide d’y poursuivre sa vie. Dans les ouvrages de la série Out of the Hitler Time, l’auteure met l’accent sur la montée du Nazisme dans les années 30, et fait état de son propre retour d’expérience en tant que réfugiée.
En 1945, elle est diplômée de la Central School of Arts and Crafts, une école publique d’Arts à Londres et exerce dans la foulée la profession d’enseignante, de scénariste pour la BBC, puis d’auteur, avec la sortie de son ouvrage The Tiger Who Came to Tea (1968), qu’elle a commencé à écrire lorsque ses propres enfants étaient en âge de lire. Le livre, qui n’a jamais cessé d’être réédité depuis sa sortie, fut l’un de ses plus grands succès.
En 2012, Judith Kerr a reçu le grade d’Officier de l’ordre de l’Empire britannique, un ordre de chevalerie du système honorifique britannique, la récompensant également pour son œuvre pour la littérature jeunesse, mais aussi pour son éducation à l’Holocauste. Elle crée l’événement l’année passée en publiant son premier ouvrage depuis 37 ans. Intitulé Mister Cleghorn’s Seal (Le phoque de M. Cleghorn), ce livre illustré a été publié en septembre chez HarperCollins Children’s Book.
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Re: Judith Kerr
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When Hitler stole pink rabbit / Quand Hitler s’empara du lapin rose
Il y a deux raisons qui m’ont amené vers cette lecture.
Tout d’abord ce prix que Judith Kerr a eu récemment.
Son œuvre illustré est pratiquement inconnu en France, ce qui est dommage. À part qu’elle est doué pour l’écriture, elle a fait de sublimes livres illustrés…
Ensuite il y a cette série de photos colorisées par Sanna Dullaway qui montrent des scènes d’il y a 70 ans, quand bon nombre d’Européens étaient des réfugiés. C’est certainement le moment d’y repenser !
Ce livre est le premier d’une trilogie, bien que ce soit lui qui est le plus connu et qui a eu probablement le plus de succès.
Bien que ce livre a été écrit en anglais, c’est probablement dû à ses origines allemandes, en monde germanophone, Judith Kerr fait partie des auteurs de jeunesse très reconnus.
En tout cas depuis ma jeunesse ce titre m’était connu et je ne sais pas pourquoi je n’ai jamais franchi le pas.
Mais c’est bien fait. Un livre tout à fait charmant. Bien sûr c’est une jeune fille de 9-10 ans qui se trouve au centre du livre et c’est écrit pour un jeune public, mais cela n’empêche pas qu’on peut voir entre les lignes les nuages qui étaient lors de ces années au-dessus de l’Europe.
Judith Kerr n’a jamais oublié qu’elle a probablement survécu à cause de la prévoyance de son père qui a conduit sa famille en dehors de l’Allemagne quand il était encore temps. Elle lui a rendu justice dans ce beau livre qui garde encore tout son droit.
Entre 1939 et 1945, plus de 60 millions d’Européens durent fuir les horreurs de la guerre.
Une série de photographies aujourd’hui colorisées montre leur voyage.
Des images qui mettent en perspective ce que peuvent vivre les migrants actuels
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When Hitler stole pink rabbit / Quand Hitler s’empara du lapin rose
Présentation de l’éditeur
C’est l’histoire d’Anna dans l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler. Elle a neuf ans et ne s’occupe guère que de crayons de couleur, de visites au zoo avec son «oncle» Julius et de glissades dans la neige.
Brutalement les choses changent. Son père disparaît sans prévenir. Puis, elle-même et le reste de sa famille s’expatrient pour le rejoindre à l’étranger. Départ de Berlin qui ressemble à une fuite.
Alors commence la vie dure - mais non sans surprises - de réfugiés. D’abord la Suisse, près de Zurich. Puis Paris. Enfin Londres.
Odyssée pleine de fatigues et d’angoisses mais aussi de pittoresque et d’imprévu - et toujours drôles – d’Anna et de son frère Max affrontant l’inconnu et contraints de vaincre toutes sortes de difficultés - dont la première et non la moindre: celle des langues étrangères!
Ce récit autobiographique de Judith Kerr nous enchante par l’humour qui s’en dégage, et nous touche.
Il y a deux raisons qui m’ont amené vers cette lecture.
Tout d’abord ce prix que Judith Kerr a eu récemment.
Son œuvre illustré est pratiquement inconnu en France, ce qui est dommage. À part qu’elle est doué pour l’écriture, elle a fait de sublimes livres illustrés…
Ensuite il y a cette série de photos colorisées par Sanna Dullaway qui montrent des scènes d’il y a 70 ans, quand bon nombre d’Européens étaient des réfugiés. C’est certainement le moment d’y repenser !
Ce livre est le premier d’une trilogie, bien que ce soit lui qui est le plus connu et qui a eu probablement le plus de succès.
Bien que ce livre a été écrit en anglais, c’est probablement dû à ses origines allemandes, en monde germanophone, Judith Kerr fait partie des auteurs de jeunesse très reconnus.
En tout cas depuis ma jeunesse ce titre m’était connu et je ne sais pas pourquoi je n’ai jamais franchi le pas.
Mais c’est bien fait. Un livre tout à fait charmant. Bien sûr c’est une jeune fille de 9-10 ans qui se trouve au centre du livre et c’est écrit pour un jeune public, mais cela n’empêche pas qu’on peut voir entre les lignes les nuages qui étaient lors de ces années au-dessus de l’Europe.
Judith Kerr n’a jamais oublié qu’elle a probablement survécu à cause de la prévoyance de son père qui a conduit sa famille en dehors de l’Allemagne quand il était encore temps. Elle lui a rendu justice dans ce beau livre qui garde encore tout son droit.
Entre 1939 et 1945, plus de 60 millions d’Européens durent fuir les horreurs de la guerre.
Une série de photographies aujourd’hui colorisées montre leur voyage.
Des images qui mettent en perspective ce que peuvent vivre les migrants actuels
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Re: Judith Kerr
Joyeux Noël, Mog
Présentation de l’éditeur
En se réveillant ce matin-là, Mog sent que rien n'est comme d'habitude à la maison.
Il y a beaucoup trop de monde et tous sont occupés à cuisiner ou à fabriquer des guirlandes. Mog n'aime pas trop ça.
Elle sort dans le jardin, et aperçoit un énorme sapin qui marche vers elle : c'en est trop ! Elle grimpe à toute vitesse sur le toit et refuse catégoriquement de descendre, malgré les appels de toute la famille…
Du peu qui est disponible de Judith Kerr en français, j’ai choisi ce livre pour faire partie de mes lectures de Noël.
Après Puffy d’Anne Fine, c’est le deuxième chat que je rencontre ces dernières semaines.
Il est moins ‘sarcastique’, mais il n’aime Noël pas plus que Puffy.
Ce livre de Judith Kerr avec des illustrations très douces, est destiné à un lectorat plus jeune.
Mais qui fait autant de plaisir que les aventures vécues chez Anne Fine.
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Re: Judith Kerr
trouvaille de Chris, trop mignon
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Re: Judith Kerr
oh non... loin, très loin de là
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Re: Judith Kerr
Le Tigre qui s'invita pour le thé
Quand l’annonce de la mort de Judith Kerr a fait la une il y a quelques jours, je voulais lui rendre hommage en lisant un de ses plus fameux livres.Présentation de l’éditeur
Sophie et sa maman prennent le thé dans la cuisine quand on sonne à la porte. Un tigre énigmatique et envahissant s'invite à leur table, et mange tout le goûter. Insatiable, il cherche dans la cuisine, le frigidaire, les placards… et avale tout ce qu'il trouve jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.
Et c’est tout bon. Je peux comprendre son statut de « classique » dans le domaine des albums illustrés.
En voilà un tigre affamé… marrant la réaction de Sophie et de sa maman. Mais voilà ce qu’on appelle hospitalier.
Un moment extra de lecture… et une pensée pour Judith et son tigre !
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Re: Judith Kerr
Encore une figure importante de la littérature de jeunesse qui disparaît...
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"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
Liseron- Messages : 4307
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Judith Kerr
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Bombs on Aunt Dainty / Ici Londres
Je voulais faire au moins une lecture qui est en relation avec cette date.
Après ma lecture du premier tome de cette trilogie, Quand Hitler s’empara du lapin rose, j’avais en principe prévu de continuer avec la suite. Il en a fallu quelques années pour retirer ce livre de ma PAL.
C’était extra de me retrouver aux côtés de Anna (Judith).
Entre-temps elle n’est plus la « petite », mais le lecteur va la suivre entre ses 15 et 18 ans… une jeune fille qui trouve son chemin.
La qualité des écrits de Judith Kerr est indéniable et ainsi on ne sent pas les 450 pages, on y vole à travers.
Séjour très réussi à Londres… même en temps de guerre.
Bombs on Aunt Dainty / Ici Londres
Le 27 janvier était la Journée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste.Présentation de l’éditeur
Ici Londres est la suite de Quand Hitler s’empara du lapin rose, un classique de la littérature anglaise.
Cela fait sept ans qu’Anna et sa famille se sont enfuis à Londres. Mais alors que la ville est assiégée par les bombes du régime nazi, la jeune fille est rattrapée par son statut de réfugiée allemande, et se sent étrangère à nouveau. À ces doutes s’ajoutent des soucis familiaux, notamment l’internement de son frère Max sur l’île de Man et la difficile réception des œuvres de son père dramaturge. C’est dans ce difficile contexte qu’Anna découvre sa vocation pour le dessin, et tombe amoureuse.
Cette histoire, c’est celle de Judith Kerr. Ici Londres est un roman autobiographique bouleversant, précieux témoignage de l’exil et de l’adolescence en temps de guerre.
Un roman inoubliable à lire à tout âge.
Je voulais faire au moins une lecture qui est en relation avec cette date.
Après ma lecture du premier tome de cette trilogie, Quand Hitler s’empara du lapin rose, j’avais en principe prévu de continuer avec la suite. Il en a fallu quelques années pour retirer ce livre de ma PAL.
C’était extra de me retrouver aux côtés de Anna (Judith).
Entre-temps elle n’est plus la « petite », mais le lecteur va la suivre entre ses 15 et 18 ans… une jeune fille qui trouve son chemin.
La qualité des écrits de Judith Kerr est indéniable et ainsi on ne sent pas les 450 pages, on y vole à travers.
Séjour très réussi à Londres… même en temps de guerre.
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