Yael Hedaya
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Yael Hedaya
Yael Hedaya est née en 1964 à Jérusalem.
Ecrivain, journaliste et scénariste israélienne. Elle est titulaire d'un MA de littérature anglaise de la New York University.
Elle a travaillé pour la télévision israélienne.
Elle enseigne la création littéraire à L'Hebrew University de Jerusalem.
Source : Babelio
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Re: Yael Hedaya
Hamishim – Cinquante
Veuve et élevant seule ses trois enfants, Alona s’est fixé deux objectifs avant d’avoir 50 ans : vendre la série comique qu’elle a écrite et coucher avec un homme…
Portée par l’irrésistible Ilanit Ben-Yaakov (Les méduses, Your Honor), inédite en France, une série israélienne désopilante qui se révèle aussi un émouvant portrait de femme.
la série sera disponible jusqu’au 01/07/2022 : ici
Cela fait un bout de temps que je suis tombée sur cette série et en voyant de plus prés, j’ai vu que Yael Hedaya a écrit le scénario.
Vu son âge (et le fait qu’elle a élevé ses enfants seule), je dirais qu’il y a du vécu dans cette histoire… et de mon point de vue elle est réjouissante, triste, désopilante, …
Il faut probablement être une femme de ± 50 ans pour vraiment apprécier cette série, ...je me suis en tout cas régalée.
Mention spéciale pour Ilanit Ben-Yaakov, elle est époustouflante
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Re: Yael Hedaya
Trois histoires d’amour
Après avoir vu la série Hamishim, j’étais aussi curieuse de voir de plus près Yael Hedaya en tant qu’auteur.Présentation de l’éditeur
Une histoire qui finit mal ne commence pas forcément bien et n’advient, dirait-on, que pour mieux se défaire : tel est l’amour selon Yael Hadaya dans ces nouvelles où femmes et hommes en quête de l’amour ou du bonheur, s’illusionnant sur l’un et l’autre, appelant le naufrage en prétendant vouloir l’éviter, sont autant de témoins de l’adage selon lequel il n’y a pas d’amour heureux.
Attentive à l’humain lorsqu’il est à la merci de son propre cœur, l’écrivain se tient en embuscade en ces lieux et moments quotidiens où les affects vacillent.
A la manière des petits drames capturés par certaines toiles de Chardin ou de Vermeer, ces histoires, chargées du poids et de l’épaisseur de vies minuscules, métamorphosent l’évidence en intensité, la banalité en tragédie, l’insignifiance en traumatisme.
Véritable bonheur de justesse et de discrétion, l’écriture de Yael Hedaya, qui s’illumine parfois d’un humour inattendu, exalte avec une subtilité dérangeante tout le pathétique de la condition humaine.
Publié en 1997, traduit en 2002, il s’agit d’après mes recherches du seul livre d’elle qui est disponible en français.
Comme l’indique le titre, il s’agit de trois histoires : « novellas » - le genre qui est plus longue qu’une nouvelle mais pas assez longue pour la considérer comme roman.
Surtout la première, Animaux de compagnie, est extraordinaire.
Le statut de la relation entre une femme et un homme se montre à travers le comportement du chien qu’ils ont trouvé lors de leur première soirée et par après ‘adopté’.
Qu’il devient une bête féroce qui mord une voisine après avoir été un toutou très gentil et doux en dit long sur cette relation après quelques mois
Les deux autres histoires n’étaient pas mal mais ne m’ont pas touché autant.
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