Georges Simenon
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Re: Georges Simenon

Le chien jaune
Présentation de l’éditeur
Vendredi 7 novembre. Concarneau est désert. L'horloge lumineuse de la vieille ville, qu'on aperçoit au-dessus des remparts, marque onze heures moins cinq.
C'est le plein de la marée et une tempête du sud-ouest fait s'entrechoquer les barques dans le port. Le vent s'engouffre dans les rues, où l'on voit parfois des bouts de papier filer à toute allure au ras du sol.
Quai de l'Aiguillon, il n'y a pas une lumière. Tout est fermé. Tout le monde dort. Seules les trois fenêtres de l'hôtel de l'Amiral, à l'angle de la place et du quai, sont encore éclairées…
Ce reportage m’a amené vers ce livre… et je pensais qu’après les enquêtes un peu loufoques aux côtés de Miss Seeton, cela ferait du bien de retrouver une enquête plus classique.
Et Simenon est certes une valeur sûre, je n’en ai pas lu autant, mais tous ceux que j’ai découvert me plaisaient bien.
En plus, comment refuser un séjour en Bretagne, surtout que je connais la ville de Concarneau assez bien de mes visites.
Il ne me fallait donc pas plus pour faire mes valises et m’engager aux côtés de l’inspecteur pour élucider ce mystère du chien jaune.
Il y a dans ces pages assez de mystère, de suspects, de poison, de vent iodé et un Maigret trop sympa pour passer un très bon moment.
J’ai adoré ce moment breton.
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George Gershwin
Re: Georges Simenon
Ca me donne envie...
Je regarderai la vidéo ce soir (quand je ne serais plus en train de lire le forum en douce au boulot !)

Re: Georges Simenon
voilà les boulots comme je les aimeIzaBzh a écrit:en train de lire le forum en douce au boulot !)

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Re: Georges Simenon

Les caves du Majestic
L’autre jour dans l’émission Invitation au voyage on parlait dans le reportage Le Paris de Maigret de son roman Les caves du Majestic et que l’inspiration qui servait pour cet hôtel était le Claridge.Présentation de l’éditeur
Il y a le Paris de l'opulence et des raffinements délicats. Il y a celui des petits matins blêmes et des couples éreintés. Prosper Donge, employé d'un palace situé sur les Champs-Elysées, trouve de bon matin le cadavre d'une cliente tassé dans l'une des quatre-vingt-douze armoires métalliques du vestiaire. Cette jeune Américaine aurait été étranglée alors que le mari était absent pour affaires. Que faisait-elle là ? Maigret découvre alors pour les besoins de l'enquête un monde à part fait de coulisses et de pièces cachées ; un monde avec ses codes et ses drames où s'affairent des anonymes et où la richesse extrême côtoie la précarité, la fatigue et le travail de ceux qui, dans l'ombre, servent, regardent, ressentent et n'en pensent pas moins...
Toutes les histoires d’hôtels m’attirent et ainsi j’étais partante de faire un petit séjour à Paris aux côtés de Maigret.
Tout comme j’aime les policiers qui se perdent un peu dans des descriptions et bavardages, autant j’apprécie le « no-nonsense » de Georges Simenon.
Son inspecteur Maigret résout les énigmes sans fioritures et cela donne de très bons moments de lecture.
J’ai en tout cas bien profité de mon séjour au Majestic.
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Re: Georges Simenon

Mon ami Maigret
Après l’enquête à Paris je voulais partir avec Simenon dans le sud… le temps semblait parfait pour des vacances estivales.Présentation de l’éditeur
Maigret reçoit la visite de Mr Pyke, agent de Scotland Yard, désireux de connaître ses fameuses méthodes. Mais aucun cas intéressant ne se présente à Paris.
C'est alors qu'un coup de téléphone de Porquerolles informe Maigret du meurtre d'un certain Marcellin qui, le jour de sa mort, a prétendu être un « ami » du commissaire.
Il y a quelques années, Maigret l'a fait emprisonner et en même temps faisait admettre au sanatorium son amie Ginette, tuberculeuse.
La population cosmopolite de l'île livre peu à peu ses secrets à l'œil attentif de Maigret et de Mr. Pyke...
Et bien que pour lui ce n’était pas tout à fait du repos, moi j’ai bien profité de mon séjour à Porquerolles.
Le commissaire me devient de plus en plus sympa et j’aime bien sa façon d’enquêter.
Sa façon de faire ses observations, de mener ses interviews et finalement sans fioritures trouver le meurtrier… classe !
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George Gershwin
Re: Georges Simenon
Illustrations : Loustal

Ceux du Grand Café
Après ma « rencontre » avec Georges Simenon dans le livre de Nadine Monfils, j’avais aussi envie de reprendre un de ses livres.
Dans celui-ci j’ai retrouvé une fois de plus le commissaire Maigret.
Mais pour cette enquête, il s’agit d’une version avec des illustrations de Loustal.
Contrairement à des romans qui contiennent des images en couleurs, ici seulement la couverture est coloriée. À l’intérieur il n’y a que des noirs et blancs.
Il y a aussi deux autres changements importants du côté Maigret – il n’habite plus à Paris puisqu’il est en retraite.
Et j’ai découvert un commissaire grincheux… mais grave !
Au cours des pages, cela s’explique et finalement quand il dévoile le secret de cette énigme, on comprend le pourquoi.
Simenon sait bien tenir son lecteur pendant la durée d’une nouvelle en haleine. J’ai en tout cas bien aimé.
Il existe d’autres volet de cette collection Carnets omnibus… je vais tâcher d’en trouver d’autres.

Ceux du Grand Café
Présentation del’éditeur
Un enquête du commissaire Maigret dans une nouvelle illustrée par Loustal.
Maigret connaissait tout le monde à Meung-sur-Loire, où il s'était retiré. Il était à la retraite. Il cultivait son jardin et bricolait dans son cabanon au bord du fleuve. Il lui arrivait d'entrer au Grand Café, près du pont, il y buvait parfois un demi. Ce n'était pas encore une habitude.
Après ma « rencontre » avec Georges Simenon dans le livre de Nadine Monfils, j’avais aussi envie de reprendre un de ses livres.
Dans celui-ci j’ai retrouvé une fois de plus le commissaire Maigret.
Mais pour cette enquête, il s’agit d’une version avec des illustrations de Loustal.
Contrairement à des romans qui contiennent des images en couleurs, ici seulement la couverture est coloriée. À l’intérieur il n’y a que des noirs et blancs.
Il y a aussi deux autres changements importants du côté Maigret – il n’habite plus à Paris puisqu’il est en retraite.
Et j’ai découvert un commissaire grincheux… mais grave !
Au cours des pages, cela s’explique et finalement quand il dévoile le secret de cette énigme, on comprend le pourquoi.
Simenon sait bien tenir son lecteur pendant la durée d’une nouvelle en haleine. J’ai en tout cas bien aimé.
Il existe d’autres volet de cette collection Carnets omnibus… je vais tâcher d’en trouver d’autres.
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