Jessica J. Lee
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Re: Jessica J. Lee
Turning
A Swimming Memoir
Présentation de l’éditeur
'The water slips over me like cool silk. The intimacy of touch uninhibited, rising around my legs, over my waist, my breasts, up to my collarbone. When I throw back my head and relax, the lake runs into my ears. The sound of it is a muffled roar, the vibration of the body amplified by water, every sound felt as if in slow motion . . .' Summer swimming . . . but Jessica Lee - Canadian, Chinese and British - swims through all four seasons and especially loves the winter. 'I long for the ice. The sharp cut of freezing water on my feet. The immeasurable black of the lake at its coldest. Swimming then means cold, and pain, and elation.'
At the age of twenty-eight, Jessica Lee, who grew up in Canada and lived in London, finds herself in Berlin. Alone. Lonely, with lowered spirits thanks to some family history and a broken heart, she is there, ostensibly, to write a thesis. And though that is what she does daily, what increasingly occupies her is swimming. So she makes a decision that she believes will win her back her confidence and independence: she will swim fifty-two of the lakes around Berlin, no matter what the weather or season. She is aware that this particular landscape is not without its own ghosts and history.
This is the story of a beautiful obsession: of the thrill of a still, turquoise lake, of cracking the ice before submerging, of floating under blue skies, of tangled weeds and murkiness, of cool, fresh, spring swimming - of facing past fears of near drowning and of breaking free.
When she completes her year of swimming Jessica finds she has new strength, and she has also found friends and has gained some understanding of how the landscape both haunts and holds us.
This book is for everyone who loves swimming, who wishes they could push themselves beyond caution, who understands the deep pleasure of using their body's strength, who knows what it is to allow oneself to abandon all thought and float home to the surface.
il y a en tout trois cartes dans le livre qui montrent tous les 52 lacs dans lesquels elle a nagé, j’ai choisi de poster celle qui regroupe le plus de lacs
J’ai découvert ce livre lors de la sortie en version allemande et un clip dans lequel l’auteur parle de son exploit avec ces 52 lacs (heureusement elle s’est donnée une limite – dans le Brandebourg il y a environ 3.000 lacs!!!)
Cela ne va étonner personne qu’un livre avec un tel sujet s'est retrouvé entre mes mains.
J’ai attendu un bon moment pour voir s’il va y avoir une version française. Pour l’instant cela n’a pas l’air. Mais j’ai découvert qu’un autre de ses livres a eu une traduction l’année dernière, ainsi je lui ouvre son fil.
C’est marrant, je suis à 100 % une nageuse de piscine. Pas de mer, lacs, étangs pour moi. Et surtout pas en hiver ! Mais j’ADORE lire quand d’autres s’y aventurent et je me régale de leurs observations.
En ce qui concerne Jessica J. Lee, elle fait un bel mélange entre anecdotes personnelles, moments dans l’eau, descriptions de la nature, quelques observations du côté différence entre Canadiens et Allemands.
C’est tout bon, cela fait plaisir à lire et j’ai beaucoup aimé accompagner cette jeune femme lors de ce challenge.
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Jessica J. Lee
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Two Trees Make a Forest / Deux arbres, une forêt
On retrouve non seulement ses souvenirs et ceux de sa famille, mais elle montre aussi cette île de sous tous les aspects.
Flore et Faune sont regardées de près, on fait le tour des lieux intéressants à voir.
J’étais contente de retrouver la plume de Jessica, mais je dois avouer que le sujet ne m’a pas autant conquis que ses mémoires des séances de natation.
Two Trees Make a Forest / Deux arbres, une forêt
Aussi consciencieuse comme dans son livre pour les lacs de Berlin, Jessica J. Lee fait le tour de Taiwan.Présentation de l’éditeur
Découvrant les mémoires de son grand-père, la Canadienne Jessica J. Lee prend conscience qu’elle connaît peu l’histoire de ses grands-parents originaires de Taïwan, séparés irrévocablement de leur famille au moment de l’avènement de la Chine communiste. Au gré de ses excursions sur l’île, en forêt, en montagne ou sur la côte, elle renoue avec ce passé enfoui.
Deux arbres, une forêt est un récit de voyage poétique sur les traces d’une famille déchirée qui dresse un portrait de Taïwan à travers ses failles, qu’elles soient humaines, politiques ou géologiques.
On retrouve non seulement ses souvenirs et ceux de sa famille, mais elle montre aussi cette île de sous tous les aspects.
Flore et Faune sont regardées de près, on fait le tour des lieux intéressants à voir.
J’étais contente de retrouver la plume de Jessica, mais je dois avouer que le sujet ne m’a pas autant conquis que ses mémoires des séances de natation.
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