Re: Vilhelm Hammershoi

par **kenavo** Lun 10 Aoû - 5:06

Invitation au voyage: Le Danemark d'Hammershoi

Linda Lorin nous emmène à la découverte de notre patrimoine artistique, culturel et naturel.
Dans ce numéro : Au Danemark, les cinquante nuances de gris d’Hammershoi À Copenhague, le peintre Vilhelm Hammershoi a su capter comme personne les atmosphères grises et vertes du ciel et des nombreux canaux de la capitale.

à voir ici

Disponible du 06/08/2020 au 11/10/2020

Ce qui est surtout intéressant - on ne montre presque pas d‘intérieurs mais beaucoup de vues de Copenhague et de la nature… cela change complètement, même si on reconnaît encore et toujours son style…

Amalienborg Square, Copenhagen, 1896

The Old Buildings of the Asiatic Company, 1902

The Royal Palace Church in Copenhagen, 1910

The Marble Bridge at Christiansborg

par **kenavo** Jeu 17 Sep - 6:33

je ne saurais pas dire si l'oeuvre de Hammershoi était connu en 1925 au Mexique... mais cette photo de Tina Modotti donne l'impression qu'elle s'en est inspirée Very Happy

Tina Modotti , Open Doors, Mexico City, 1925

par **kenavo** Ven 25 Fév - 6:27

Interior with a table, bookcase and Windsor Chair, 25 Strandgade, 1913

par **kenavo** Ven 18 Mar - 6:30

Cour, Strandgade 30, 1905

C’est une cour de vieil immeuble, du XIXe siècle ou peut-être de la fin du XVIIIe, vue en plongée, depuis le troisième ou peut-être quatrième étage : on ne sait pas, la vue ne va pas jusqu’au fond de la cour et n’atteint pas non plus le haut de l’immeuble, mais seulement une partie de ce troisième ou quatrième étage qu’on devine plus long. En fait on ne voit que les fenêtres de cet étage-là, qu tourne à l’angle droit, si bien que certaines sont de face et les autres de l’étage inférieur, mais elles se trouvent dans l’ombre, la lumière dans cette cour étroite, ce boyau, ne parvient pas jusque-là.

Suite dans Les petits personnages de Marie Sizun

par **kenavo** Mer 13 Avr - 7:03

à cause de cette image qui fait couverture du livre de Elisavet Moutzan-Martinengou, j’ai ressortie Philippe Delerm, Intérieur, et trouvé aussi son texte pour Femme écrivant à un pupitre

Elle a quitté son corps, car elle écrit. La regarder, c’est la surprendre. Il est tard, les tentures étouffent tous les bruits. Le lustre du salon est allumé, mais sa lumière commence à s’épuiser, à l’angle du secrétaire. On n’entend plus que le griffement de la plume sur le papier, avec de temps en temps ce blanc quand elle relève la tête en cherchant une idée. Cet infime gauchissement de son corps, l’épaule un peu surélevée, la main qui retient le papier… Jusqu’à l’autre main qui écrit, la descente est très douce, en même temps si résolue. Son pied recule parfois sous la robe longue, comme si sa pensée allait chercher son assise, son élan sur le plancher.
De temps à autre elle s’interrompt, les mains aux haches se déploie avec un tout petit soupir de souffrance et de satisfaction mêlées. Puis elle se penche de nouveau, repart. Alors quand elle n’est plus ici qu’en apparence, jamais son corps ne semble si présent ; le geste même qui l’entraîne ailleurs est une offrande à cette opacité, cette lourdeur du soir qui tombe des rideaux, de la lumière oblongue amenuisée. Il peut être plus tard encore.

par **kenavo** Mer 26 Oct - 2:59

Intérieur, 1890

par **kenavo** Lun 16 Jan - 1:16

Interior with Two Candles, Copenhagen, 1904

par **kenavo** Ven 3 Nov - 1:59

cette toile se trouve à l'Art Institute of Chicago

Interior, The Music Room, Strandgade 30, 1907

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