Edward Gorey
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Edward Gorey
Edward Gorey (1925-2000) est un dessinateur singulier. Ne nous attardons pas sur sa vie sentimentale ou le nombre de ses bagues, et retenons l’essentiel.
Certains se souviennent de lui comme de l’étrange individu, portant jeans et manteau de fourrure, qui assista pendant un quart de siècle à toutes les représentations du New York City Ballet.
D’autres savent que sa belle-mère chantait la Marseillaise dans le film Casablanca ou qu’il vivait avec en moyenne sept chats dans un petit appartement new-yorkais.
Les plus érudits le connaissent pour son générique de la série Mystery!, les plus âgés se rappellent son décor renversant pour le Dracula donné à Broadway en 1977.
Le plus étonnant, c’est le nombre d’Américains qui ont eu, un jour ou l’autre, un livre d’Edward Gorey entre les mains. Extravagantes, inclassables, souvent d’inspiration surréaliste, toujours brèves et délicieuses à parcourir, ces œuvres farfelues font la joie des amateurs de livres décalés. Les recueils de Gorey sont aujourd’hui rassemblés dans des anthologies.
Sa maison de campagne — Elephant House — a été transformée en musée. Plusieurs essais explorent son univers. Tim Burton le revendique comme maître. La méconnaissance de cet auteur en France est d’autant plus étonnante...
Source : Editeur
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George Gershwin
Re: Edward Gorey
Les Jumblies
Une entrée idéale dans le monde loufoque d’Edward Gorey.Présentation de l’éditeur
L’écrivain dessinateur Edward Gorey trouvait beaucoup de charme aux textes du poète anglais Edward Lear : « j’ai découvert Les Jumblies grâce mon grand-père quand j’avais 4 ou 5 ans, et cela reste un de mes livres préférés. Quand j’ai su que Lear avait lui-même fait un petit dessin pour accompagner son poème, je me suis dit que je pourrais l’illustrer en entier. »
Qui sont Les Jumblies ? Une bande de joyeux et très petits lurons qui décident de parcourir toutes les mers du globe dans une passoire, au désespoir de leurs parents qui les supplient de rester à la maison.
Les 20 dessins d’Edward Gorey donnent vie à ce fouillis (c’est le sens original du mot jumble) de personnages excentriques et attachants. L'art du trait de Gorey et la fantaisie des vers de Lear font des Jumblies un parfait délice, qu’il faut relire, encore et encore.
Les Jumblies sont à mon avis les dessins les plus ‘soft’ de lui mais une adorable façon d’aborder cet illustrateur.
Un grand merci à la maison d’édition Le Tripode pour ce moment exquis.
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George Gershwin
Re: Edward Gorey
Edward Gorey, une anthologie
Si vous aimez l’œuvre de Edward Gorey ou si vous voulez faire connaissance – en voici le bon moyen.Présentation de l’éditeur
Le meilleur d'Edward Gorey en un seul livre ! Cinq albums majeurs du maître de Tim Burton, dont le cultissime Les Enfants fichus.
Edward Gorey (1925-2000) fut sans doute l'écrivain-dessinateur le plus original du siècle dernier. Du début des années 1950 jusqu'à la fin des années 1990, sous son nom ou sous des pseudonymes transparents (Ogdred Weary, Eduard Blutig, D. Awdrey-Gore, Edward Pig, Madame Groeda Weyrd...), il a conçu une centaine de recueils inhabituels mêlant textes et images. De The Unstrung Harp (1953) à The Headless Bust (1999), ces œuvres se composent d'une myriade d'histoires aux titres étranges, aux dessins minutieux, aux phrases elliptiques, où se mêlent les ingrédients les plus improbables : la somptuosité du gothique et la rigueur de l'absurde, le mystère des romans policiers et la poésie des haikus, l'élégance des intérieurs victoriens et la simplicité du clair-obscur, l'esprit du surréalisme et le goût du fantastique, les destins tragiques et les vies légères, les chiens philosophes et les urnes métaphysiques, les chats cabots et les danseuses de ballets mélancoliques, les abécédaires et les secrets, les monstres sympathiques et les enfants perdus...
Une anthologie rassemble les albums suivants : L'Enfant Guigne ; Les Enfants fichus ; L'Aile ouest ; Total Zoo ; Le Couple détestable
Histoires et images à part, du Gorey à 100 %.
Si on adhère en voici le bon livre pour trouver son bonheur.
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George Gershwin
Re: Edward Gorey
Histoire : Rhoda Levine
Three Ladies Beside the Sea
Un livre dont il n’existe pour l’instant pas de version française.
Une histoire très étrange, mais elle s’associe à merveille avec les images à part de Edward Gorey.
On passe un très bon moment avec ce petit album… ces temps-ci il en faut de tels petits bonbons
Three Ladies Beside the Sea
Présentation de l’éditeur
Wickedly funny and delightfully sad, Three Ladies Beside the Sea is a tale of love found, love lost, and love never-ending.
Edward Gorey’s off-kilter Edwardian maidens are the perfect accompaniment to Rhoda Levine’s lilting rhymes.
The place is remote:
Three houses beside the sea.
The Characters are Few:
Laughing Edith of Ecstasy,
Edith so happy and gay.
Smiling Catherine of Compromise,
She smiles her life away.
And then there is Alice of Hazard,
A dangerous life leads she.
The question in the plot is quite simple:
Why is Alice up in a tree?
The answer can be discovered:
Edith and Catherine do.
Three houses beside the sea.
The Characters are Few:
Laughing Edith of Ecstasy,
Edith so happy and gay.
Smiling Catherine of Compromise,
She smiles her life away.
And then there is Alice of Hazard,
A dangerous life leads she.
The question in the plot is quite simple:
Why is Alice up in a tree?
The answer can be discovered:
Edith and Catherine do.
Un livre dont il n’existe pour l’instant pas de version française.
Une histoire très étrange, mais elle s’associe à merveille avec les images à part de Edward Gorey.
On passe un très bon moment avec ce petit album… ces temps-ci il en faut de tels petits bonbons
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Re: Edward Gorey
The Osbick Bird
Une fois de plus, j’ai trouvé ce livre à cause d’un commentaire sur ce sitePrésentation de l’éditeur
An Edward Gorey classic back in print after four decades.
Emblus Fingby's life was changed forever with the unexpected arrival of the osbick bird. The two became inseparable companions. Their curious relationship came to an end only with the utmost display of loyalty.
In The Osbick Bird, Edward Gorey examines the uncertainties of life with his signature humor and illustrations.
E-x-t-r-a !
J’ai quelques albums de Edward Gorey, mais celui-ci est certainement mon favori pour l’instant.
J’adore ce couple improbable et tout à fait déjanté.
En voilà un bonbon qui se croque tout seul.
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