Cecil Day-Lewis
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Cecil Day-Lewis
Cecil Day-Lewis (ou Day Lewis), (né à Ballintubber, en Irlande le 27 avril 1904 - mort à Hadley Wood, dans le Hertfordshire, au Royaume-uni, le 22 mai 1972) est un poète britannique, poète lauréat de 1967 à 1972, commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique et, sous le pseudonyme de Nicholas Blake, un auteur de roman policier.
Il est le père du comédien Daniel Day-Lewis.
source et suite
Série Nigel Strangeways
1935 A Question of Proof / Il manquait une preuve
1936 Thou Shell of Death / Rendez-vous avec la mort
1937 There's Trouble Brewing / Le Squelette en habit
1938 The Beast Must Die / Que la bête meure !
1938 The Smiler With the Knife
1940 Malice In Wonderland, aussi titré The Summer Camp Mystery
1941 The Case of The Abominable Snowman, aussi titré The Corpse in the Snowman / Le Bonhomme de neige
1946 Minute for Murder / La Mort est servie
1949 Head of a Traveller
1953 The Dreadful Hollow
1954 The Whisper in the Gloom, aussi titré Catch and Kill
1957 End of Chapter / Fin de chapitre
1959 The Widow's Cruise
1961 The Worm of Death
1964 The Sad Variety
1966 The Morning after Death
Dernière édition par kenavo le Ven 1 Mar - 1:22, édité 1 fois
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George Gershwin
Re: Cecil Day-Lewis
Illustrations: Edward Ardizzone
The Otterbury Incident
Il s’agit d’un livre pour la jeunesse, mais puisqu’il n’est pas traduit, malheureusement, je ne vais pas lui ouvrir un fil à part dans cette section.
Les lecteurs francophones pourraient quand même connaître le début de l’histoire quand ils ont vus le film Nous les gosses de 1941 :
Cecil Day-Lewis s’est inspiré grandement de cette trame d’histoire, il remercie d’ailleurs l’Academy Cinema Ltd et Messers Pathescope pour leur permission d’adapter ce film comme point de départ de son roman.
Au lieu de Paris des années 40 on se retrouve chez lui dans une petite ville anglaise, après la guerre.
Et après ce début, il a inventé une belle suite autour de ces enfants, leur initiative de gagner de l’argent, mais surtout le grand finale avec les méchants qui ont volé l’argent.
Il s’agit vraiment d’une aventure extraordinaire, bien qu’il s’agisse d’enfants, on prend grand plaisir de faire partie de leur groupe et on suit avec beaucoup d’intérêt le dénouement de cette histoire.
The Otterbury Incident
Un autre titre de la liste de Hayao Miyazaki.Présentation de l’éditeur
It all begins when Nick breaks the classroom window with his football, and the Headmaster says Nick has to pay for the damage. Nick has no more hope of raising the money than of going to the Moon, so that's when rivalling Ted's and Toppy's gangs decide to sign a truce and plan Operation Glazier to get the money for Nick. The plan goes smoothly and soon the money has been collected, but when it goes missing the boys turn detective to try and find the culprit.
Il s’agit d’un livre pour la jeunesse, mais puisqu’il n’est pas traduit, malheureusement, je ne vais pas lui ouvrir un fil à part dans cette section.
Les lecteurs francophones pourraient quand même connaître le début de l’histoire quand ils ont vus le film Nous les gosses de 1941 :
Wikipédia a écrit:Dans une école primaire pour garçons de la proche banlieue parisienne, au cours d'un match de football dans la cour de récréation, le ballon atterrit dans la grande verrière et la démolit. Le responsable du coup de pied fatal est un enfant issu d'une famille pauvre. Les grandes vacances sont proches, ses camarades d'école décident de se solidariser pour l'aider à rembourser le prix de la restauration d'une nouvelle verrière en travaillant pendant l'été.
Cecil Day-Lewis s’est inspiré grandement de cette trame d’histoire, il remercie d’ailleurs l’Academy Cinema Ltd et Messers Pathescope pour leur permission d’adapter ce film comme point de départ de son roman.
Au lieu de Paris des années 40 on se retrouve chez lui dans une petite ville anglaise, après la guerre.
Et après ce début, il a inventé une belle suite autour de ces enfants, leur initiative de gagner de l’argent, mais surtout le grand finale avec les méchants qui ont volé l’argent.
Il s’agit vraiment d’une aventure extraordinaire, bien qu’il s’agisse d’enfants, on prend grand plaisir de faire partie de leur groupe et on suit avec beaucoup d’intérêt le dénouement de cette histoire.
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Re: Cecil Day-Lewis
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A Question of Proof / Il manquait une preuve
Il s’agit d’un classique whodunit qui regroupe tous les éléments de ce genre.
Le cadre est bien choisi pour cette première enquête, j’adore les écoles anglaises avec leurs structures un peu rigides, mais tout plein de tradition.
L’auteur sait bien conduire le lecteur dans tous les coins des investigations et il décrit merveilleusement l’atmosphère de ces lieux.
Un très bon moment de lecture… et j’ai bien envie de retrouver le détective Nigel Strangeways dans d’autres livres.
A Question of Proof / Il manquait une preuve
En recherchant le nom de Cecil Day-Lewis, que j’avais repéré dans la liste de Hayao Miyazaki, j’ai vu qu’il y avait des traductions pour les policiers qu’il a écrit sous le pseudonyme de Nicholas Blake. Avec mon idée d’un été en polars/policiers me voilà partie pour une chasse au meurtrier.Présentation de l’éditeur
A l'école de Sudeley Hall, les jeunes gens des meilleures familles se préparent à entrer dans les universités les plus prestigieuses du pays. Un environnement protégé, des professeurs à l'enseignement soigneusement édulcoré, bref un endroit très comme il faut... où la mort violente n'a absolument pas sa place... N'avait pas sa place. Car il faut bien se résoudre à reconnaître que le jeune Algernon Wemyss n'a pas pu s'étrangler tout seul. Et l'assassinat de cet élève plutôt brillant brouille tout à coup l'image lisse du collège : rancoeurs, haines, basses vengeances et adultères ne demandent plus qu'à éclater au grand jour. Des haines dont, semble-t-il, Wemyss paraît avoir fait les frais...
Et l'arrivée du détective Nigel Strangeways à Sudeley Hall ne va pas contribuer à calmer les esprits... ni le meurtrier.
Quand le poète Cecil Day-Lewis joue les auteurs de romans policiers, c'est avec un grand talent mais sous le nom plus discret de Nicholas Blake...
Il s’agit d’un classique whodunit qui regroupe tous les éléments de ce genre.
Le cadre est bien choisi pour cette première enquête, j’adore les écoles anglaises avec leurs structures un peu rigides, mais tout plein de tradition.
L’auteur sait bien conduire le lecteur dans tous les coins des investigations et il décrit merveilleusement l’atmosphère de ces lieux.
Un très bon moment de lecture… et j’ai bien envie de retrouver le détective Nigel Strangeways dans d’autres livres.
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George Gershwin
Re: Cecil Day-Lewis
Intéressant!
Et je ne savais pas que le père de Day Lewis était un auteur de polars! merci Kena
Et je ne savais pas que le père de Day Lewis était un auteur de polars! merci Kena
Aeriale- Messages : 11922
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Cecil Day-Lewis
Oui, encore un auteur de polars à noter, surtout dans le cadre d'une école anglaise !! Belle trouvaille kena !
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3618
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Cecil Day-Lewis
je l'ai appris à la même occasionAeriale a écrit:Et je ne savais pas que le père de Day Lewis était un auteur de polars!
grâce à la liste de Hayao Miyazaki j'ai fait de sublimes découvertes ces dernières semainesdomreader a écrit:Oui, encore un auteur de polars à noter, surtout dans le cadre d'une école anglaise !! Belle trouvaille kena !
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Re: Cecil Day-Lewis
Voilà qui serait parfait pour mon marathon polars de l'été !
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Epi- Messages : 1943
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Cecil Day-Lewis
oui, tu devrais passer un bon moment en sa compagnie
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Re: Cecil Day-Lewis
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Thou Shell of Death / Rendez-vous avec la mort
À part la mention de ‘Noël’ à deux reprises, il n’y a vraiment rien, mais absolument rien de festif dans cet épisode.
Mais pas grave, cela faisait quand même une bonne lecture et puisqu’il y avait de la neige, cela s’accorde quand même avec le temps de l’année
Concernant l’enquête elle-même je dois dire chapeau bas à l’auteur puisqu’il mène son lecteur très malicieusement vers des conclusions qui vont se montrer assez fausses par la suite. Et ce n’est que vers la fin qu’on voit toute la « structure » du mystère. Belle surprise.
Je note cet auteur une fois de plus pour tenter une autre aventure.
Thou Shell of Death / Rendez-vous avec la mort
Après ma première bonne rencontre avec Nigel Strangeways, j’avais dit que j’allais tenter d’autres lectures avec lui. En voyant « fête de Noël » je pensais que c’était le moment propice pour reprendre cet auteur et son détective charmant.Présentation de l’éditeur
Fergus O'Brien, un as de l'aviation légendaire de la Première Guerre mondiale avec plusieurs squelettes cachés dans son placard, reçoit une série de lettres moqueuses prédisant qu'il sera assassiné le lendemain de Noël.
Intrépide, O'Brien organise une fête de Noël, invitant tous ceux qui pourraient être soupçonnés d'avoir proféré des menaces, ainsi que le détective privé Nigel Strangeways.
Mais malgré la présence de Nigel, l'ancien pilote est retrouvé mort, comme prévu, et Nigel est laissé pour aider la police locale dans son enquête tout en essayant d'ignorer son attirance croissante pour l'un des autres invités - et suspects - l'exploratrice Georgina Cavendish.
Un mystère de meurtre de Nigel Strangeways - l'introduction parfaite au détective le plus charmant et le plus érudit de la fiction policière de l'âge d'or.
À part la mention de ‘Noël’ à deux reprises, il n’y a vraiment rien, mais absolument rien de festif dans cet épisode.
Mais pas grave, cela faisait quand même une bonne lecture et puisqu’il y avait de la neige, cela s’accorde quand même avec le temps de l’année
Concernant l’enquête elle-même je dois dire chapeau bas à l’auteur puisqu’il mène son lecteur très malicieusement vers des conclusions qui vont se montrer assez fausses par la suite. Et ce n’est que vers la fin qu’on voit toute la « structure » du mystère. Belle surprise.
Je note cet auteur une fois de plus pour tenter une autre aventure.
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Re: Cecil Day-Lewis
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There's Trouble Brewing / Le Squelette en habit
Une enquête bien prenante. J’étais tout près de ce détective sympa lorsqu’il a mené son enquête.
Plusieurs pistes à suivre, plusieurs suspects. Heureusement Nigel garde sang froid et trouve le bon coupable.
Les deux derniers chapitres sont selon moi superflus puisque trop de bavardage inutile, mais sinon de très belles retrouvailles avec Nicholas Blake et son héros à part.
There's Trouble Brewing / Le Squelette en habit
En voici un auteur que j’avais un peu oublié, mais quel plaisir de retrouver Nigel Strangeways.Présentation de l’éditeur
Eustace Bunnett, le brasseur de Maiden Astbury, dans le Dorset, est unanimement détesté.
Mais lorsque Nigel Strangeways, neveu du directeur-adjoint de Scotland Yard et détective amateur le rencontre, le détestable Eustace lui fait une bien étrange proposition : découvrir "l'assassin" de son chien Truffes, retrouvé bouilli dans une chaudière de la brasserie. Car en dépit d'une enquête musclée, Eustache n'a pas pu faire la lumière sur cette affaire... Et peut-il raisonnablement espérer que "l'assassin" de Truffes s’en tiendra là ?
Une enquête bien prenante. J’étais tout près de ce détective sympa lorsqu’il a mené son enquête.
Plusieurs pistes à suivre, plusieurs suspects. Heureusement Nigel garde sang froid et trouve le bon coupable.
Les deux derniers chapitres sont selon moi superflus puisque trop de bavardage inutile, mais sinon de très belles retrouvailles avec Nicholas Blake et son héros à part.
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Re: Cecil Day-Lewis
Malice in Wonderland
Il y a plus d’une enquête avec Nigel Strangeways dont il y a aussi une version française. Malheureusement pas pour ce Malice in Wonderland. Dommage, c’est vraiment un très bon épisode.Présentation de l’éditeur
Private detective Nigel Strangeways receives a call for help from Wonderland, a new holiday camp that has recently opened only to be plagued by a series of cruel practical jokes conducted by someone calling themselves 'The Mad Hatter'.
The camp's owners are convinced a rival firm, desperate to put them out of business, are behind the events. Or could it be a disgruntled employee, or even one of the four hundred guests currently staying at the camp? As the pranks become increasingly dangerous and tensions rise, Nigel must do all he can to uncover the Mad Hatter's true identity - before it's too late.
Genre de Club Med avant l’heure, nous voici dans un camp de vacances et contrairement à des policiers plus « typique », il n’y a pas de mort (à part un presqu’à la fin, ne joue donc pas un rôle dans l’enquête du détective).
« Practical jokes » peut se traduire par farces et c’est en effet ce qui se passe dans ce Wonderland. Les responsables ne sont pas de même pour trouver le coupable. Heureusement ils ont le bon sens d’appeler le cher Nigel à l’aide et il va élucider ces plaisanteries de mauvais goût.
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Re: Cecil Day-Lewis
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The Case of The Abominable Snowman / Le Bonhomme de neige
En voici une enquête qui commence avec un bon rythme, d’ailleurs c’est la marque de fabrique de cet auteur. En principe il perd par la suite un peu d’haleine et finit par ennuyer son lecteur vers la fin.
Rien de tel ici, j’ai adoré du début à la fin.
Bonne trame, belle énigme et une fin qui dévoile un meurtrier dont on avait un petit soupçon, mais cela reste quand même une bonne surprise.
J’en ressors en tout cas satisfaite.
The Case of The Abominable Snowman / Le Bonhomme de neige
Brrr… cela change un peu de saison, mais bon, la neige ne fait pas partie importante de l’intrigue, ainsi cela passe.Présentation de l’éditeur
Le poète devenu détective Nigel Strangeways est convoqué au manoir d'Easterham au cœur de l'hiver pour enquêter sur une série d'événements étranges, qui aboutissent au suicide apparent d'une jeune femme riche dont le comportement a scandalisé le village.
Alors que Nigel commence ses enquêtes sur le passé de la jeune fille décédée, il devient vite clair que quelqu'un dans le manoir essaie de cacher quelque chose, et ils ne reculeront devant rien pour garder leurs secrets en sécurité.
En voici une enquête qui commence avec un bon rythme, d’ailleurs c’est la marque de fabrique de cet auteur. En principe il perd par la suite un peu d’haleine et finit par ennuyer son lecteur vers la fin.
Rien de tel ici, j’ai adoré du début à la fin.
Bonne trame, belle énigme et une fin qui dévoile un meurtrier dont on avait un petit soupçon, mais cela reste quand même une bonne surprise.
J’en ressors en tout cas satisfaite.
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