Sarah Crossan
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Sarah Crossan
Sarah Crossan est née en 1981 à Dublin. Elle est auteure de romans jeunesse (Young Adult).
Elle est diplômée de philosophie et littérature à l'Université de Warwick en 1999. Elle est également titulaire d'un master en création littéraire de la même université en 2003.
Sarah Crossan a enseigné l'anglais pendant plusieurs années à l'Université de Cambridge avant de se consacrer exclusivement à l'écriture.
En 2010, elle a été récipiendaire d'une bourse de la fondation Edward Albee et a passé l'été à Montauk, à New York où elle a travaillé sur son premier roman "The Weight of Water" (traduit en français sous le titre "Swimming Pool"), publié en 2011.
Elle vit à New York avec son mari et sa fille.
Source : Babelio
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George Gershwin
Re: Sarah Crossan
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The Weight of Water / Swimming Pool
Oui, aucun doute, c’est la couverture et le titre (de la version française) qui m’ont amené vers ce livre.
En faisant des recherches concernant Sarah Crossan, j’ai vu que son roman d’avant a aussi eu beaucoup de réactions sur les différents sites que je visite régulièrement.
Mais c’est le monde de l’eau qui m’a amené vers elle et j’ai beaucoup aimé cette histoire.
On peut voir sur l’image que j’ai pris de l’internet que sa façon d’écrire est à part. Ce n’est pas tout à fait de la poésie, mais les mots et phrases se composent autrement que dans un roman ‘normal’.
J’aime bien cette technique. Le risque pour l’auteur est d’ennuyer son lecteur… mais Sarah Crossan a trouvé la bonne balance et ainsi ce récit reste palpitant jusqu’à la fin.
C’est marrant, l’extrait que j’ai trouvé en photo est aussi celui que j’ai souligné :
Water is another world,
A land with its own language
Which I speak fluently.
The Weight of Water / Swimming Pool
Présentation de l’éditeur
Kasienka vient d’arriver en Angleterre avec sa mère. Elle qui n’a jamais connu que la Pologne fait sa rentrée dans un pays qui n’est pas le sien, avec des gens qu’elle ne connaît pas, dans une langue qu’elle maîtrise mal. Et le soir venu, de quartier en quartier, elle cherche son père, qui a quitté le domicile familial sans laisser d’adresse. Bref, ce pays est gris, humide, et parfois assez inhospitalier. Heureusement, il y a la piscine, il y a l’eau. Et dans l’équipe de natation, il y a William…
Oui, aucun doute, c’est la couverture et le titre (de la version française) qui m’ont amené vers ce livre.
En faisant des recherches concernant Sarah Crossan, j’ai vu que son roman d’avant a aussi eu beaucoup de réactions sur les différents sites que je visite régulièrement.
Mais c’est le monde de l’eau qui m’a amené vers elle et j’ai beaucoup aimé cette histoire.
On peut voir sur l’image que j’ai pris de l’internet que sa façon d’écrire est à part. Ce n’est pas tout à fait de la poésie, mais les mots et phrases se composent autrement que dans un roman ‘normal’.
J’aime bien cette technique. Le risque pour l’auteur est d’ennuyer son lecteur… mais Sarah Crossan a trouvé la bonne balance et ainsi ce récit reste palpitant jusqu’à la fin.
C’est marrant, l’extrait que j’ai trouvé en photo est aussi celui que j’ai souligné :
Water is another world,
A land with its own language
Which I speak fluently.
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