Ivan Tourgueniev

Ilya Efimovich Repin


Ivan Sergueïevitch Tourgueniev est un écrivain, romancier, nouvelliste et dramaturge russe né le 28 octobre 1818 à Orel et mort le 22 août 1883 à Bougival.


source et suite

Un mois à la campagne

Présentation de l’éditeur
Natalia Petrovna va passer un mois à la campagne en compagnie de son mari, de sa pupille, de son fils et du jeune précepteur de celui-ci. Pour tromper l'ennui, Natalia s'éprend du précepteur, qui tombe amoureux de sa pupille, une jeune fille simple tout juste sortie de l'enfance. Exaspérée, Natalia se tord de jalousie devant leur bonheur.

Je l’ai lu en version anglaise, mais avec tous ces noms russes, n’importe la langue, au début il me faut toujours un «guide» pour m'orienter parmi tous ces personnages.

Mais déjà après quelques pages je me retrouvais très bien dans cette comédie de mœurs.

En considérant l’année quand il a écrit cette pièce, c’est épatant quelle fraicheur qu'elle garde.

C’est tout simplement savoureux de voir tous ces cœurs qui s’égarent dans leur course pour trouver le grand amour.
Malheureusement à chaque fois le (ou la) désigné(e) n’éprouve pas les mêmes sentiments… mais est fortement tenté par quelqu’un d’autre.

On s’imagine le résultat…

Un mois à la campagne qui m’a fait du plus grand bien.

J’ai lu dans le temps plusieurs roman d’Ivan Tourgueniev, cette lecture m’a donné envie de retrouver sa plume.

J'aime beaucoup Tourgueniev, mais j'ai déjà lu tout ou presque, avant l'époque où je rédigeais des commentaires.

Premier amour

Présentation de l’éditeur
Réunis un soir, des amis se racontent leur premier amour.
« J'avais alors seize ans. Cela se passait au cours de l'été 1883. J'étais chez mes parents, à Moscou… »
Dans la maison voisine, une princesse, jeune fille à la Tourgueniev, délicieuse, pure et volontaire, s'amuse de ses soupirants jusqu'au jour où elle-même succombe à l'amour.

Ce récit au charme cruel est une histoire vraie. L'adolescence de Vladimir fut celle de Tourgueniev. Il n'aima vraiment toute sa vie qu'une seule femme, sans en être aimé.

C’est marrant, je viens de lire Les locataires de l'été de Charles Simmons pour la troisième fois et c’est seulement maintenant que j’ai découvert la mention du roman de Tourgueniev.

En effet, Simmons s’est largement inspiré pour transposer la trame d’histoire. Il change d’époque, de pays, de paysage… mais sinon, on s’y retrouve avec cette histoire d’un amour fatal.

J’aime aussi bien la version russe que celle de l’Américain.

Mais surtout j’avais le plus grand plaisir de retrouver la plume de Tourgueniev. Que de bons moments passés en sa compagnie.

Moi aussi j'adore Tourgueniev. Mais j'ai peur d'avoir déjà tout lu...

Arabella a écrit:Mais j'ai peur d'avoir déjà tout lu...

j'aime l'expression de Helene Hanff pour cette situation: le cellier est vide

C'est joli, en effet.