Reginald Hill
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Re: Reginald Hill


A Clubbable Woman / Une femme trop sociable
À la recherche de nouveaux pistes de lecture de policiers, j’ai trouvé Reginald Hill et sa série Dalziel et Pascoe.Quatrième de couverture
Mary Connon avait su mener sa barque. Avec un physique comme le sien, rien d'étonnant à ce qu'elle ait attiré l'attention d'une des valeurs montantes du rugby. Suffisamment pour se faire épouser, s'installer dans une maison splendide, et se la couler douce jusqu'à la fin de ses jours.
Vingt ans plus tard, certaines commères disaient encore que son mari filait doux comme un agneau... D'autres chuchotaient que le bébé né quelques mois après leur mariage n'avait rien d'un accident... Et que Sam Connon fréquentait le club de rugby avec une assiduité suspecte...
Mais aussi acérée fût-elle, aucune mauvaise langue n'aurait imaginé que l'on retrouverait bientôt Mary devant son programme de télévision favori, le crâne proprement fracassé...
Je ressors très enthousiaste de cette lecture.
Je pense que ce n’est pas un livre pour les « vrais » fans de policiers.
Trop peu de travail d’enquête mais plein de description de tout et de rien.
Tout d’abord le début est très long avant que finalement les inspecteurs arrivent sur scène. Ensuite on suit bon nombre des personnes qui connaissaient la victime et surtout son mari. On s’éprend de sympathie pour lui et le lecteur espère que ce ne sera pas lui le coupable…
On fait le tour de cette petite communauté où le couple vivait, leurs amis, les copains qui jouaient au Rugby avec Sam…
Je dirais un « policiers avec atmosphère ».
Moi j’adore ce genre, mais je sais que ce n’est pas la tasse de thé pour tout le monde.
En ce qui me concerne, le prochain épisode se trouve sur ma liseuse

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Re: Reginald Hill


An Advancement of Learning / Leçons de meurtre
Tiens, j’avais un peu oublié Reginald Hill et son duo sympa.Présentation de l’éditeur
Quel beau collège que le Holm Coultram, où l'on se targue de dispenser l'enseignement libéral sans pour autant négliger la profondeur, et où l'on se veut rigoureusement moderne !
Surtout depuis la mort de Miss Alison Girling cinq ans plus tôt - la pauvre ! dans une avalanche en Autriche - et l'installation du nouveau Principal Siméon Landor.
Bien sûr, la « vieille garde » n'y trouve pas son compte : pour agrandir les bâtiments, ne va-t-on pas saccager les jardins d'Alison, où trône la statue d'Alison ? Quel spectacle que l'arrachement au gazon et à la terre de la monumentale statue et de son socle colossal ! Particulièrement quand la grue pelleteuse remonte un tibia... puis un crâne ornementé d'une mèche de cheveux roux !
Voilà qui promet un séjour universitaire parfait au superintendant Dalziel et au sergent Pascoe…
Retrouver superintendant Dalziel et le sergent Pascoe, surtout dans le beau cadre de ce collège était une réussite.
Surtout que cette série me change aussi un peu des temps dont je lis mes policiers. La plupart se retrouvent entre 1930 et 1950. Tandis qu’avec cette série on se situe entre 1970 et 2009.
Un grand plus figure aussi dans la grande différence des deux caractères principaux. Si on ne les aurait pas mit en équipe pour travailler ensemble, ils ne se seraient certainement jamais rencontrés. Mais leurs petits bisbilles font partie des enquêtes aussi bien qu’un cadavre, des suspect… et une solution géniale.
Cette fois-ci je retiens le nom et j’ai envie de continuer avec une autre lecture de ces deux… surtout que pratiquement tous ont été traduits.
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Re: Reginald Hill


Ruling Passion / Une passion dévorante
Bon je sais bien, lire des policiers n’est pas destiné pour retrouver un univers bisounours.Présentation de l’éditeur
Découverte tragique pour Ellie et Peter Pascoe, alors qu'ils se préparaient à passer un week-end paisible en compagnie de vieux amis. A leur arrivée au cottage Brookside, c'est une série de cadavres qui les attend, tous abattus à coups de fusil de chasse. Un triple meurtre qui éveille la peur du petit village du Yorkshire. D'autant plus qu'un des hôtes de Brookside manque à l'appel : où est passé Colin, leur quatrième ami ? Disparu, il devient le suspect idéal pour les policiers de Thornton Lacey. Toutefois Pascoe est aussi un flic, et il n'est pas de leur avis...
Mais cette fois-ci il y avait tout simplement trop de cadavres, trop de violence, trop de tristesse.
J’avais du mal de reprendre ma lecture, tellement elle me déprimait.
Peut-être c’est tout simplement un signe pour moi de délaisser le tandem Dalziel-Pascoe.
Pour tout autre amateur de bonnes intrigues, enquêtes intéressantes et policier avec un caractère à part – en voici une bonne piste de lecture.
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