Margaret Kennedy
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Books en Stock :: Hey Billie Y'a quoi dans ta bibliothèque ? :: Littérature de culture anglaise et gaëlique
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Re: Margaret Kennedy
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The Ladies of Lyndon / Femmes
Ainsi la découverte de Margaret Kennedy est en effet tout d’abord dû à la couverture de la version anglaise de ce roman.
A partir des premières pages, j’étais immergée dans ce monde de ces nobilités.
Un monde qui a été fortement remué après la Première Guerre Mondiale.
Margaret Kennedy a écrit ce livre en 1923 et bien que l’histoire a pris quelques rides (adultère et divorce n’ont plus le même impact presque 100 ans après), son style est extra et on ne perçoit pas les années depuis la création.
J’ai été en tout cas fascinée et happée à 100% par ces femmes… extra.
The Ladies of Lyndon / Femmes
Heureusement il y a toujours de belles couvertures qui m’attirent vers des auteurs / livres dont je n’aurais peut-être pas pris connaissance.Présentation de l’éditeur
Agatha est consciente de l'intensité, de la puissante tempête d'émotions brièvement réveillée par une histoire d'amour de courte durée avec son cousin Gérald, qui fait totalement défaut au mariage réussi auquel elle est sur le point de s'embarquer.
Belle, jeune et soigneusement élevée, Agatha sait qu'elle assure un avenir parfait et luxueux en épousant le beau John Clewer et en devenant Maîtresse de Lyndon. Elle devient rapidement la maîtresse de maison idéale. Mais lorsque Gerald réapparaît et que la guerre en Europe perturbe à jamais le confort de Lyndon, Agatha est une nouvelle fois hantée par l’idée d’une vie différente.
Ainsi la découverte de Margaret Kennedy est en effet tout d’abord dû à la couverture de la version anglaise de ce roman.
A partir des premières pages, j’étais immergée dans ce monde de ces nobilités.
Un monde qui a été fortement remué après la Première Guerre Mondiale.
Margaret Kennedy a écrit ce livre en 1923 et bien que l’histoire a pris quelques rides (adultère et divorce n’ont plus le même impact presque 100 ans après), son style est extra et on ne perçoit pas les années depuis la création.
J’ai été en tout cas fascinée et happée à 100% par ces femmes… extra.
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George Gershwin
Re: Margaret Kennedy
Oh la la ! C'est sûr c'est pour moi ! Une vielle anglaise avec une belle couverture. En plus j'aime bien les éditions Vintage.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Margaret Kennedy
domreader a écrit:Oh la la ! C'est sûr c'est pour moi ! Une vielle anglaise avec une belle couverture.
ah oui, une de mes éditions préféréesdomreader a écrit:En plus j'aime bien les éditions Vintage.
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Re: Margaret Kennedy
Je pense que je vais vous suivre aussi, mon petit côté "fleur bleue" devrait apprécier !!
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Liseron- Messages : 4304
Date d'inscription : 02/01/2017
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Re: Margaret Kennedy
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The Forgotten Smile / Le sourire oublié
C’était un plaisir de retrouver la plume de Margaret Kennedy. Voyager avec elle vers cette île grecque était le bon geste pour commencer cette phase estivale.
On s’attache aux deux personnages principaux. Aussi bien Kate que Selwyn vont devenir des caractères dont on a envie de suivre un peu plus longtemps.
Non seulement à cause de la situation géographique de cette histoire, en voilà une lecture idéale pour l’été.
The Forgotten Smile / Le sourire oublié
Une fois de plus j’ai déniché ce livre à cause de la couverture. Riikka Sormunen est aussi responsable pour l’image de The Ladys of Lyndon.Présentation de l’éditeur
Kate s'ennuie d'être négligée par ses enfants adultes et décide de s'échapper lors d'une croisière sur la mer Égée.
Elle se retrouve à Keritha - une île grecque mystérieuse presque oubliée par le monde moderne. Là, elle rencontre ses amis d'enfance, les Challoners, revenus sur l'île de leur naissance pour revendiquer leur héritage.
Quand un autre errant arrive: le Selwyn Potter peu attrayant et insensé, Kate est irritée.
Mais sous le charme de cette île étrange et magnifique, les deux visiteurs se retrouvent, et l'autre, jeté sous un nouveau jour.
C’était un plaisir de retrouver la plume de Margaret Kennedy. Voyager avec elle vers cette île grecque était le bon geste pour commencer cette phase estivale.
On s’attache aux deux personnages principaux. Aussi bien Kate que Selwyn vont devenir des caractères dont on a envie de suivre un peu plus longtemps.
Non seulement à cause de la situation géographique de cette histoire, en voilà une lecture idéale pour l’été.
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Re: Margaret Kennedy
Très jolies couvertures en effet! Et difficile de résister aux petites anglaises.
Je retiens le nom (de l'illustratrice mais aussi bien sûr de l'auteure of course)
Je retiens le nom (de l'illustratrice mais aussi bien sûr de l'auteure of course)
Aeriale- Messages : 11927
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Margaret Kennedy
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The Feast / Le festin
J’ai trouvé sur un site l’origine de l’idée pour ce festin :
Après deux bonnes rencontres avec Margaret Kennedy, j’étais partante de faire une autre lecture d’un de ses romans.
L’idée de départ de celui-ci me semblait très tentante.
Puisqu’elle va révéler les faits tout de suite au début, on sait donc ce qui va se passer avec sept personnes de tout le « personnel » qu’elle va présenter dans son récit.
Mais on ne sait pas de qui il s’agit. On remonte donc le temps et on va vivre la semaine avant l’incident et faire connaissance avec tous les résidents de la pension.
À partir de ce moment c’est en quelque sorte un « jeu d’énigme », on essaie de trouver les victimes.
En tout les cas une lecture captivante qui m’a fait passer un très bon moment.
j’aime beaucoup le travail de Mathieu Persan… mais cette fois j’adore plus la couverture de la version anglaise
The Feast / Le festin
Présentation de l’éditeur
Cornouailles, 1947. Comme tous les étés, le révérend Seddon rend visite au père Bott. Hélas, son ami n'a pas de temps à lui accorder cette année, car il doit écrire une oraison funèbre : l'hôtel de Pendizack, manoir donnant sur une paisible crique, vient de disparaître sous l'éboulement de la falaise qui le surplombait. Et avec lui, sept résidents…
Dans cette maison reconvertie en hôtel par ses propriétaires désargentés étaient réunis les plus hétéroclites des vacanciers : une aristocrate égoïste, une écrivaine bohème et son chauffeur-secrétaire, un couple endeuillé, une veuve et ses trois fillettes miséreuses, un chanoine acariâtre et sa fille apeurée...
Le temps d'une semaine au bord de la mer dans l'Angleterre de l'après-guerre, alors que les clans se forment et que les pires secrets sont révélés, les fissures de la falaise ne cessent de s'élargir…
Auteure talentueuse et espiègle, Margaret Kennedy pousse à leur comble les travers de ses personnages dans une fable pleine d'esprit et de sagesse.
Ce Festin est un régal !
J’ai trouvé sur un site l’origine de l’idée pour ce festin :
Publié pour la première fois en 1950 – le germe d’idée est venu à l'auteur en 1937 lorsqu'elle discutait avec des amis littéraires du masque médiéval des sept péchés capitaux. La conversation s'est tournée avec enthousiasme vers l'idée qu'une collection d'histoires pourrait être façonnée à partir de sept auteurs différents, chacun ré-imaginant l'un des péchés à travers un personnage des temps modernes.
Cette idée n’a pas vu le jour, mais quelque chose de plus considérable est resté dans l'esprit de Margaret Kennedy au cours des dix années suivantes, et elle a donc conçu une histoire qui rassemblerait les péchés sous le toit d'un hôtel balnéaire de Cornouailles.
Après deux bonnes rencontres avec Margaret Kennedy, j’étais partante de faire une autre lecture d’un de ses romans.
L’idée de départ de celui-ci me semblait très tentante.
Puisqu’elle va révéler les faits tout de suite au début, on sait donc ce qui va se passer avec sept personnes de tout le « personnel » qu’elle va présenter dans son récit.
Mais on ne sait pas de qui il s’agit. On remonte donc le temps et on va vivre la semaine avant l’incident et faire connaissance avec tous les résidents de la pension.
À partir de ce moment c’est en quelque sorte un « jeu d’énigme », on essaie de trouver les victimes.
En tout les cas une lecture captivante qui m’a fait passer un très bon moment.
j’aime beaucoup le travail de Mathieu Persan… mais cette fois j’adore plus la couverture de la version anglaise
Dernière édition par kenavo le Jeu 3 Mar - 8:18, édité 1 fois
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Re: Margaret Kennedy
Impossible de réduire sa PAL avec @kenavo, vraiment impossible !
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domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Margaret Kennedy
scusi
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Re: Margaret Kennedy
-Le festin-
Comme l'indique @Kenavo, les faits, l'éboulement d'une falaise au pied d'un manoir transformé en hôtel de vacances par ses propriétaires ruinés, sont révélés dès le début du roman. On va remonter le fil du temps, cette semaine précédant le drame, l'auteure nous présentant tour à tour chacun des pensionnaires affublés de leurs manies, leurs secrets, leurs faiblesses ou leurs défauts (assez insupportables) certains d'entre eux figurant les sept péchés capitaux (ça j'avoue, je n'y avais pas prêté attention) L'orgueil d'un chanoine acariâtre, la luxure d'une écrivaine très libérée, l'égoïsme d'une aristocratie chancelante, la mesquinerie des uns face à la générosité des autres, etc..
Dans cette communauté des plus hétéroclites où les différences de classe s'opposent et les coeurs se révèlent, Margaret Kennedy nous brosse en filigrane un portrait détonnant et plein de malice d'un pays tout juste sorti de la guerre et de ses restrictions au sein duquel des fissures apparaissent, créant des clivages aussi ravageurs que la chute de cette falaise.
Je me suis régalée à suivre l'évolution de ces caractères, leur interaction, la façon dont l'auteure parvient à libérer certains de leurs angoisses en s'affrontant à d'autres, le plaisir qu'elle prend à démonter le mécanisme social pour en accentuer ses travers. Voilà un nom que je découvre, un humour corrosif très british et une acuité d' analyse qui m'ont immédiatement embarquée. Tout cela masquant une belle tendresse envers ses personnages. Un vrai régal ce roman, merci encore Kena! Quant à @Domreader, ta PAL vaut bien ce petit surplus, tu vas aimer ;-)
Comme l'indique @Kenavo, les faits, l'éboulement d'une falaise au pied d'un manoir transformé en hôtel de vacances par ses propriétaires ruinés, sont révélés dès le début du roman. On va remonter le fil du temps, cette semaine précédant le drame, l'auteure nous présentant tour à tour chacun des pensionnaires affublés de leurs manies, leurs secrets, leurs faiblesses ou leurs défauts (assez insupportables) certains d'entre eux figurant les sept péchés capitaux (ça j'avoue, je n'y avais pas prêté attention) L'orgueil d'un chanoine acariâtre, la luxure d'une écrivaine très libérée, l'égoïsme d'une aristocratie chancelante, la mesquinerie des uns face à la générosité des autres, etc..
Dans cette communauté des plus hétéroclites où les différences de classe s'opposent et les coeurs se révèlent, Margaret Kennedy nous brosse en filigrane un portrait détonnant et plein de malice d'un pays tout juste sorti de la guerre et de ses restrictions au sein duquel des fissures apparaissent, créant des clivages aussi ravageurs que la chute de cette falaise.
Je me suis régalée à suivre l'évolution de ces caractères, leur interaction, la façon dont l'auteure parvient à libérer certains de leurs angoisses en s'affrontant à d'autres, le plaisir qu'elle prend à démonter le mécanisme social pour en accentuer ses travers. Voilà un nom que je découvre, un humour corrosif très british et une acuité d' analyse qui m'ont immédiatement embarquée. Tout cela masquant une belle tendresse envers ses personnages. Un vrai régal ce roman, merci encore Kena! Quant à @Domreader, ta PAL vaut bien ce petit surplus, tu vas aimer ;-)
Aeriale- Messages : 11927
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Margaret Kennedy
C'est sûr, je l'ai noté et son tour viendra
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domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
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Re: Margaret Kennedy
ah ça me fait plaisir de te lire, contente que tu as passé un si bon moment en sa compagnieAeriale a écrit:Un vrai régal ce roman, merci encore Kena!
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George Gershwin
Re: Margaret Kennedy
Ah oui Kena, un très bon moment que je compte bien renouveler à une autre occasion
Je vais relire tes commentaires et tacher de trouver ce qui a été traduit quelque part!
Je vais relire tes commentaires et tacher de trouver ce qui a été traduit quelque part!
Aeriale- Messages : 11927
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Margaret Kennedy
Je l ai téléchargé en livre audio.
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domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
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