Robert Musil
Page 1 sur 1
Re: Robert Musil
/
Drei Frauen / Trois femmes
Vous me connaissez assez pour savoir que de telles idées me donnent envie d’aller voir de plus près.
Je connaissais un peu la mini-série de Reitz, mais cela faisait un bout de temps que je n’avais rien lu de Musil. Le moment idéal de retenter avec lui.
En quelque sorte ces trois nouvelles sont des « histoires d’amour ».
Rien à voir avec du rose-bonbon et certainement pas sucrée… mais de l’amour il y a en. Celui qui rend les gens malade, celui qui les rend fou, qui les porte hors d’eux-même.
J’ai lu quelque part qu’il y avait du vécu dans plus d’un de ces moments décrits par l’auteur. Je comprends mieux pourquoi il a toujours ce regard sévère sur ses portraits.
Ce recueil peut faire une bonne entrée dans son œuvre plus important.
Drei Frauen / Trois femmes
Après ma lecture de Théoda de Corinna Bille, j’avais trouvé un commentaire allemand qui parlait d’une référence de son texte pour la nouvelle Grigia de Robert Musil et du film Heimat de Edgar Reitz.Présentation de l’éditeur
Trois Femmes font trois nouvelles, chacune portant le nom d'une héroïne, énigmatique pour l'homme qui l'aime.
« Grigia » est une paysanne qui trompe son mari avec un ingénieur des mines. « La Portugaise », délaissée dans un château tyrolien par son belliqueux seigneur, lui révèle la jalousie.
« Tonka », l'humble vendeuse de magasin, laisse son amant raisonneur entre le doute et la confiance.
Vous me connaissez assez pour savoir que de telles idées me donnent envie d’aller voir de plus près.
Je connaissais un peu la mini-série de Reitz, mais cela faisait un bout de temps que je n’avais rien lu de Musil. Le moment idéal de retenter avec lui.
En quelque sorte ces trois nouvelles sont des « histoires d’amour ».
Rien à voir avec du rose-bonbon et certainement pas sucrée… mais de l’amour il y a en. Celui qui rend les gens malade, celui qui les rend fou, qui les porte hors d’eux-même.
J’ai lu quelque part qu’il y avait du vécu dans plus d’un de ces moments décrits par l’auteur. Je comprends mieux pourquoi il a toujours ce regard sévère sur ses portraits.
Ce recueil peut faire une bonne entrée dans son œuvre plus important.
_________________
Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum