Jean-Claude Grumberg
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Re: Jean-Claude Grumberg
Illustrations: Marjorie Pourchet
Mange ta main
Il y a vraiment la pièce qui est au centre.
Mais les images qui accompagnent les mots de Jean-Claude Grumberg sont sublimes pour s’associer avec ce ‘conte’ loufoque.
C’est tout à fait jouissif et tellement inventif, j’ai eu un plaisir fou pendant ma lecture.
C’est trop bien de revisiter les contes et voilà une façon la plus drôle que j’ai rencontré ces derniers temps.
Mange ta main
Il s’agit d’une pièce de théâtre et les illustrations de Marjorie Pourchet ne sont pas si présentes que dans d’autres albums. Souvent de très petite taille et même des pages qu’avec du texte.Présentation de l’éditeur
Mme Zonzon, raccommodeuse de couples déchirés, est débordée : le couple Poucet bat de l'aile, M. Bleu, Barbe de son prénom, hésite à la veille de son huitième mariage et la Princesse a tellement pris de poids qu’elle ne peut plus chausser ses pantoufles. Mais Zonzon aura-t-elle le temps de réaliser son rêve d'écrire des contes pour enfants ?
Il y a vraiment la pièce qui est au centre.
Mais les images qui accompagnent les mots de Jean-Claude Grumberg sont sublimes pour s’associer avec ce ‘conte’ loufoque.
C’est tout à fait jouissif et tellement inventif, j’ai eu un plaisir fou pendant ma lecture.
C’est trop bien de revisiter les contes et voilà une façon la plus drôle que j’ai rencontré ces derniers temps.
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George Gershwin
Re: Jean-Claude Grumberg
La plus précieuse des marchandises
Un conte
La présentation de La plus précieuse des marchandises se trouve sur le site du Théâtre dans lequel j’avais prévu de voir la mise en scène.Présentation
Il était une fois, une forêt profonde, dans un pays imaginaire qui pourrait être une région de Pologne, de Russie, pourquoi pas la Lorraine. Peu importe. La faim y sévit. Chaque jour, un train traverse l’épaisseur du grand bois. Et comme tout arrive dans les contes, voilà qu’une petite marchandise tombe du train. À l’intérieur : une petite fille…
Fils et petit-fils de déportés, Jean-Claude Grumberg, l’un des dramaturges français contemporains les plus joués dans le monde, a choisi la métaphore pour évoquer la Shoah, la survie, et l’amour. « Je voulais raconter que dans toutes les situations inhumaines, l’humain vit encore, et que la moindre étincelle peut faire repartir quelque chose », déclare-t-il.
Annulée, comme tant d’autres événements culturels.
J’ai donc opté pour la lecture… en attendant qu’on remette la production sur le programme.
L’œuvre de Jean-Claude Grumberg est constituée en grande partie de pièces de théâtre, ainsi, je mets son fil dans cette section.
En tant que livre, le texte n’est pas établie comme pièce, mais c’est facilement envisageable comment ces mots pourraient se présenter sur scène.
Il s’agit en tout cas d’une histoire tellement forte, extra.
J’en ressors toute chamboulée… émue…
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