Elizabeth Smart
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Re: Elizabeth Smart
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By Grand Central Station I Sat Down and Wept / J'ai vu Lexington Avenue se dissoudre dans mes larmes
Et puis il y a Shaun Bythell qui en parle de ce livre dans son dernier journal, paru le 1er septembre.
Il mentionne même qu‘arrivé à la dernière page, il a versé une larme.
Ce cynique? Des larmes? Ça m‘intriguait tellement, j‘ai repris le livre.
Après le premier chapitre je me suis rappelée que j’avais commencé dans le temps la lecture… et même après toutes ces années, j’en suis toujours aussi perplexe.
J’ai recherché après ces premières pages un peu sur internet ce qu’on en disait et ceci me semblait le résumé le plus juste :
[...] est un livre énigmatique et presque indescriptible, un petit classique de la prose poétique
Autant que j’adore « énigmatique » et « prose poétique »… cette fois-ci un auteur est arrivé de me laisser à quai.
J’ai tenté encore quelques chapitres mais je dois avouer, j’ai abandonné vers la moitié. Trop énigmatique, trop grandiloquent. Peut-être un texte qui aurait pu me toucher plus dans d’autres phases de ma vie, mais à l’instant j’ai eu ma dose de ces récits éthérés.
Ainsi je ne peux pas dire ce qui a amené Shaun Bythell à verser une larme à la fin. Moi, j’ai déjà pleuré après le premier chapitre à cause de l’impossibilité pour trouver un peu d’enthousiasme pour ce livre.
By Grand Central Station I Sat Down and Wept / J'ai vu Lexington Avenue se dissoudre dans mes larmes
J‘ai acheté ce livre en 2016 mais peu de temps après, il y a eu ce chambardement avec l‘ancien forum… et j‘ai oublié Elizabeth Smart.Présentation de l’éditeur
"N'y a-t-il d'autre issue à ma délivrance que son martyre ?" se tourmente l'amante devant la douleur de l'épouse. Son cri d'amour résonne sur les cent pages de ce poème en prose. Incantation vibrante faite d'étincelles et d'embrassades. Rongée par le remords, vrillée par le désir, comblée enfin, elle chante sa passion cosmologique. Les spasmes bleus du Pacifique, le sumac vénéneux, la cathédrale de séquoias, le monde à l'unisson l'accompagne. Testament amoureux, J'ai vu Lexington Avenue se dissoudre dans mes larmes s'éclaire à la lumière de la vie de l'auteur. Découvrant la poésie de George Barker, elle s'éprend de l'oeuvre autant que du poète. Mais Barker, marié, n'a rien du prétendant idéal. Pourtant, au mépris des convenances - l'adultère étant violemment réprouvé dans l'Amérique des années quarante -, l'admiration mutuelle se mue en attirance charnelle. Interdite, leur liaison n'en est que plus ardente, témoin cette prose incandescente. Proche de la phrase ondoyante d'une Iseult, Smart épouse les palpitations du coeur. Invitation à l'ivresse. Promesse de ravissement.
Et puis il y a Shaun Bythell qui en parle de ce livre dans son dernier journal, paru le 1er septembre.
Il mentionne même qu‘arrivé à la dernière page, il a versé une larme.
Ce cynique? Des larmes? Ça m‘intriguait tellement, j‘ai repris le livre.
Après le premier chapitre je me suis rappelée que j’avais commencé dans le temps la lecture… et même après toutes ces années, j’en suis toujours aussi perplexe.
J’ai recherché après ces premières pages un peu sur internet ce qu’on en disait et ceci me semblait le résumé le plus juste :
[...] est un livre énigmatique et presque indescriptible, un petit classique de la prose poétique
Autant que j’adore « énigmatique » et « prose poétique »… cette fois-ci un auteur est arrivé de me laisser à quai.
J’ai tenté encore quelques chapitres mais je dois avouer, j’ai abandonné vers la moitié. Trop énigmatique, trop grandiloquent. Peut-être un texte qui aurait pu me toucher plus dans d’autres phases de ma vie, mais à l’instant j’ai eu ma dose de ces récits éthérés.
Ainsi je ne peux pas dire ce qui a amené Shaun Bythell à verser une larme à la fin. Moi, j’ai déjà pleuré après le premier chapitre à cause de l’impossibilité pour trouver un peu d’enthousiasme pour ce livre.
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Re: Elizabeth Smart
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7151
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Re: Elizabeth Smart
tu le sais bien, chaque lecteur a une autre approche et ainsi ce livre pourrait être pour toiQueenie a écrit:Eh ben, autant le résumé que tu mets en citation me mettait l'eau à la bouche, autant ce que tu en dis me fais reculer.
malheureusement cette fois-ci, j'ai la version e-book que je ne peux pas envoyer, sinon je te l'aurais volontiers offert
je ne t'ai pas oublié pour l'autre livre, je ne suis pas encore passée auprès de la poste
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