Max Porter
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Max Porter
Max Porter, né en 1981, est éditeur pour la maison d’éditions Granta depuis 2012.
Il est titulaire d'un MA d'histoire de l'art de l'Institut Courtauld à Londres.
La douleur porte un costume de plumes (Grief Is the Thing with Feathers, 2015) était son premier roman.
Il vit à Londres avec sa femme et leurs trois enfants.
Source : Babelio
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Best when you improvise
George Gershwin
Re: Max Porter
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Grief Is the Thing with Feathers / La Douleur porte un costume de plumes
Et quel beau hasard a ainsi posé ce roman entre mes mains.
C’est d’autant plus étonnant puisqu’il y a tous les ingrédients dans ce roman qui sont en principe responsable pour que je n’adhère pas. Et ben, pas de règle sans exceptions.
Ainsi, après quelques pages je ne trouvais plus bizarre que ce corbeau s’incruste dans cette famille, prend la parole et organise la vie de cet homme et de ses enfants.
Mais moins du contenu, j’étais happée par le style. Quelle belle écriture. Max Porter a trouvé des mots et une forme bien à lui pour raconter cette histoire.
C’est extraordinaire, unique, poétique et vraiment d’une beauté exquise.
Avis aux amateurs.
Grief Is the Thing with Feathers / La Douleur porte un costume de plumes
J’ai découvert ce livre à cause de Alba Donati qui en parle dans son journal.Présentation de l’éditeur
Une mère meurt. Elle laisse derrière elle deux petits garçons et leur père terrassés par le chagrin. Un soir, on frappe à la porte de leur appartement londonien. Surgit alors un étrange personnage : un corbeau, doué non seulement de parole mais d'une verve enfiévrée, d'un aplomb surprenant et d'un sens de l'humour ravageur.
Qu'il soit chimère ou bien réel, cet oiseau de malheur s'est donné une mission auprès des trois âmes en péril. Il sera leur confident, baby-sitter, analyste, compagnon de jeu et d'écriture, l'ange gardien et le pitre de service –; et il les accompagnera jusqu'à ce que la blessure de la perte, à défaut de se refermer, guérisse assez pour que la soif de vivre reprenne le dessus.
Bouleversante, hilarante, audacieuse et unique, cette fable moderne est un bijou littéraire qui nous rappelle ceci : ce sont les pouvoirs de l'imaginaire et la force des mots qui nous tiennent en vie.
Et quel beau hasard a ainsi posé ce roman entre mes mains.
C’est d’autant plus étonnant puisqu’il y a tous les ingrédients dans ce roman qui sont en principe responsable pour que je n’adhère pas. Et ben, pas de règle sans exceptions.
Ainsi, après quelques pages je ne trouvais plus bizarre que ce corbeau s’incruste dans cette famille, prend la parole et organise la vie de cet homme et de ses enfants.
Mais moins du contenu, j’étais happée par le style. Quelle belle écriture. Max Porter a trouvé des mots et une forme bien à lui pour raconter cette histoire.
C’est extraordinaire, unique, poétique et vraiment d’une beauté exquise.
Avis aux amateurs.
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Re: Max Porter
Une jolie histoire à laquelle on ne penserait pas forcément associer un corbeau ;-)
L'auteure, très sympathique, explique qu'elle lui a été inspirée par l'histoire de son père, et aussi de celle de Ted Hugues qui perdit tragiquement Sylvia Plath.
Je retiens, thanks Kena!
L'auteure, très sympathique, explique qu'elle lui a été inspirée par l'histoire de son père, et aussi de celle de Ted Hugues qui perdit tragiquement Sylvia Plath.
Je retiens, thanks Kena!
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