Robert Creeley
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Re: Robert Creeley
voilà que @Domreader a ouvert le fil de Robert Graves, je me suis rappelée de cette lecture où on fait en quelques sorte connaissance avec lui sous forme du personnage de Monsieur Duddon
commentaire de 2015
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The Island / L’insulaire
Ce qui en soit n’apporte pas plus d’intérêt à l’histoire (bien que ce fût intéressant de faire un peu le jeu de piste concernant les personnages célèbres qu’il a « caché ») mais comme vous le savez, j’ai un penchant pour les biographies romancées, ainsi mon engouement s’est augmenté.
Il n’y a pas de fil rouge dans le récit. Il décrit sa vie sur l’île, il montre quelques moments clés. La vie de famille qu’il a mené avec sa femme et ses enfants, ses rencontres avec son ami Artie, la visite d’autres amis qui viennent sur l’île, des instants avec les indigènes.
C’est agréable à lire, il y a une augmentation de tension, surtout entre lui et sa femme et même si on prévoit en quelque sorte la fin, c’est quand même très bien mené et il laisse le fin mot au lecteur…
Très bon moment de lecture, j’ai beaucoup aimé, il n’a malheureusement pas écrit d’autres romans.
commentaire de 2015
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The Island / L’insulaire
Selon sa biographie, Robert Creeley a vécu avec sa femme et ses enfants pendant quatre ans sur l’île de Majorque, entre 1951 et 1955. On peut donc supposer qu’il a introduit dans ce texte qui se dit ‘roman’ bon nombre de bouts réels de sa vie.Présentation de l’éditeur
John, un écrivain américain, sa femme Joan et leurs trois enfants sont venus s’installer dans une île au large des côtes espagnoles.
À l’intérieur de ces « horizons visibles », John espère trouver un sens à sa vie ou au moins une réalité des êtres et des choses. Mais tout lui semble échapper : son ami Artie, écrivain anglais lui aussi réfugié dans l’île avec sa femme Marge, créature froide, lucide et passive qui attend un enfant ; les amis de rencontre ou de passage et jusqu’à Joan dont la santé physique et morale se détériore à mesure que le déracinement creuse en elle son vide qui finira par éclater les illusions de l’île.
Poète, Robert Creely a fait de son premier livre une expérience d'écriture où la perception poétique sous-tend, modèle la matière romanesque. Images, sentiments et dialogues, tous ces morceaux de vie épars sont brassés en un unique flot intérieur qui mène le héros à la limite de la rupture d’avec le réel.
Roman de la quête et du manque, L’insulaire révèle un auteur dont le style s’inscrit d’une manière tout à fait originale dans la littérature américaine d’aujourd’hui.
Ce qui en soit n’apporte pas plus d’intérêt à l’histoire (bien que ce fût intéressant de faire un peu le jeu de piste concernant les personnages célèbres qu’il a « caché ») mais comme vous le savez, j’ai un penchant pour les biographies romancées, ainsi mon engouement s’est augmenté.
Il n’y a pas de fil rouge dans le récit. Il décrit sa vie sur l’île, il montre quelques moments clés. La vie de famille qu’il a mené avec sa femme et ses enfants, ses rencontres avec son ami Artie, la visite d’autres amis qui viennent sur l’île, des instants avec les indigènes.
C’est agréable à lire, il y a une augmentation de tension, surtout entre lui et sa femme et même si on prévoit en quelque sorte la fin, c’est quand même très bien mené et il laisse le fin mot au lecteur…
Très bon moment de lecture, j’ai beaucoup aimé, il n’a malheureusement pas écrit d’autres romans.
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