James Runcie
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James Runcie
Né en 1959, fils de l'ancien archevêque de Canterbury, James Runcie est écrivain et réalisateur.
Il enseigne également à l'université de Bath et écrit régulièrement dans The Independant.
Source : Editeur
série Sidney Chambers
2012 Sidney Chambers and the Shadow of Death / Sidney Chambers et l'ombre de la mort
2013 Sidney Chambers and The Perils of the Night / Sidney Chambers et les périls de la nuit
2014 Sidney Chambers and The Problem of Evil / Sidney Chambers et le problème du mal
2015 Sidney Chambers and The Forgiveness of Sins
2016 Sidney Chambers and The Dangers of Temptation
2017 Sidney Chambers and the Persistence of Love
2019 The Road to Grantchester
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: James Runcie
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Sidney Chambers and The Shadow of Death / Sidney Chambers et l'ombre de la mort
J’en ai vu quelques épisodes et bien que ce n’est pas mauvais, je dois dire que j’ai une préférence pour les écrits de James Runcie.
Je suis tellement désolée de retrouver cette série parmi les lectures « policiers ». Je ne suis pas d’accord.
Oui, en effet, il y a un mystère, même des morts, plus ou moins « naturels » et il y a cette amitié entre Sidney Chambers et l’inspecteur George Keating. Mais cela s’arrête là.
Les énigmes qui se présentent sont plutôt destiné à donner l’occasion à l’auteur de faire le portrait de ce jeune pasteur, sa vie dans cette petite communauté, ses doutes, ses craintes, ses joies…
Je n’ai pas recherché des thèses concernant la foi ou autres sujets en relation avec l’église, mais James Runcie (certainement aussi à cause du fait qu’il est le fils d’un ancien archevêque) traite ce volet avec beaucoup de connaissance mais aussi avec délicatesse.
En tout c’est un très bon mélange entre plusieurs genres et j’ai adoré et dévoré. Je vais certainement continuer avec le prochain volet.
Sidney Chambers and The Shadow of Death / Sidney Chambers et l'ombre de la mort
Dans ce premier volet il y a 6 enquêtes (nouvelles) et on les retrouve dans la série adaptée (qui se prend naturellement pas mal de liberté).Présentation de l’éditeur
Sidney Chambers est le jeune pasteur de la petite paroisse de Grantchester. Grand, brun, les yeux noisette et l’air rassurant, Sidney est un homme d’Église peu conventionnel qui peut aller là où la police ne le peut pas. Avec son ami, George Keating, inspecteur à Scotland Yard, il enquête sur le suicide d’un avocat de Cambridge, un scandaleux vol de bijoux perpétré lors d’une soirée de Nouvel An et une affaire de faux en art qui met l’un de ses amis en très grand danger. Sidney découvre qu’un détective, comme un prêtre, doit avant tout savoir sonder l’âme humaine…
So british sans jamais verser dans la caricature, s’inscrivant clairement dans la tradition du père Brown de Chesterton, ce délicieux mystery, premier volet d’une série récemment adaptée pour la télévision intitulée Grantchester, enchaîne de savoureuses énigmes qui se dévorent comme des scones à l’heure du thé.
J’en ai vu quelques épisodes et bien que ce n’est pas mauvais, je dois dire que j’ai une préférence pour les écrits de James Runcie.
Je suis tellement désolée de retrouver cette série parmi les lectures « policiers ». Je ne suis pas d’accord.
Oui, en effet, il y a un mystère, même des morts, plus ou moins « naturels » et il y a cette amitié entre Sidney Chambers et l’inspecteur George Keating. Mais cela s’arrête là.
Les énigmes qui se présentent sont plutôt destiné à donner l’occasion à l’auteur de faire le portrait de ce jeune pasteur, sa vie dans cette petite communauté, ses doutes, ses craintes, ses joies…
Je n’ai pas recherché des thèses concernant la foi ou autres sujets en relation avec l’église, mais James Runcie (certainement aussi à cause du fait qu’il est le fils d’un ancien archevêque) traite ce volet avec beaucoup de connaissance mais aussi avec délicatesse.
En tout c’est un très bon mélange entre plusieurs genres et j’ai adoré et dévoré. Je vais certainement continuer avec le prochain volet.
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George Gershwin
Re: James Runcie
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Sidney Chambers and The Perils of the Night / Sidney Chambers et les périls de la nuit
Entre-temps je suis complètement accro et je pense bien que je vais me faire toute la série.
C’est cette combinaison d’énigme et description de la vie paisible dans ce petit village aux alentours de Cambridge.
Je suis sous le charme.
Comme je l’ai déjà dit, il n’y a pas dans chaque nouvelle un meurtre, parfois seulement un secret, une énigme à élucider, mais cela cré un bon suspense et on se laisse emporter par les histoires que James Runcie a inventé.
Même si je parle de « nouvelles », faut mentionner pour ceux qui n’aiment pas ce genre, c’est quand même tout à fait autre chose que dans les nouvelles classiques. Ici les personnages principaux restent les mêmes.
On les retrouve dans le même décors et l’auteur fait seulement apparaître d’autres gens autour d’eux.
C’est fascinant, extraordinaire et même ici et là une petite dose de « british humour » qui fait du bien.
Sidney Chambers and The Perils of the Night / Sidney Chambers et les périls de la nuit
« délicieux Sidney Chambers », oui, c’est tout à fait cela.Présentation de l’éditeur
Angleterre, 1955. Le pasteur détective Sidney Chambers, amateur de whisky, de jazz et de backgammon, est de retour. Toujours accompagné de son fidèle labrador et de l’inspecteur Keating, il enquête cette fois sur l’empoisonnement d’un joueur de cricket, l’incendie du studio d’un photographe de charme, et doit élucider – sur fond de guerre froide et de rivalité professorale – deux meurtres perpétrés au sein de l’université de Cambridge.
Parallèlement aux intrigues criminelles, les affaires de cœur ne manquent pas de le préoccuper : parviendra-t-il à choisir entre ses deux prétendantes, la sensuelle Amanda et la spirituelle Hildegard ?
Amour, gloire de Dieu et homicides : tels sont les ingrédients de ce deuxième volet des “Mystères de Grantchester”, avec lequel James Runcie poursuit les aventures du délicieux Sidney Chambers.
Entre-temps je suis complètement accro et je pense bien que je vais me faire toute la série.
C’est cette combinaison d’énigme et description de la vie paisible dans ce petit village aux alentours de Cambridge.
Je suis sous le charme.
Comme je l’ai déjà dit, il n’y a pas dans chaque nouvelle un meurtre, parfois seulement un secret, une énigme à élucider, mais cela cré un bon suspense et on se laisse emporter par les histoires que James Runcie a inventé.
Même si je parle de « nouvelles », faut mentionner pour ceux qui n’aiment pas ce genre, c’est quand même tout à fait autre chose que dans les nouvelles classiques. Ici les personnages principaux restent les mêmes.
On les retrouve dans le même décors et l’auteur fait seulement apparaître d’autres gens autour d’eux.
C’est fascinant, extraordinaire et même ici et là une petite dose de « british humour » qui fait du bien.
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George Gershwin
Re: James Runcie
Cela semble intéressant. Merci @Kenavo.
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Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4815
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: James Runcie
j'ai entre-temps terminé la série et à part le dernier, je peux recommander chacun des recueils
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George Gershwin
Re: James Runcie
Je n'avais pas réalisé que l'adaptation télé était Granchester dont j'ai regardé tous les épisodes ! Je note le nom de Runcie alors.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: James Runcie
je n'ai regardé que quelques épisodes de la série adaptée, ils ont changé trop de faits par rapport aux livres, difficile de se retrouver
en plus, l'acteur qui joue Sydney a quitté la production après la 3ème saison, tandis que dans les livres il reste jusqu'à la fin
en plus, l'acteur qui joue Sydney a quitté la production après la 3ème saison, tandis que dans les livres il reste jusqu'à la fin
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George Gershwin
Re: James Runcie
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Sidney Chambers and The Problem of Evil / Sidney Chambers et le problème du mal
C’est tout à fait cela. James Runcie n’a pas besoin d’un meurtre pour raconter une (des) bonne(s) histoire(s).
J’adore vraiment. Et de plus en plus.
Étonnant que j’avais besoin de quelques années pour vraiment tomber sous le charme. J’ai vérifié – j’ai acheté le premier volet début 2021 et laissé de côté (après la lecture de la première nouvelle) pensant que ce n’était pas pour moi. Surtout après avoir vu quelques épisodes de l’adaptation. J’aurais mieux fait de ne pas y jeter un œil. On a tellement transformé le tout, Sidney Chambers est le mieux sur papier.
Dans ce livre James Runcie a donné plus de pages à ses histoires, ainsi il n’y a qu’au lieu des six dans les autres livres que quatre nouvelles.
Et je ne saurais pas dire laquelle j’aime le plus. Ce qui est en tout cas très joyeux, Sidney s’est marié et va devenir père dans la dernière nouvelle de ce volet. En voilà ce qui ajoute au charme du tout.
Je me sens très bien en compagnie de tout ce beau monde. Et hop, le prochain volet est prêt…
Sidney Chambers and The Problem of Evil / Sidney Chambers et le problème du mal
La présentation de l’éditeur le dit tout bon : « roman à énigme ».Présentation de l’éditeur
Sidney Chambers goûte aux joies du mariage avec Hildegard, son épouse allemande. Mais le calme ne dure jamais longtemps à Grantchester et, bientôt, le clerc détective tente d’arrêter un «serial killer »qui s’en prend au clergé, découvre qu’une noyade survenue lors d’un tournage n’était peut-être pas si accidentelle que cela et enquête sur le vol d’un bébé à l’hôpital commis à Noël, en 1963.
Troisième volet de la série des “Mystères de Grantchester” qui a l’ambition de traverser trente ans d’histoire britannique et dont l’adaptation télévisuelle connaît un vif succès, «Sidney Chambers et le problème du mal »réhabilite de la plus belle façon le roman à énigme.
C’est tout à fait cela. James Runcie n’a pas besoin d’un meurtre pour raconter une (des) bonne(s) histoire(s).
J’adore vraiment. Et de plus en plus.
Étonnant que j’avais besoin de quelques années pour vraiment tomber sous le charme. J’ai vérifié – j’ai acheté le premier volet début 2021 et laissé de côté (après la lecture de la première nouvelle) pensant que ce n’était pas pour moi. Surtout après avoir vu quelques épisodes de l’adaptation. J’aurais mieux fait de ne pas y jeter un œil. On a tellement transformé le tout, Sidney Chambers est le mieux sur papier.
Dans ce livre James Runcie a donné plus de pages à ses histoires, ainsi il n’y a qu’au lieu des six dans les autres livres que quatre nouvelles.
Et je ne saurais pas dire laquelle j’aime le plus. Ce qui est en tout cas très joyeux, Sidney s’est marié et va devenir père dans la dernière nouvelle de ce volet. En voilà ce qui ajoute au charme du tout.
Je me sens très bien en compagnie de tout ce beau monde. Et hop, le prochain volet est prêt…
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Re: James Runcie
Sidney Chambers and The Forgiveness of Sins
Une promotion, un déménagement, des intrigues, des mystères, des accidents, un vol d’art et oui, quand même aussi un ou deux meurtres. Le cher Sidney ne peut pas dire que sa vie est ennuyeuse.Présentation de l'éditeur
The loveable full-time priest and part-time detective, Canon Sidney Chambers, continues his sleuthing adventures in 1960’s Cambridge. On a snowy Thursday morning in Lent 1964, a stranger seeks sanctuary in Grantchester’s church, convinced he has murdered his wife. Sidney and his wife Hildegard go for a shooting weekend in the country and find their hostess has a sinister burn on her neck. Sidney’s friend Amanda receives poison pen letters when at last she appears to be approaching matrimony. A firm of removal men 'accidentally' drop a Steinway piano on a musician’s head outside a Cambridge college. During a cricket match, a group of schoolboys blow up their school Science Block. And on a family holiday in Florence, Sidney is accused of the theft of a priceless painting.
Meanwhile, on the home front, Sidney’s new curate Malcolm seems set to become rather irritatingly popular with the parish; his baby girl Anna learns to walk and talk; Hildegard longs to get an au pair and Sidney is offered a promotion. Entertaining, suspenseful, thoughtful, moving and deeply humane, these six new stories are bound to delight the clerical detective’s many fans.
Comme pour les autres livres, je me suis régalée et j’avais de la peine de poser ma lecture. Trop curieuse pour voir la suite.
Comme dans les premiers recueils, on retrouve six nouvelles et c’est fascinant comment James Runcie arrive à diversifier ses histoires. À chaque fois il arrive à concocter du nouveau, aucun cas n’est pareil que les autres.
Exquis !
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George Gershwin
Re: James Runcie
Sidney Chambers et l’ombre de la mort
J’ai beaucoup lu de romans policiers, mais j’ai de plus en plus de mal à m’y intéresser maintenant, trouvant que les auteurs actuels ont souvent tendance à appliquer des recettes, plus qu’à inventer de nouveaux personnages, de nouveaux paradigmes, faire preuve de créativité qui va surprendre le lecteur, le désarçonner. Mais j’essaie de temps en temps de replonger dans l’univers policier, en espérant une bonne surprise.
Cela a été le cas avec cet ouvrage de James Runcie. Le personnage principal, quelque peu atypique, est un ecclésiastique, qui par hasard au départ, se met à résoudre, ou à contribuer à résoudre, des énigmes policières. Mais la résolution de l’énigme n’est pas forcément centrale, il s’agit de décrire des personnages, des questions morales, voire théologiques. Le crime ou délit, fait partie de la vie, de ce qui peut arriver à n’importe qui un jour ou l’autre, c’est un moment de crise, une manière de mettre en lumière ce qui pré-existait, qui était sous-jacent. Les êtres se révèlent, au-delà des apparences, des conventions sociales, des rôles qu’ils occupent.
Les six énigmes présentées balaient assez large, dans des milieux différents. Il y a une continuité dans le livre, le fil rouge étant Sidney Chambers, sa vie, les petits incidents de son existence. En résolvant les mystères, il doit pénétrer dans la psyché des différents personnages, essayer de les comprendre, et en retour cela provoque aussi des changements dans sa vision du monde, des interrogations sur les valeurs, sur la foi.
Cela n’est pas aussi complexe et essentiel que Chesterton, à qui on a comparé les livres de James Runcie, mais c’est incontestablement un livre de très bonne facture, qui me donne envie de continuer avec les autres opus de la série.
J’ai beaucoup lu de romans policiers, mais j’ai de plus en plus de mal à m’y intéresser maintenant, trouvant que les auteurs actuels ont souvent tendance à appliquer des recettes, plus qu’à inventer de nouveaux personnages, de nouveaux paradigmes, faire preuve de créativité qui va surprendre le lecteur, le désarçonner. Mais j’essaie de temps en temps de replonger dans l’univers policier, en espérant une bonne surprise.
Cela a été le cas avec cet ouvrage de James Runcie. Le personnage principal, quelque peu atypique, est un ecclésiastique, qui par hasard au départ, se met à résoudre, ou à contribuer à résoudre, des énigmes policières. Mais la résolution de l’énigme n’est pas forcément centrale, il s’agit de décrire des personnages, des questions morales, voire théologiques. Le crime ou délit, fait partie de la vie, de ce qui peut arriver à n’importe qui un jour ou l’autre, c’est un moment de crise, une manière de mettre en lumière ce qui pré-existait, qui était sous-jacent. Les êtres se révèlent, au-delà des apparences, des conventions sociales, des rôles qu’ils occupent.
Les six énigmes présentées balaient assez large, dans des milieux différents. Il y a une continuité dans le livre, le fil rouge étant Sidney Chambers, sa vie, les petits incidents de son existence. En résolvant les mystères, il doit pénétrer dans la psyché des différents personnages, essayer de les comprendre, et en retour cela provoque aussi des changements dans sa vision du monde, des interrogations sur les valeurs, sur la foi.
Cela n’est pas aussi complexe et essentiel que Chesterton, à qui on a comparé les livres de James Runcie, mais c’est incontestablement un livre de très bonne facture, qui me donne envie de continuer avec les autres opus de la série.
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Arabella- Messages : 4815
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: James Runcie
oh, trop contente de te lire
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George Gershwin
Re: James Runcie
Sidney Chambers and The Dangers of Temptation
Depuis le début de la série, c’est la première fois que James Runcie mentionne la date de naissance de son héros et le livre commence avec une petite fête entre famille et amis pour célébrer son jour. Je partage la même date avec le cher Sydney, pas étonnant que je l’adore tellement !Présentation de l’éditeur
Archdeacon Sidney Chambers is beginning to think that the life of a full-time priest (and part-time detective) is not easy. So when a bewitching divorcee in a mink coat interrupts Sidney's family lunch asking him to help locate her missing son, he hopes it will be an open and shut case.
The last thing he expects is to be dragged into the mysterious workings of a sinister cult, or to find himself tangled up in another murder investigation. But, as always, the village of Grantchester is not as peaceful as it seems…
From the theft of an heirloom to an ominous case of blackmail, Sidney is once again rushed off his feet in this fifth instalment in The Grantchester Mysteries series.
Comme je l’ai déjà dit, James Runcie arrive avec chaque histoire de « réinventer » le genre. Il y a toujours une énigme, pas toujours un meurtre, mais n’importe le mystère, Sidney arrive à trouver la solution.
Même lors des vacances qu'il va passer en 1970 à Rügen chez la famille de sa femme, il y a un cas à résoudre pour lui. Mais à ce moment cette île se trouve en ex-RDA et les autorités ne veulent rien savoir de ses qualités de détective.
Je me suis tellement habituée à ce personnage et tous les gens qui se retrouvent autour de lui… bonheur de lecture garantie.
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George Gershwin
Re: James Runcie
Sidney Chambers and The Persistence of Love
Quand j’ai commencé avec cette série, j’avais vu que James Runcie a arrêté d’écrire des Grantchester Mysteries en 2017 (à part un préquel en 2019) tandis qu’avant il publiait un volet chaque année / toutes les deux années.Présesntation de l’éditeur
Life is never straightforward when you're a full-time priest and part-time detective. So when a walk in a bluebell wood takes an unexpected turn, Archdeacon Sidney Chambers finds himself plunged into another murder investigation: who would want to kill a harmless old hippy - and why was the man foraging for poisonous plants?
Sidney's findings soon lead him into sunny Granchester's dark underworld, where love is free and motives are shady. But his investigation, together with his continual inquiry into the divine mysteries of life, love and family, is blown apart by a devastating loss that will change his world forever.
Il devait y avoir quelque chose de grave dans ce dernier épisode.
Et c’est le cas. La dernière histoire m’a brisé le cœur.
En plus que je trouve les autres nouvelles moins bonnes que d’habitude. Trop de blabla, peu de choses intéressantes.
Oui, cela se peut que j’en ai eu ma dose, heureusement qu’on soit à la fin.
Et pour l’instant je n’ai pas envie du préquel.
Je vais garder les cinq premiers volumes de cette série en très bonne mémoire. Je me suis éclatée. Il y a des personnages mémorables, des mystères extras, des situations drôles, effrayantes et certainement captivantes.
Les années 1950-1960 vont rester mes favorites du cher Sidney, de sa famille et amis. Je peux même dire que j’ai envie de relire l’une ou l’autre nouvelle.
Mais les années 1970… non, pas moyen que je vais me réconcilier avec ce volet, dommage, James Runcie aurait pu aboutir cette saga de meilleure façon.
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