Alain Claude Sulzer
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Alain Claude Sulzer

Alain Claude Sulzer, né le 17 février 1953 à Riehen, est un écrivain suisse alémanique.
Biographie
Après une formation de bibliothécaire, il travaille comme journaliste. Il commence à écrire dans les années 1980. En 1990, il participe au concours du prix Ingeborg Bachmann à Klagenfurt, dont il sera membre du jury dix-huit ans plus tard, en 2008. Il reçoit en 2005 le prix Schiller et en 2008 le prix Médicis étranger pour le même livre, Un garçon parfait, sur les thèmes essentiels de l'amour, de la séparation, du mensonge à travers une histoire d'homosexualité.
Il se partage entre Bâle et Vieux-Ferrette en Alsace.
Il est l'auteur de romans, de nouvelles, d'essais et de pièces radiophoniques. Il est aussi traducteur depuis le français.
Source: Wikipédia
Bibliographie
2008 Un garçon parfait
2009 Leçons particulières
2011 Une autre époque
2013 Une mesure de trop
2016 Post-scriptum
Dernière édition par Kenavo le Lun 23 Jan - 7:57, édité 2 fois
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George Gershwin
Re: Alain Claude Sulzer
Un auteur que j'ai découvert à cause d'une couverture livre toujours pas traduit en français

Ce roman a comme contenu une vraie histoire: celle de la chanteuse d'opéra suisse-allemande Anna Sutter qui a été tué par son amant en 1910.
Sulzer se met dans la 'peau' d'Anna (le titre du livre est Le masque d'Anna) et en seulement 116 pages il arrive à faire revivre cette femme
À Stuttgart où elle a été tuée, le sculpteur Karl Donndorf a conçu en 1914 le Puits du Destin – en l’honneur d’Anna Sutter
(au milieu la déesse du destin - d'un côté une allégorie pour la souffrance, de l'autre une pour la joie)

Après cette lecture je l'ai suivi dans tous ses livres...

Ce roman a comme contenu une vraie histoire: celle de la chanteuse d'opéra suisse-allemande Anna Sutter qui a été tué par son amant en 1910.
Sulzer se met dans la 'peau' d'Anna (le titre du livre est Le masque d'Anna) et en seulement 116 pages il arrive à faire revivre cette femme
À Stuttgart où elle a été tuée, le sculpteur Karl Donndorf a conçu en 1914 le Puits du Destin – en l’honneur d’Anna Sutter
(au milieu la déesse du destin - d'un côté une allégorie pour la souffrance, de l'autre une pour la joie)

Après cette lecture je l'ai suivi dans tous ses livres...
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George Gershwin
Re: Alain Claude Sulzer


Privatstunden / Leçons particulières
Presentation de l’éditeur:
Avant la chute du communisme, Léo, un étudiant qui a fui un pays de l'Est, est accueilli en Suisse par un couple et s'installe dans leur maison de banlieue. Martha, une mère de famille de trente-quatre ans, accepte de lui donner gracieusement des cours d'allemand. Dans cette langue qu'il maîtrise à peine, il s'entend avouer pour la première fois qu'il a abandonné sa fiancée au pays. Mais cette trahison n'est qu'un début. Alors qu'il est devenu l'amant de son professeur, il prend en secret des cours d'anglais pour pouvoir rejoindre son frère au Canada. Cet amour qui est pour Martha une révélation et qui va bouleverser sa vie n'est pour lui qu'un bonheur fugitif, qui n'a pas de place dans ses rêves d'avenir.
Pour Alain Claude Sulzer, l'amour est inséparable de la trahison, car il y en a toujours un qui aime plus que l'autre. Mais le roman dénonce aussi l'égoïsme inséparable de celui qui émigré. Obnubilé par le but qu'il s'est fixé, il utilise froidement tous ceux qui l'aident sans se préoccuper de leurs sentiments.
Avec une écriture très classique, très étudiée, il raconte une belle histoire.
Pour moi c’était intéressant de lire ce qu’il en dit sur le fait de vivre dans deux langues, cette approche vers un autre 'univers' à partir de changer de langue – pour devenir aussi un autre ?
J’aime bien les mondes que Alain Claude Sulzer crée dans ses livres, il m’est donc assez difficile d’en parler objectivement.. mais des deux livres qui sont maintenant disponibles de lui en français, je recommanderais celui-ci pour faire connaissance

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George Gershwin
Re: Alain Claude Sulzer

Zur falschen Zeit / Une autre époque
Présentation de l'éditeur
Un adolescent suisse décide de venir à Paris afin de découvrir ce qu'on lui a toujours caché : pourquoi son père s'est-il suicidé à sa naissance.
En effet, c'est la recherche d'un fils pour ce père inconnu. Seulement à l'âge de 17 ans il commence à se poser des questions et grâce à une photo il réussit à trouver des indices, une adresse à Paris et il va enfin trouver des réponses pour des questions qu'il ne savait même pas qu'ils existaient.
C'est aussi un livre qui montre l'intolérance et l’esprit borné de la bourgeoisie suisse des années 1950.
J'aime bien l'écriture de Sulzer qui raconte une histoire assez triste qui a eu en effet le malheur de se produire "au mauvais moment" (traduction du titre allemand), à une époque qui n'a pas donné la chance à tout le monde de vivre leur version de vie.
Très bon moment de lecture.
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George Gershwin
Re: Alain Claude Sulzer


Aus den Fugen / Une mesure de trop
Depuis que j’ai découvert Alain Claude Sulzer, j’ai lu tous ses livres et je me réjouis de voir son nom parmi les nouveautés.Présentation de l’éditeur
Au milieu d'une brillante interprétation, le pianiste de renommée internationale Marek Olsberg interrompt brutalement son jeu avec un simple : "C'est tout" et abandonne la salle. Ce micro-événement sera le grain de sable qui va bouleverser plusieurs vies. Un grandiose roman polyphonique sur les tours que nous joue le destin.
Lors de la parution allemande l’an dernier j’ai suivi un peu les critiques et malheureusement ils étaient assez mitigés. J’ai donc commencé avec quelques pressentiments et ils se sont confirmés.
C’est une lecture agréable, on pourrait même dire que c’est un tourne-page, mais sans surprise… les événements et descriptions se suivent comme des perles sur un fil et le tout reste assez lisse.
Il décrit différents personnages de la haute société à Berlin et je n’étais probablement pas trop intéressée par le sujet…
Je vais attendre la suite de cet auteur avec intérêt, mais j’espère qu’il va retrouver sa ‘magie’ de ses premiers livres.
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George Gershwin
Re: Alain Claude Sulzer


Postskriptum / Post-scriptum
Présentation de l’éditeur
Dans la quiétude d'un grand palace suisse, Lionel Kupfer, une des plus grandes stars du cinéma allemand, est venu se reposer. Nous sommes en 1933, Lionel est contraint à l'exil parce qu'il est juif, un départ vers les États-Unis encore assombri par la trahison de son amant Eduard, courtier en art, qui devient le fournisseur en œuvres volées ou extorquées des dirigeants nazis, et même du premier d'entre eux : Hitler.
Depuis que je suis Alain-Claude Sulzer dans chaque nouveau livre, je suis habituée de retrouver une certaine atmosphère, plutôt mélancolique dans ses histoires.
Pas de divergence pour ce Post-scriptum.
Entre 1933 et 1963 il développe l’histoire de Lionel Kufper. Surtout le début, son séjour à Sils-Maria dans le fameux hôtel Waldhaus, va non seulement devenir le lieu de rencontre avec un de ses plus grands admirateurs, mais aussi changer sa vie de plus d’une manière.
Comme toujours avec cet auteur, l’écriture est fluide, marqué par un certain ton qui donne plein de bons moments si on adhère.
Pas de changement non plus concernant mon appréciation. Après la dernière page, je suis en attente de son prochain livre…
et le voilà dans sa langue maternelle

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George Gershwin
Re: Alain Claude Sulzer
Ah, grand merci pour le fil Kena! Je lirai tes coms sur Post-scriptum et Zur falschen Zeit après ma lecture de ces romans. 

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Merlette- Messages : 2334
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Re: Alain Claude Sulzer
puisque tu en as parlé, je trouvais que c'était le bon moment d'ouvrir son fil
ah mais oui, reviens seulement après ta lecture, je ne dévoile jamais trop dans mes commentaires, mais cela te laisse ton approche vers ses livres sans connaissances préalables
ah mais oui, reviens seulement après ta lecture, je ne dévoile jamais trop dans mes commentaires, mais cela te laisse ton approche vers ses livres sans connaissances préalables
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Re: Alain Claude Sulzer
Kenavo a écrit:puisque tu en as parlé, je trouvais que c'était le bon moment d'ouvrir son fil
ah mais oui, reviens seulement après ta lecture, je ne dévoile jamais trop dans mes commentaires, mais cela te laisse ton approche vers ses livres sans connaissances préalables
Oui, surtout que pour Zur falschen Zeit, cette lecture relève aussi de l'exercice de compréhension écrite.

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Merlette- Messages : 2334
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Re: Alain Claude Sulzer
Merci pour l'ouverture du fil Kenavo!

Découvert par Nezumi qui l'avait beaucoup aimé. Je ne vais pas résumer le roman, je vous laisse celui de l'éditeur. Je ne dirais pas qu'il m'ait plu autant qu'elle, mais j'en ai retenu son charme assez distant, et cette écriture lisse qui prend plus d'épaisseur au fur et à mesure que le suspense se révèle. Un peu à la façon de Stamm, la précision en plus, l'auteur nous laisse deviner les tourments de ses personnages d'apparence neutre, mais qui bouillonnent de passions intérieures dont ils peinent à cacher les effets. Un style sobre mais efficace, et qui tient le lecteur jusqu'à ses dernières lignes, à l'image de Ernest comme il est noté plus haut, constamment dans la juste mesure, développant "un instinct des désirs du client". Alain Claude Sulzer aborde ainsi plusieurs thèmes (la trahison amoureuse, la difficulté de vivre son homosexualité à cette époque, la fuite de certains juifs face à la montée du nazisme) sans s'apesantir et en évitant tout pathos jusqu'à la révélation finale qui nous prend à rebours. Un style indéniable, très feutré qui accroche, c'est certain!

Ernest travaille dans le restaurant d'un palace à Giessbach, en Suisse. C'est un garçon parfait, aussi strict dans le travail que dans la vie. Mais cette dignité imperturbable cache la blessure jamais guérie de la violente passion qu'il a connue pour Jacob, un garçon parfait comme lui, Jacob qui l'a abandonné pour suivre en Amérique Julius Klinger, le grand écrivain allemand. C'était après 1933, dans ces années troublées où beaucoup de clients, fuyant l'Allemagne nazie, venaient trouver refuge, avant les rigueurs de l'exil, dans ce luxueux hôtel qui avait si sou-vent abrité leurs insouciantes villégiatures. Mais rien n'était plus pareil et Sulzer rend palpable la peur obscure qui hante désormais ces salons trop rassurants et tisse avec subtilité les fils des drames intimes et ceux de la tragédie historique. Il faudra la fin de la guerre et le retour d'exil de Klinger pour que s'affrontent deux mémoires dans l'ultime combat d'une rivalité amoureuse. C'est ce qui prête au roman une tension dramatique qui va crescendo et tient jusqu'au bout le lecteur en haleine.
Découvert par Nezumi qui l'avait beaucoup aimé. Je ne vais pas résumer le roman, je vous laisse celui de l'éditeur. Je ne dirais pas qu'il m'ait plu autant qu'elle, mais j'en ai retenu son charme assez distant, et cette écriture lisse qui prend plus d'épaisseur au fur et à mesure que le suspense se révèle. Un peu à la façon de Stamm, la précision en plus, l'auteur nous laisse deviner les tourments de ses personnages d'apparence neutre, mais qui bouillonnent de passions intérieures dont ils peinent à cacher les effets. Un style sobre mais efficace, et qui tient le lecteur jusqu'à ses dernières lignes, à l'image de Ernest comme il est noté plus haut, constamment dans la juste mesure, développant "un instinct des désirs du client". Alain Claude Sulzer aborde ainsi plusieurs thèmes (la trahison amoureuse, la difficulté de vivre son homosexualité à cette époque, la fuite de certains juifs face à la montée du nazisme) sans s'apesantir et en évitant tout pathos jusqu'à la révélation finale qui nous prend à rebours. Un style indéniable, très feutré qui accroche, c'est certain!
Aeriale- Messages : 10403
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Alain Claude Sulzer
j'adore en tout cas que tu tentes de te remettre à l'allemand... je te souhaite non seulement une bonne compréhension, mais surtout un bon moment de lectureCéline a écrit:Oui, surtout que pour Zur falschen Zeit, cette lecture relève aussi de l'exercice de compréhension écrite.Faut que je m'assure d'avoir tout bien compris par moi-même, ou du moins autant que possible.

merci à toi pour ton commentaire, le seul de ses livres pour lequel je n'en ai pas fait dans le tempsAeriale a écrit:Merci pour l'ouverture du fil Kenavo!

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Re: Alain Claude Sulzer
Kenavo a écrit:j'adore en tout cas que tu tentes de te remettre à l'allemand... je te souhaite non seulement une bonne compréhension, mais surtout un bon moment de lectureCéline a écrit:Oui, surtout que pour Zur falschen Zeit, cette lecture relève aussi de l'exercice de compréhension écrite.Faut que je m'assure d'avoir tout bien compris par moi-même, ou du moins autant que possible.
Merci Kena, quand je m'y remets à l'allemand c'est toujours si difficile, j'ai toujours tellement l'impression de repartir de zéro que je déteste cette langue. Et puis quand le voc et les mécanismes de syntaxe me reviennent peu à peu je passe un chouette moment car c'est gratifiant de comprendre!! Pourvu que cet état de grâce dure. Ich drücke mir die Daumen.

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Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Alain Claude Sulzer
-Post scriptum-

Le roman s’ouvre sur une scène qui changera à jamais la vie du personnage principal. Une partie de cache cache, tout le monde cherche le turbulent Tobias, son grand frère. Lion, solitaire et plus rêveur, dessine de son côté et connait son premier émoi sentimental. Plus loin, un cri déchirant, celui de sa mère: Son frère est retrouvé noyé. Fin de l'insouciance et des jours heureux.
Plus tard, en 1933. Lion devenu Lionel Kupfer, acteur autrichien connu en Allemagne, se repose dans un luxueux hôtel suisse, le Waldhaus, en attendant le tournage de son prochain film. Tout le monde le connait, les estivants comme le personnel, mais il aime être tranquille et se mélange peu aux soirées musicales qui y sont organisées. Il préfère attendre la venue de son amant, Eduard, un amateur d'art bien introduit dans les milieux proches d'Hitler. Un soir il fait la connaissance de Walter un jeune postier fasciné par le charisme de l'acteur. Mais l'arrivée imprévue d' Eduard venu lui annoncer la censure faite aux juifs, va stopper nette leur courte liaison, et Lionel sera contraint de s'exiler aux Etats unis où il finira dans un relatif anonymat.
Sulzer ici encore aborde le thème de l'homosexualité, de la difficulté à la vivre lorsque deux mondes différents se côtoient. De la rigueur de codes sociaux dans cette Europe de l'entre deux guerres, où tout doit être encore caché et sous contrôle. De la honte et aussi parfois de l'opprobre lorsqu'elle est soupçonnée. Il sait, sous le faste apparent et la froideur affichés, faire percer les passions contenues, les non dits étouffés, et la finalité des choses passagères.
Que l'on soit simple postier, femme de chambre illettrée, ou artiste reconnu, les souffrances se ressemblent. Une même honte, un même sentiment d'échec, de ratés et de déceptions. La vie telle qu'elle est, triste et mélancolique sous le fard bien rodé des convenances. C'est toujours dit avec élégance, même si on ne sort pas trop de ces thèmes. Et j'ai aimé ce retour au passé, que l'auteur maîtrise parfaitement, sous forme d'ellipses rapides. Subtile, et bien écrit. A tenter!

Le roman s’ouvre sur une scène qui changera à jamais la vie du personnage principal. Une partie de cache cache, tout le monde cherche le turbulent Tobias, son grand frère. Lion, solitaire et plus rêveur, dessine de son côté et connait son premier émoi sentimental. Plus loin, un cri déchirant, celui de sa mère: Son frère est retrouvé noyé. Fin de l'insouciance et des jours heureux.
Plus tard, en 1933. Lion devenu Lionel Kupfer, acteur autrichien connu en Allemagne, se repose dans un luxueux hôtel suisse, le Waldhaus, en attendant le tournage de son prochain film. Tout le monde le connait, les estivants comme le personnel, mais il aime être tranquille et se mélange peu aux soirées musicales qui y sont organisées. Il préfère attendre la venue de son amant, Eduard, un amateur d'art bien introduit dans les milieux proches d'Hitler. Un soir il fait la connaissance de Walter un jeune postier fasciné par le charisme de l'acteur. Mais l'arrivée imprévue d' Eduard venu lui annoncer la censure faite aux juifs, va stopper nette leur courte liaison, et Lionel sera contraint de s'exiler aux Etats unis où il finira dans un relatif anonymat.
Sulzer ici encore aborde le thème de l'homosexualité, de la difficulté à la vivre lorsque deux mondes différents se côtoient. De la rigueur de codes sociaux dans cette Europe de l'entre deux guerres, où tout doit être encore caché et sous contrôle. De la honte et aussi parfois de l'opprobre lorsqu'elle est soupçonnée. Il sait, sous le faste apparent et la froideur affichés, faire percer les passions contenues, les non dits étouffés, et la finalité des choses passagères.
Que l'on soit simple postier, femme de chambre illettrée, ou artiste reconnu, les souffrances se ressemblent. Une même honte, un même sentiment d'échec, de ratés et de déceptions. La vie telle qu'elle est, triste et mélancolique sous le fard bien rodé des convenances. C'est toujours dit avec élégance, même si on ne sort pas trop de ces thèmes. Et j'ai aimé ce retour au passé, que l'auteur maîtrise parfaitement, sous forme d'ellipses rapides. Subtile, et bien écrit. A tenter!
Aeriale- Messages : 10403
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Re: Alain Claude Sulzer
quel bonheur de retrouver tes beaux commentaires 
et en plus contente de lire que tu as aimé...

et en plus contente de lire que tu as aimé...
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George Gershwin
Re: Alain Claude Sulzer
Oh tu es sympa Kena, je partage aussi ton goût pour son écriture, riche et sobre en même temps.
Comme quoi on peut toucher à l'élégance sans en rajouter des tonnes. C'est ce qui manque parfois à certains auteurs ;-)
Comme quoi on peut toucher à l'élégance sans en rajouter des tonnes. C'est ce qui manque parfois à certains auteurs ;-)
Aeriale- Messages : 10403
Date d'inscription : 30/11/2016
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