Albert Camus

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Message par kenavo Lun 25 Déc - 5:49

Albert Camus A300

Albert Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi (aujourd’hui Dréan), près de Bône (aujourd’hui Annaba), en Algérie, et mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin, dans l'Yonne en France, est un écrivain, philosophe, romancier, dramaturge, journaliste, essayiste et nouvelliste français.

Il est aussi journaliste militant engagé dans la Résistance française et, proche des courants libertaires, dans les combats moraux de l'après-guerre.


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Message par kenavo Lun 25 Déc - 5:50

Albert Camus A299
Le premier homme
Présentation de l’éditeur
" En somme, je vais parler de ceux que j'aimais ", écrit Albert Camus dans une note pour Le premier homme. Le projet de ce roman auquel il travaillait au moment de sa mort était ambitieux. Il avait dit un jour que les écrivains "gardent l'espoir de retrouver les secrets d'un art universel qui, à force d'humilité et de maîtrise, ressusciterait enfin les personnages dans leur chair et dans leur durée ".Il avait jeté les bases de ce qui serait le récit de l'enfance de son " premier homme ". Cette rédaction initiale a un caractère autobiographique qui aurait sûrement disparu dans la version définitive du roman. Mais c'est justement ce côté autobiographique qui est précieux aujourd'hui. Après avoir lu ces pages, on voit apparaître les racines de ce qui fera la personnalité de Camus, sa sensibilité, la genèse de sa pensée, les raisons de son engagement. Pourquoi, toute sa vie, il aura voulu parler au nom de ceux à qui la parole est refusée.
Le Premier homme est enfin publié en 1994. Le succès est immédiat. On se demande depuis comment on a pu lire, étudier, enseigner Camus sans ce texte fondamental. Pourtant, avec ses notes et plans, ses changements de noms de personnages, ses phrases inachevées côtoyant d’autres phrases-fleuves qui courent sur plusieurs pages, Le Premier Homme reste une énigme. Il nous laisse voir un travail littéraire en cours d’élaboration, nous invite inévitablement à en imaginer la suite, les suites, à nous demander à chaque moment ce que l’auteur, connu pour son perfectionnisme, y aurait préservé ou modifié. C’est peut-être là, dans ce travail interrompu en plein élan, que Le Premier Homme émeut le plus : il nous donne l’impression de rencontrer Albert Camus, tel qu’il était et sans retouches.

Alice Kaplan, préface dans Le Premier Homme de Jacques Ferrandez
Albert Camus A296

Dès les premières pages de l’album de Jacques Ferrandez j’étais sous le charme et j’ai même avant la fin hébergé ce roman pour le lire tout de suite après.

Et là, je suis encore plus enthousiaste.

Quel beau texte !

Et comme l’éditeur le dit, c’est l’aspect autobiographique qui est surtout fascinant.

On a l’impression de se trouver à côté d’Albert Camus garçon/jeune homme.

Sa vie dans ce quartier pauvre dans une structure de famille assez particulière.

Par moment ce n’est naturellement qu’une ébauche, le livre était loin d’être terminé, mais je suis contente qu’on a décidé de le publier quand même.

De tout ce que j’ai lu de cet auteur, un de mes plus beaux moments.

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Message par Epi Lun 25 Déc - 17:52

Je garde un souvenir ému de ce livre. J'adorais Camus.

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Message par kenavo Mar 26 Déc - 5:43

Epi a écrit:Je garde un souvenir ému de ce livre.
je le comprends...
ce livre va aussi rester un très bon souvenir pour moi...

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Message par Arabella Dim 4 Avr - 21:36

La peste


Ce livre a connu une longue gestation, plusieurs versions, avant d'être publié en 1947. Malgré l'insatisfaction persistante de Camus envers son roman, ce dernier connaît un succès important et immédiat, et qui ne s'est pas démenti depuis. Cet ouvrage a été tellement lu, commenté, analysé, enseigné, qu'il paraît très difficile d'écrire à son sujet, sans dire des banalités ou des évidences.

Le livre se présente comme une chronique, écrite par un auteur anonyme, mais nous découvrirons à la fin du roman qu'il s'agit du docteur Rieux. Une chronique, donc en principe une description de faits, des événements. Nous sommes dans les années 40 du siècle dernier à Oran, lorsque surgit la peste. Nous suivons le fléau depuis les premiers signes annonciateurs (la mort de rats), puis les premiers cadavres humains surgissent, tout le monde hésite encore à poser le terrible diagnostic. Il devient impossible de réfuter ce qui est devenu l'évidence, et la ville est fermée pour éviter la propagation de la maladie. Les morts sont de plus en plus nombreux, nul n'est sûr d'y échapper. Puis, nous assistons au reflux de la maladie, aussi incompréhensible que sa venue.

Les cinq parties du roman sont en quelque sorte les cinq actes d'une tragédie en train de se dérouler sous nos yeux. Mais la chronique est en réalité une sorte de fable, de moralité. Il ne s'agit pas de faire le récit d'une peste survenue à un moment à un endroit donné, mais d'une métaphore, d'une allégorie. L'auteur lui-même a défendu l'idée qu'il s'agit de la seconde guerre mondiale, même si on ne peut résister à l'idée qu'il s'agit du Mal en général, dont les atrocités de la seconde guerre mondiale ne sont qu'un exemple, même si c'est celui que est le plus proche dans le temps de la rédaction du livre de Camus.

Au-delà des événements, ce qui est surtout important, ce sont les réactions des différents personnages, chacun représentant une attitude possible en face de ce qui arrive. Rieux fait son métier de médecin, alors même que ses soins ne paraissent pas changer grand-chose au devenir de ses malades. Un noyau de personnages autour de lui s'engage activement pour aider dans la lutte, qui semble désespérée, voire inutile, en trouvant dans cet engagement une chaleur humaine et une forme de fraternité : Jean Tarrou, Rambert, Grand, le père Paneloux, le juge Othon etc...Chacun vient à son heure et avec ses raisons, par exemple Othon après la mort de son fils.

Une des questions essentielle est celle du sens de la maladie, de la mort, du mal. Camus laisse entendre qu'il n'y en a pas. le mal est insaisissable, il échappe à la maîtrise et compréhension humaine. Paneloux qui essaie de lui donner un sens, de concilier l'idée d'un Dieu bon et juste avec l'existence du mal, finit par mourir, dans une sorte de folie. Car il faudrait admettre que le mal est juste et nécessaire, qu'il répond à une culpabilité présente dans chaque être humain, même dans un enfant innocent. de même les idéologies, l'action politique, censées éradiquer le mal, ses causes, finissent par le produire, c'est la confession de Tarrou. L'homme ne peut que se contenter de gestes simples et fraternels, de bonne volonté, sans prétendre à comprendre ce qui n'a pas de sens, ni espérer pouvoir maîtriser ce qui arrive. le présent est la seule chose qui compte, on ne peut changer le passé, ni adoucir le futur.

Ce qui est frappant, c'est que le mal est ici quelque chose d'extérieur aux hommes, enfin au groupe qui est au centre du roman. Certes ils ont leurs moments de faiblesse, leurs petitesses, leurs défauts, mais ils font au final face, de la meilleure façon qu'ils peuvent. le seul chez qui le mal semble exister à l'intérieur, est Cottard, le seul à se réjouir du malheur collectif, qui lui permet d'échapper pour un temps à la conséquence de ses actes, qui s'épanouit en temps de peste. La fin de celle-ci sera sa fin.

C'est bien évidemment un livre impressionnant, d'une redoutable efficacité, et qui semble ne devoir jamais perdre sa pertinence et son impact sur le lecteur. A lire et à relire, y compris lorsque tout va bien.

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Message par Aeriale Lun 5 Avr - 9:10

Arabella a écrit:C'est bien évidemment un livre impressionnant, d'une redoutable efficacité, et qui semble ne devoir jamais perdre sa pertinence et son impact sur le lecteur. A lire et à relire, y compris lorsque tout va bien.

Bien d'accord! Ses écrits ont toujours été d'actualité, ils ne vieillissent pas, leurs thèmes sont universels et les rendent intemporels.

Je l'ai lu jeune, j'adorais Camus, vu aussi La peste au théâtre, représentation très marquante. Tu donnes envie de le relire, merci Arabella.
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Message par domreader Lun 5 Avr - 9:37

Aeriale a écrit:
Arabella a écrit:C'est bien évidemment un livre impressionnant, d'une redoutable efficacité, et qui semble ne devoir jamais perdre sa pertinence et son impact sur le lecteur. A lire et à relire, y compris lorsque tout va bien.

Bien d'accord! Ses écrits ont toujours été d'actualité, ils ne vieillissent pas, leurs thèmes sont universels et les rendent intemporels.

Je l'ai lu jeune, j'adorais Camus, vu aussi La peste au théâtre, représentation très marquante. Tu donnes envie de le relire, merci Arabella.

Je l'ai lu jeune aussi, mais il ne m'en reste pas grand chose aujourd'hui, une relecture s'impose.

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Message par Arabella Lun 5 Avr - 9:45

C'était une relecture, en lien avec des conférences sur St Augustin. Je pense que que c'est la définition même d'un classique, un livre qu'on peut lire et relire, et y trouver des choses différentes à des moments différents.

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Message par Arabella Mar 7 Mar - 21:05

La chute

Un homme étrange, un certain Jean-Baptiste Clamence fait sa confession à un interlocuteur qui reste dans l'ombre, dans le silence, Clamence est le seul à prendre la parole. le récit débute à Mexico-City, un bar louche d'Amsterdam, entre malfaiteurs, voleurs, prostituées. Clamence, en cinq jours, cinq épisodes pourrait-on dire, tant il entretient le suspens, arrête son récit au moment le plus intéressant, diffère ses révélations, raconte son existence, qui l'a menée d'une belle situation d'avocat à Paris, reconnu voire admiré, à cette position équivoque dans laquelle il alpague un interlocuteur pour lui narrer sa déchéance. Mais son récit suscite d'emblée un questionnement sur ses objectifs, car il revendique presque de suite l'appellation de juge-pénitent. Donc se met en position de non seulement reconnaître ses erreurs mais aussi de traquer celle des autres, dans une sorte de confusion des deux.

Donc avocat, homme admirable, défenseur de la veuve et de l'orphelin, épris de justice, prêt à toutes les bonnes actions, Clamence bascule un jour vers le côté sombre. Au point de raconter sa vie lumineuse comme une tricherie, faire le bien n'étant au final qu'une manifestation d'orgueil, d'amour de soi, de mensonge. Il détaille les deux événements qui ont fait dérailler son existence, avec luxe de détails. Un étrange rire entendu un soir sur le pont des Arts, inexpliqué, presque angoissant, qui aurait semé une inquiétude, un doute, un trouble, qui aurait commencé à faire craquer la belle enveloppe du personnage qu'il jouait pour le monde et pour lui-même. Et puis un événement sur lequel il insiste, qu'il présente comme un point de rupture : ne pas avoir assisté une femme qui s'est jeté d'un pont et vraisemblablement noyée, être resté passif, s'être sauvé. A partir de là, toutes les belles apparences lâchent, n'ont plus de sens, et Clamence met tout en question et prend le contre-pied exact de ses comportements vertueux d'avant. Jusqu'à aboutir dans ce bar mal famé, en conseiller de criminels, en receleur de tableau volé.

Des tas d'analyses de ce livres ont été faites, un nombre inépuisable de références a été trouvé pour mettre en lien ce livre avec d'autres textes importants. Je n'ai donc pas la prétention d'épuiser ses sens ni en donner une explication ultime. Justes quelques idées qui sont peut-êtres les plus significatives pour moi. La forme du monologue est frappante, où l'interlocuteur que nous ne verrons ni n'entendrons jamais, n'a d'existence que par la parole et le regard de Clamence, au point où l'on finit par se demander s'il existe vraiment, où si Clamence (ou Camus) ne parle qu'au lecteur, qu'il prend à témoin, qu'il entraîne, qu'il rend complice. La fin est particulièrement ambiguë, et je pense que Camus prend soin de nous laisser avec cette interrogation.

Puis, il y a aussi cette sensation qui s'insinue qu'au final, malgré cette sincérité apparente, cette impitoyable mise en cause de soi, la présentation des aspects les moins reluisants, les plus honteux, le personnage de Clamence nous ment, nous manipule. L'épisode central, celui qui est le plus mis en lumière, ce suicide qu'il n'a pas empêché par lâcheté, est-il vraiment ce dont il a honte, ce qui le mine, ce qui le condamne à ses propres yeux ? Car, à y regarder de plus près, il y a dans son existence un épisode bien plus atroce, sur lequel il glisse pourtant très rapidement et sur lequel il ne revient pas : dans un camp en Afrique, il a volé l'eau d'un mourant, ou même juste d'un homme affaibli qu'il a condamné à la mort, par un acte volontaire, et non pas par omission. Et cet homme était un ami, quelqu'un qu'il admirait, et non pas une inconnue. La différence de traitement dans les deux épisodes, paraît disproportionnée. Lorsqu'il évoque la possibilité de rédemption, de changer quelque chose dans le passé, ou d'avoir la chance de revivre une situation semblable à une situation déjà vécue dont il pourrait cette fois changer l'issue, c'est du pont parisien qu'il parle, pas du camp africain. Comme si c'est cela qui était impossible à effacer. Comme si c'est cela qu'il fallait dissimuler, cacher dans des discours très bien construits, brillants, semblant une traque sans pitié pour ses faiblesses, les faiblesses humaines.

Camus me semble mettre en cause la possibilité pour un homme de faire une confession authentique, tout au moins en littérature. Il semble indiquer que tous ceux qui l'ont précédé dans cet exercice, à un moment ou un autre, ont forcément menti, travesti, dissimulé. Toute la bonne foi affiché, l'honnêteté, a forcément été à un moment donné ou un autre détourné, le lecteur abusé, manipulé, amené là ou l'auteur a voulu l'amener. Et bien évidemment, le premier en Occident à écrire ses Confessions, Saint-Augustin. La chute regorge d'allusions bibliques : rien que le nom du personnage, Jean-Baptiste Clamence. Clamans signifie parole en latin et Saint-Jean Baptiste est le prophète avec une voix clamant dans le désert (vox clamantis in deserto ). On pourrait donc poser l'hypothèse, que Camus (qui a écrit son mémoire de maîtrise sur Saint-Augustin) met en cause l'idée d'une culpabilité posée sur l'homme, sur tout homme, à cause du péché originel, dont il ne peut se sauver tout seul, mais uniquement par une grâce divine accordée arbitrairement à quelques rares élus. Clamence essaie d'entraîner par ses aveux, auxquels il donne une allure de sincérité absolue, ses interlocuteurs à se sentir coupables. Car ses fautes, ses faiblesses, ses défaillances pourraient être les nôtres. Ce qui paraît une accusation de soi est une tentative d'accuser l'humanité toute entière. le mal qu'un homme traque en lui, il l'attribue au final à toute son espèce, qui doit désormais faire pénitence. Et si Dieu n'existe pas (ou plutôt comme Dieu n'existe pas) cette culpabilité et cette pénitence sont de la pure auto-destruction. Comme ce qui vit le personnage de Clamence à Amsterdam.

Mais il y a d'autres lectures, d'autres références, et je reviendrai à ce livre….

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Message par Aeriale Mer 8 Mar - 8:12

Merci pour cette belle présentation @Arabella. Je n'ai jamais lu Les chutes, j'imagine combien ce livre est riche en références et sens profonds, mais comme tu le dis on peut déjà s'en approcher et y apposer les nôtres. 

J'aimerais tant relire Camus, peut-être celui ci ...
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Message par domreader Mer 8 Mar - 15:10

Aeriale a écrit:Merci pour cette belle présentation @Arabella. Je n'ai jamais lu Les chutes, j'imagine combien ce livre est riche en références et sens profonds, mais comme tu le dis on peut déjà s'en approcher et y apposer les nôtres. 

J'aimerais tant relire Camus, peut-être celui ci ...

Pareil que toi @Aeriale très envie de relire Camus que j'ai lu trop jeune pour en retirer beaucoup. Je pensais commencer par L'étranger. Ce commentaire me rappelle qu'il faudrait que je commence ces relectures et je ne connais pas Les Chutes qui semble bien prometteur.

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Message par Arabella Mer 8 Mar - 19:08

La chute est moins connu, mais pas moins intéressant. Et c'est relativement court.

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Message par Aeriale Jeu 9 Mar - 8:16

Arabella a écrit:La chute est moins connu, mais pas moins intéressant. Et c'est relativement court.

Raison de plus pour me lancer! Je reviendrai sur ce fil, c'est dit  Wink
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