Joyce Carol Oates
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Re: Joyce Carol Oates
ah oui, là, je peux venir en aideCéline a écrit:Comme je me laisserais bien tenter par Reflets en eaux troubles!
pas lu des masses de cette auteure, mais celui-là - magnifique!
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George Gershwin
Re: Joyce Carol Oates
Oui, je l'ai noté !
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“With freedom, books, flowers, and the moon, who could not be happy?” Oscar Wilde
Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
Epi a écrit:We were the Mulvaneys
[...]
J’ai ri un peu mais j’ai surtout pleuré, jusqu’à la fin. Je crois que je n’ai jamais autant pleuré sur un livre avant celui-ci. Un beau livre, émotionnellement très dur, une pure merveille.
Epi a écrit:J'espère qu'il te plaira. Moi, c'est mon préféréLuciole a écrit:Et bien Epi, ton dernier commentaire me donne énormément envie !
Ce sera pour ma liste 2017 !
Tout pareil Epi! @Luciole, il faut que tu essaies...
Je n'avais lu d'elle que Viol, une histoire d'amour (hormis Le triomphe du singe araignée, arrété en cours de route) mais rien à voir en fait avec celui ci, elle m'avait accrochée sans vraiment m' enthousiasmée. J'avais trouvé l'écriture un peu trop froide. J'ai retenté avec Nous étions les Mulvaney's et depuis, je suis scotchée par son talent! Il m'en reste énormément à lire. Et tant mieux ;-)
Aeriale- Messages : 11937
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
-Nous étions les Mulvaney-
Difficile d'exprimer les résonances de ce livre, et pourtant elles sont fortes.Terrible, implacable, ce sont les mots qui me viennent mais au delà ce sont surtout les images d'un délitement, de la fragilité des choses alors que l'on croit tenir le monde dans sa main. Nous étions Les Mulvaney, un titre qui renferme déjà en lui tout cet univers disparu, la désintégration de ce qu'était une famille, rien que par l'emploi de l'imparfait. L'écriture de Joyce Carol Oates est simple, limpide, en suivant les moindres détails de leur parcours, l'auteure nous révèle comment vont réagir ses membres et les retombées psychiques que le drame provoque sur chacun d'eux. Elle prend le temps, revient sur les faits, n'hésite pas à insister sur les détails quotidiens pour mieux nous imprégner de cette force qui autrefois les unissait et va les anéantir avec la même intensité. L'hypocrisie, la bassesse humaine, l'injustice d'un monde où la bien-séance prévaut sur l'humain, sont ainsi pointés du doigt (Jamais le mot viol est prononcé!) et les victimes érigées en coupables.
J'ai été embarquée dès les premières lignes, et bien que certaines anecdotes m'aient paru longuettes parfois (la vie des animaux au sein de la ferme chez le vétérinaire, dans la dernière partie) et d'autres détails inutiles (sur les études de Patrick par exemple) j'ai lu ce roman avec une extrême voracité, bluffée par la justesse avec laquelle JCO analyse la complexité de ces sentiments familiaux, faits d'amour de violence ou de haine. J'avais hâte d'arriver à la chute, je m'attendais à bien pire, j'en ai été à la fois soulagée et bizarrement un chouïa déçue peut-être, mais cela n'entache en rien la sensation très profonde d'appartenance, de cette nostalgie si troublante, et la totale empathie qui s'en dégage. Il y a dans ce roman une force de narration incroyable, viscérale même. Ils nous pénètrent de leur désarroi à tel point qu'on n'ose plus les lâcher, comme si on souffrait avec eux. Et pourtant rien n'est appuyé, JCO nous donne juste les clés, à nous d'en ressentir les effets. Magistral!
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Difficile d'exprimer les résonances de ce livre, et pourtant elles sont fortes.Terrible, implacable, ce sont les mots qui me viennent mais au delà ce sont surtout les images d'un délitement, de la fragilité des choses alors que l'on croit tenir le monde dans sa main. Nous étions Les Mulvaney, un titre qui renferme déjà en lui tout cet univers disparu, la désintégration de ce qu'était une famille, rien que par l'emploi de l'imparfait. L'écriture de Joyce Carol Oates est simple, limpide, en suivant les moindres détails de leur parcours, l'auteure nous révèle comment vont réagir ses membres et les retombées psychiques que le drame provoque sur chacun d'eux. Elle prend le temps, revient sur les faits, n'hésite pas à insister sur les détails quotidiens pour mieux nous imprégner de cette force qui autrefois les unissait et va les anéantir avec la même intensité. L'hypocrisie, la bassesse humaine, l'injustice d'un monde où la bien-séance prévaut sur l'humain, sont ainsi pointés du doigt (Jamais le mot viol est prononcé!) et les victimes érigées en coupables.
J'ai été embarquée dès les premières lignes, et bien que certaines anecdotes m'aient paru longuettes parfois (la vie des animaux au sein de la ferme chez le vétérinaire, dans la dernière partie) et d'autres détails inutiles (sur les études de Patrick par exemple) j'ai lu ce roman avec une extrême voracité, bluffée par la justesse avec laquelle JCO analyse la complexité de ces sentiments familiaux, faits d'amour de violence ou de haine. J'avais hâte d'arriver à la chute, je m'attendais à bien pire, j'en ai été à la fois soulagée et bizarrement un chouïa déçue peut-être, mais cela n'entache en rien la sensation très profonde d'appartenance, de cette nostalgie si troublante, et la totale empathie qui s'en dégage. Il y a dans ce roman une force de narration incroyable, viscérale même. Ils nous pénètrent de leur désarroi à tel point qu'on n'ose plus les lâcher, comme si on souffrait avec eux. Et pourtant rien n'est appuyé, JCO nous donne juste les clés, à nous d'en ressentir les effets. Magistral!
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Aeriale- Messages : 11937
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
-Reflets en eaux troubles-
Quel roman! Terriblement efficace on peut dire. Je l'ai lu quasi en apnée, avec cette bizarre impression de suffocation, les images de Kelly coincée dans l'habitacle et s'enfonçant dans l'eau boueuse, continuellement en tête.
Ici, les faits tirés de la tragédie qui couta la présidence à Ted Kennedy (mais non son emprisonnement: il s'en tira pour deux mois avec sursis) et la vie de cette jeune fille, sont à peine modifiés (Les dates et les noms ne correspondent pas, mais pas les lieux) Ce qui importe pour JCO c'est bien plus de suggérer l'injustice que de dénoncer des faits politiques. Tout au long de ce court texte, on est nous aussi enfermés avec elle, revivant par des instantanés et des pensées souvent répétitives (exactement comme si on y était) l'agonie de Kelly et les dernières images qui l'emportent.
Kelly qui résiste, refuse de croire qu'elle va finir ainsi, prise au piège de l'acier, encerclée de cette eau noirâtre qui s'infiltre peu à peu. Elle tient encore la chaussure du "sénateur" (jamais nommé expressément) qu'elle a tenté de saisir alors qu'il prenait appui sur elle pour s'extirper. Mais elle reste persuadée qu'il va la sauver, d'ailleurs elle entend au loin les secours... Des phrases lancinantes reviennent, "Pas ici, pas maintenant". "Sauvez moi"!
C'est d'une puissance narratrice incroyable, l'auteure est vraiment unique pour s'insinuer dans le psychisme des personnages et nous en révéler les luttes internes. Cette fille qui s'accroche encore mais va mourir, ça pourrait être nous, notre fille ou notre parente. C'est le combat perdu d'avance de l'innocence face à l'indifférence des plus puissants. Et c'est diaboliquement cynique!
(PS: Et ne tenez pas compte du résumé qui ne traduit pas du tout l'esprit du livre)
Quel roman! Terriblement efficace on peut dire. Je l'ai lu quasi en apnée, avec cette bizarre impression de suffocation, les images de Kelly coincée dans l'habitacle et s'enfonçant dans l'eau boueuse, continuellement en tête.
Ici, les faits tirés de la tragédie qui couta la présidence à Ted Kennedy (mais non son emprisonnement: il s'en tira pour deux mois avec sursis) et la vie de cette jeune fille, sont à peine modifiés (Les dates et les noms ne correspondent pas, mais pas les lieux) Ce qui importe pour JCO c'est bien plus de suggérer l'injustice que de dénoncer des faits politiques. Tout au long de ce court texte, on est nous aussi enfermés avec elle, revivant par des instantanés et des pensées souvent répétitives (exactement comme si on y était) l'agonie de Kelly et les dernières images qui l'emportent.
Kelly qui résiste, refuse de croire qu'elle va finir ainsi, prise au piège de l'acier, encerclée de cette eau noirâtre qui s'infiltre peu à peu. Elle tient encore la chaussure du "sénateur" (jamais nommé expressément) qu'elle a tenté de saisir alors qu'il prenait appui sur elle pour s'extirper. Mais elle reste persuadée qu'il va la sauver, d'ailleurs elle entend au loin les secours... Des phrases lancinantes reviennent, "Pas ici, pas maintenant". "Sauvez moi"!
C'est d'une puissance narratrice incroyable, l'auteure est vraiment unique pour s'insinuer dans le psychisme des personnages et nous en révéler les luttes internes. Cette fille qui s'accroche encore mais va mourir, ça pourrait être nous, notre fille ou notre parente. C'est le combat perdu d'avance de l'innocence face à l'indifférence des plus puissants. Et c'est diaboliquement cynique!
(PS: Et ne tenez pas compte du résumé qui ne traduit pas du tout l'esprit du livre)
Aeriale- Messages : 11937
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
-La fille du fossoyeur-
Impressionnant début de roman: on est dans les pas de Rebecca, une jeune fille dont on ne sait rien, elle rentre de l'usine, un inconnu semble la suivre. L'auteure nous plonge dans ses pensées à chaud, et on devient tous cette fille, transis d'angoisse. Qui est ce type et que veut-il? Des bribes de son passé surgissent parfois, nous donnant des indications qui nous éclairent autant qu'elles nous perdent. Des mots reviennent, de violence, de fuite, un drame a eu lieu? Et pourquoi cette peur viscérale du père, des hommes en général. "Méfie toi d'eux " lui disait sa mère. Le lecteur tâtonne, s'interroge. Délicieux voile d'obscurité que l'on sait sous contrôle, puisque Oates est aux manettes.
Rupture de ton, retour au passé et vrai début de l'histoire. Une famille de juifs exilés (on le suppose, mais rien n'est dit avec exactitude) obligée de quitter l'Allemagne nazie et une vie d'intellectuels confortable, pour une sombre routine de fossoyeur dans une ville perdue américaine. Les regards autour sont hostiles, et lorsqu'ils se veulent plus liants, ce sont eux qui les repoussent. La déchéance, les frustrations, ce sentiment de rejet puis de dégoût qui peu à peu ronge le père, le conduisent à se muter en tyran démoniaque et sauvage. Tout est en place pour qu'éclate le drame sordide qui en résulte.
JCO est magistrale dans sa manière de porter à terme le basculement dans la folie, rien n'est laissé au hasard, chaque pensée, chaque comportement est minutieusement dépeint, les rouages complexes du démantèlement de l'équilibre mental, familial, et psychique sont superbement analysés et retranscrits. Je connais peu d'auteurs capables de maintenir cette tension si longtemps, on se retrouve impliqué jusqu'à l'épuisement dans un suspense haletant dont on ressort groggy.
Rebecca, seule rescapée, est obligée de fuir et se reconstruire une première fois, elle retombera dans un schéma de destruction dont elle et son fils seront les victimes avant de s'enfuir à nouveau lors d'une scène terrifiante que l'auteure mène là encore à son extrême limite. Nouveau départ, changement d'identité, volonté de faire table rase, Rebecca/ Hazel doit sacrifier son moi profond pour se donner une seconde chance et protéger Zack. Partie plus apaisée, que j'ai trouvée pour ma part un peu moins prenante (un chouïa longuet?) mais qui amène subtilement la chute: ce besoin de retrouver ses racines dans ces lettres qu' Hazel envoie à sa cousine à la fin de sa vie, sorte de boucle laissant une vague impression de regret.
Encore une fois un grand roman qu' il me sera difficile d'oublier. Des thèmes lourds sont abordés, suggérés parfois, Oates laissant souvent en suspens des phrases jetées au hasard du récit ( par exemple sur les rapports peut-être incestieux avec son frère ainé ) Elle nous laisse libre d'imaginer, de même que cette fin légèrement tronquée (on n'en saura pas plus sur son mari ou son fils) Mais il y a toujours cette nécessité de se battre, ce destin qui s'acharne et la force vitale qui anime ses héroïnes. Diablement marquant!
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Impressionnant début de roman: on est dans les pas de Rebecca, une jeune fille dont on ne sait rien, elle rentre de l'usine, un inconnu semble la suivre. L'auteure nous plonge dans ses pensées à chaud, et on devient tous cette fille, transis d'angoisse. Qui est ce type et que veut-il? Des bribes de son passé surgissent parfois, nous donnant des indications qui nous éclairent autant qu'elles nous perdent. Des mots reviennent, de violence, de fuite, un drame a eu lieu? Et pourquoi cette peur viscérale du père, des hommes en général. "Méfie toi d'eux " lui disait sa mère. Le lecteur tâtonne, s'interroge. Délicieux voile d'obscurité que l'on sait sous contrôle, puisque Oates est aux manettes.
Rupture de ton, retour au passé et vrai début de l'histoire. Une famille de juifs exilés (on le suppose, mais rien n'est dit avec exactitude) obligée de quitter l'Allemagne nazie et une vie d'intellectuels confortable, pour une sombre routine de fossoyeur dans une ville perdue américaine. Les regards autour sont hostiles, et lorsqu'ils se veulent plus liants, ce sont eux qui les repoussent. La déchéance, les frustrations, ce sentiment de rejet puis de dégoût qui peu à peu ronge le père, le conduisent à se muter en tyran démoniaque et sauvage. Tout est en place pour qu'éclate le drame sordide qui en résulte.
JCO est magistrale dans sa manière de porter à terme le basculement dans la folie, rien n'est laissé au hasard, chaque pensée, chaque comportement est minutieusement dépeint, les rouages complexes du démantèlement de l'équilibre mental, familial, et psychique sont superbement analysés et retranscrits. Je connais peu d'auteurs capables de maintenir cette tension si longtemps, on se retrouve impliqué jusqu'à l'épuisement dans un suspense haletant dont on ressort groggy.
Rebecca, seule rescapée, est obligée de fuir et se reconstruire une première fois, elle retombera dans un schéma de destruction dont elle et son fils seront les victimes avant de s'enfuir à nouveau lors d'une scène terrifiante que l'auteure mène là encore à son extrême limite. Nouveau départ, changement d'identité, volonté de faire table rase, Rebecca/ Hazel doit sacrifier son moi profond pour se donner une seconde chance et protéger Zack. Partie plus apaisée, que j'ai trouvée pour ma part un peu moins prenante (un chouïa longuet?) mais qui amène subtilement la chute: ce besoin de retrouver ses racines dans ces lettres qu' Hazel envoie à sa cousine à la fin de sa vie, sorte de boucle laissant une vague impression de regret.
Encore une fois un grand roman qu' il me sera difficile d'oublier. Des thèmes lourds sont abordés, suggérés parfois, Oates laissant souvent en suspens des phrases jetées au hasard du récit ( par exemple sur les rapports peut-être incestieux avec son frère ainé ) Elle nous laisse libre d'imaginer, de même que cette fin légèrement tronquée (on n'en saura pas plus sur son mari ou son fils) Mais il y a toujours cette nécessité de se battre, ce destin qui s'acharne et la force vitale qui anime ses héroïnes. Diablement marquant!
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Aeriale- Messages : 11937
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
Carthage
J'en suis à la moitié.
Il est superbe.
_________________
Misunderstood, yeah She's good I can tell
Though everyone tells me I'm under her spell
But I'll never leave her they don't know our deal
Mordicus- Messages : 403
Date d'inscription : 03/12/2016
Re: Joyce Carol Oates
J'ai fini Carthage.
Et c'était épousse. Toufflant.
A suivre une famille américaine (up middle class) dans un drame affreux qui va bousiller tout le monde. Du père petit politicien au gendre quaterback. De la gentille desperate housewife à la mignonne Juliet.
En passant par cette verrue de Cressida (la fille du couple, une affreuse gamine qui mériterait bien quelques claques).
L'écriture est géniale. Les tournure de phrases sonnent impeccablement.
J'ai essayé 3 Oates avant celui-là et tous me sont tombés des mains.
Mais là.
Chapeau bas.
Et on déteste Cressida !
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Mordicus- Messages : 403
Date d'inscription : 03/12/2016
Re: Joyce Carol Oates
Ah tiens...Si tu en as essayé trois avant de conclure, c'est qu'il doit être pas mal!
Inconnu au bataillon celui- ci, mais c'est noté, merci Mordicus :-)
Inconnu au bataillon celui- ci, mais c'est noté, merci Mordicus :-)
Aeriale- Messages : 11937
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
Tout à fait d'accord avec le commentaire d'Epi sur Nous étions les Mulvaneys, un livre magnifique à déguster effectivement par petites touches...Par contre je serai moi aussi obligée d'attendre la traduction pour lire Jack of Spades
Mais je vois qu'avec vous tous, ce ne sont pas les suggestions de lectures qui vont me manquer !
Mais je vois qu'avec vous tous, ce ne sont pas les suggestions de lectures qui vont me manquer !
Liseron- Messages : 4307
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: Joyce Carol Oates
liseron a écrit:Tout à fait d'accord avec le commentaire d'Epi sur Nous étions les Mulvaneys, un livre magnifique à déguster effectivement par petites touches...Par contre je serai moi aussi obligée d'attendre la traduction pour lire Jack of Spades
Mais je vois qu'avec vous tous, ce ne sont pas les suggestions de lectures qui vont me manquer !
Et avec toi @Liseron arrivent de nouvelles suggestions!
(Pfff ça m'agace pour Jack of Spades, un roman si court ils pourraient le faire traduire! En espérant que ce sera bientôt...)
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“With freedom, books, flowers, and the moon, who could not be happy?” Oscar Wilde
Merlette- Messages : 2334
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
Et voilà.
Encore une fois, je serais tenter de ré-essayer Oates.
J'en ai lu 3. Peut-être 4.
gang de filles et mulvaney, en tête de souvenirs.
Je n'y arrivais pas, à accrocher. Un truc me ... "chiffonnait".
J'avais décidé de cesser d'insister.
Et voilà ce Carthage.
Je ne sais pas.
Mais, déjà, je suis contente de voir que je ne suis pas la seule qui l'a tentée plusieurs fois, et qui n'a pas accrochée (jusque là).
Ils en traduisent déjà pas mal hein. Y'en a au moins deux par an. Elle a qu'à écrire moins vite !
Encore une fois, je serais tenter de ré-essayer Oates.
J'en ai lu 3. Peut-être 4.
gang de filles et mulvaney, en tête de souvenirs.
Je n'y arrivais pas, à accrocher. Un truc me ... "chiffonnait".
J'avais décidé de cesser d'insister.
Et voilà ce Carthage.
Je ne sais pas.
Mais, déjà, je suis contente de voir que je ne suis pas la seule qui l'a tentée plusieurs fois, et qui n'a pas accrochée (jusque là).
Ils en traduisent déjà pas mal hein. Y'en a au moins deux par an. Elle a qu'à écrire moins vite !
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7153
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : Stable.
Re: Joyce Carol Oates
j'ai tenté au moins quatre fois, et plouf.....
Donc ce Carthage m'intrigue aussi
On verra bien, elle est tellement prolifique que sur le nombre, il doit bien y en avoir un qui va me plaire.
Donc ce Carthage m'intrigue aussi
On verra bien, elle est tellement prolifique que sur le nombre, il doit bien y en avoir un qui va me plaire.
darkanny- Messages : 826
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: Joyce Carol Oates
Le commentaire de Mordicus me donne également envie de lire Carthage ! merci
Mais, chaque chose en son temps, je suis déjà "sur" Délicieuses pourritures de JCO (j'accroche bien mais pour l'instant j'ai toujours aimé ses livres).
Mais, chaque chose en son temps, je suis déjà "sur" Délicieuses pourritures de JCO (j'accroche bien mais pour l'instant j'ai toujours aimé ses livres).
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“Il n’y a point de génie sans un grain de folie.” Aristote
Luciole- Messages : 1047
Date d'inscription : 04/12/2016
Age : 49
Localisation : France - Pays de la Loire
Re: Joyce Carol Oates
(l'histoire des profs qui ont des rapports malsains avec leurs élèves ?)
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J'en chiais sang et eau, parce que lire, bordel, ça fait mal aux yeux au début, mais petit à petit l'âme se fait contaminer.
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