Louise Erdrich
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Re: Louise Erdrich
tout comme Ann Patchett, Louise Erdrich est aussi propiétaire d'une librairie: Birchbark Books & Native Arts






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George Gershwin
Re: Louise Erdrich
La malédiction des colombes

Et voilà ma troisième expérience avec Louise Erdrich.
J'en ressort encore une fois avec un très positif ressenti.
C'est un roman polyphonique, assez dense.
La narration se fait par plusieurs personnages, et balaye plusieurs périodes. On remonte aux évènements du début du siècle, et même à un certain moment encore plus loin.
Il faut suivre, car il y a une multitude de personnages. Et si on craint à certains moments de perdre le fil, ne pas hésiter à se référer de temps en temps à la généalogie des personnages, en fin d'ouvrage.
Mais ça fonctionne très bien, même s'il y a forcément quelques passages à vide, assez courants dans ce genre littéraire, les choses se recoupent ensuite.
Au fil des chapitres, en mêlant les faits relatés par les différents personnages, le récit prend forme, les relations entre les personnages et les familles s'éclaircissent. C'est ainsi une sorte de puzzle qu'on reconstitue petit à petit, ce qui rend l'histoire passionnante.
Et j'ajouterai qu'on trouve une bonnee dose d'humour dans pas mal de passages, ce que je n'avais pas trouvé dans mes autres lectures de Louise Erdrich.
J'ai encore une fois, beaucoup aimé. Je ne l'ai pas lâché et j'ai dévoré les presque 480 pages assez vite.

Depuis toujours, la petite ville de Pluto, Dakota du Nord, vit sous «la malédiction des colombes» : les oiseaux dévorent ses maigres récoltes comme le passé dévore le présent. Nous sommes en 1966 et le souvenir de quatre innocents lynchés cinquante ans auparavant hante toujours les esprits.
En écoutant les récits de son grand-père indien qui fut témoin du drame, Evelina, une adolescente pleine d'insouciance, prend soudainement conscience de la réalité et de l'injustice...
Et voilà ma troisième expérience avec Louise Erdrich.
J'en ressort encore une fois avec un très positif ressenti.
C'est un roman polyphonique, assez dense.
La narration se fait par plusieurs personnages, et balaye plusieurs périodes. On remonte aux évènements du début du siècle, et même à un certain moment encore plus loin.
Il faut suivre, car il y a une multitude de personnages. Et si on craint à certains moments de perdre le fil, ne pas hésiter à se référer de temps en temps à la généalogie des personnages, en fin d'ouvrage.
Mais ça fonctionne très bien, même s'il y a forcément quelques passages à vide, assez courants dans ce genre littéraire, les choses se recoupent ensuite.
Au fil des chapitres, en mêlant les faits relatés par les différents personnages, le récit prend forme, les relations entre les personnages et les familles s'éclaircissent. C'est ainsi une sorte de puzzle qu'on reconstitue petit à petit, ce qui rend l'histoire passionnante.
Et j'ajouterai qu'on trouve une bonnee dose d'humour dans pas mal de passages, ce que je n'avais pas trouvé dans mes autres lectures de Louise Erdrich.
J'ai encore une fois, beaucoup aimé. Je ne l'ai pas lâché et j'ai dévoré les presque 480 pages assez vite.

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Nightingale- Messages : 2337
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