Marie Colot
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Marie Colot
Marie Colot est née en Belgique en 1981.
Enseignante de formation, elle a publié son premier roman en 2012. Depuis, elle écrit des romans pour adolescents, en solo ou en duo, et pour les plus jeunes (Des mots en fleurs, Cot Cot Cot ; Sa maison en carton, Alice Jeunesse).
Elle se consacre également à l’écriture d'albums pour différents éditeurs.
Source : Editeur
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustrations : Sébastien Mourrain
Les pêcheurs d'éternité
Naturellement il y a un élément triste. L’attaque du grand-père de la jeune fille ne peut pas laisser de glace. Mais Flore est pleine de ressources et va trouver un moyen de créer ce fameux souvenir avec son Papou.
Extra.
Les pêcheurs d'éternité
Première rencontre avec la plume de Marie Colot et après cette histoire de pêche, je suis partante pour d’autres aventures à ses côtés.Présentation de l’éditeur
Flore et son Papou aiment pêcher ensemble. Pour ses huit ans, il lui a réservé le plus beau des cadeaux : un souvenir ! Une partie de pêche de nuit. Peut-être auront-ils la chance de voir des méduses immortelles ?! Mais l’expédition s’interrompt brutalement quand Papou se fige, victime d’une attaque. Transporté à l’hôpital, il en sortira lourdement handicapé. Flore est inconsolable. Pourtant, elle est bien décidée de permettre à son grand-père de repêcher un jour. Pour cela, elle échafaude avec ses grandes sœurs un plan aussi farfelu que poétique.
Naturellement il y a un élément triste. L’attaque du grand-père de la jeune fille ne peut pas laisser de glace. Mais Flore est pleine de ressources et va trouver un moyen de créer ce fameux souvenir avec son Papou.
Extra.
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustrations : Florence Weiser
Notre première journée à la mer
tout au long de l’histoire, il y a des petites images comme celle-ci, à part une ou deux plus grandes.
Le livre est centré sur le texte.
E-x-t-r-a ! Marie Colot sait vraiment raconter des histoires qui font du bien.
On y retrouve une maîtresse engagée, des enfants bien différents l’un de l’autre mais qui forment une bonne équipe et puis un chauffeur et une mère qui voient tout d’un côté positif – ce qui n’est pas mal lors d’une journée qui tourne au désastre.
Jamais une virée vers la mer ne m’a fait autant plaisir. C’est joyeux, extra et même avec la pluie on se régale.
Il y a toute une série de cette belle collaboration entre Marie Colot et Florence Weiser. J’y vais tenter d’autres…
Notre première journée à la mer
Présentation de l’éditeur
Des élèves qui n'ont jamais vu la mer, une institutrice pleine d'espoir, une météo désastreuse, ça donne... une sortie scolaire drôle et inattendue !
Quand elle découvre que ses élèves n'ont jamais vu la mer, mademoiselle Coline est sous le choc. Elle décide d'organiser une journée d'excursion. Les élèves trépignent d'impatience. Mais, finalement, rien ne se passe comme prévu. Surtout pour Elvis. Sa maman lui avait déjà martelé que la mer, ça n'avait rien d'exceptionnel. En plus, le jour du départ, elle lui fait une scène dans le car, tant et si bien que celui-ci démarre avec elle à son bord, et Tutur le chauffeur têtu et de mauvaise humeur refuse de la laisser descendre.
Pour tout arranger, sur place, il pleut et les enfants trouvent tout moche. La journée a tout l'air de tourner au désastre, mais les situations cocasses la rendent tout de même bien amusante, au moins pour le lecteur. Et les élèves de mademoiselle Coline ont un grand cœur : ils décident de lui préparer une surprise pour la consoler...
tout au long de l’histoire, il y a des petites images comme celle-ci, à part une ou deux plus grandes.
Le livre est centré sur le texte.
E-x-t-r-a ! Marie Colot sait vraiment raconter des histoires qui font du bien.
On y retrouve une maîtresse engagée, des enfants bien différents l’un de l’autre mais qui forment une bonne équipe et puis un chauffeur et une mère qui voient tout d’un côté positif – ce qui n’est pas mal lors d’une journée qui tourne au désastre.
Jamais une virée vers la mer ne m’a fait autant plaisir. C’est joyeux, extra et même avec la pluie on se régale.
Il y a toute une série de cette belle collaboration entre Marie Colot et Florence Weiser. J’y vais tenter d’autres…
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustration : Florence Weiser
Notre premier potager à l’école
Après la journée passée près de la mer, nous revoilà avec les élèves de Mademoiselle Coline et on va cette fois-ci passer au jardinage.
C’est tellement marrant et engageant, je pari que les jeunes vont adorer l’histoire et peut-être aussi avoir une envie de commencer leur propre potager.
J’ai en tout cas beaucoup aimé et je veux bien continuer, il y en a d’autres albums de Marie Colot en collaboration avec Florence Weiser.
Notre premier potager à l’école
Présentation de l’éditeur
À quoi ça sert de faire pousser des légumes puisque la soupe se trouve en boîte ?
Cette question posée en toute innocence au sein de sa classe laisse entendre à Madame Coline qu'elle va devoir cette fois encore trouver une idée géniale !
Quand l'institutrice, Mademoiselle Coline, découvre que ses élèves ignorent que les frites proviennent des pommes de terre et que ces tubercules ne poussent pas sur un arbre, elle passe à l'attaque ! Quelques bouteilles en plastique, un ou deux sacs de terreau, et c'est parti pour les semis ! Les élèves sont ravis. Ils s'interrogent cependant : à quoi ça sert de planter des légumes puisque la soupe se trouve en boîte ? Madame Coline se rend bien compte qu'elle a du pain sur la planche pour changer les habitudes de ses petits élèves, mais aussi de leurs parents. Et pour ça, elle va avoir une idée géniale.
Après la journée passée près de la mer, nous revoilà avec les élèves de Mademoiselle Coline et on va cette fois-ci passer au jardinage.
C’est tellement marrant et engageant, je pari que les jeunes vont adorer l’histoire et peut-être aussi avoir une envie de commencer leur propre potager.
J’ai en tout cas beaucoup aimé et je veux bien continuer, il y en a d’autres albums de Marie Colot en collaboration avec Florence Weiser.
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustrations : Florence Weiser
Croquettes & Cie
Le sujet est traité avec beaucoup de pudeur et ainsi les jeunes lecteurs devraient apprécier.
Il y a surtout une atmosphère plus positive que triste, ces loupiots sont prêts de faire face à plus d’un chagrin.
Croquettes & Cie
En effet, cette fois-ci le ton est plus grave, les enfants vont devoir dire au revoir au chien de l’un de leur camarade.Présentation de l’éditeur
Les élèves de la classe de mademoiselle Coline sont bien décidés à vivre avec le chien Bestiole les plus beaux derniers jours de sa vie, dans les rires plutôt que les larmes.
Les mêmes illustrations super sympa que les deux premiers épisodes, les mêmes situations banales mais hors du commun à la fois, le même humour qui fait passer les thèmes les plus graves et les situations les plus tristes.
Marie et Florence forment décidément un tandem plein de talent !!
Le sujet est traité avec beaucoup de pudeur et ainsi les jeunes lecteurs devraient apprécier.
Il y a surtout une atmosphère plus positive que triste, ces loupiots sont prêts de faire face à plus d’un chagrin.
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustrations : Florence Weiser
Flocons & Cie
J’adore en tout cas cette série et ainsi j’ai embarqué pour partir en classe de neige avec Elvis et ses copains.
Et tout comme le dit la présentation de l’éditeur – rien ne va se passer comme Mademoiselle Coline s’était imaginée cette sortie.
Mais heureusement les jeunes sont pleins de ressources.
Tout comme leur séjour près de la mer qui était un petit désastre, ces vacances vont avoir une bonne fin.
Vive la prochaine sortie !
Flocons & Cie
Les aventures de cette classe sont vraiment trop marrantes.Présentation de l’éditeur
Retrouvez Elvis, ses copains de classe super chouette et son institutrice, mademoiselle Coline, qui n'est jamais prise au dépourvu.
Mademoiselle Coline décide d'emmener ses élèves en classe de neige au Signal de Botrange, le point le plus élevé de la Belgique. Les enfants sont surexcités : à eux la neige fraîche, le ski, les bonhommes de neige et les feux de cheminées.
Mais, encore une fois, rien ne va se passer comme prévu.
J’adore en tout cas cette série et ainsi j’ai embarqué pour partir en classe de neige avec Elvis et ses copains.
Et tout comme le dit la présentation de l’éditeur – rien ne va se passer comme Mademoiselle Coline s’était imaginée cette sortie.
Mais heureusement les jeunes sont pleins de ressources.
Tout comme leur séjour près de la mer qui était un petit désastre, ces vacances vont avoir une bonne fin.
Vive la prochaine sortie !
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustrations : Florence Weiser
Nos premières élections en classe
Cette fois-ci cela va chauffer. Pas étonnant, on connaît l’atmosphère autour des élections des adultes. Cela ne se présente pas autrement chez les jeunes.
Dommage.
Mais heureusement il y a Elvis qui a toujours de bonnes idées. Une fois de plus il arrive à arranger l’affaire.
J’ai adoré autant que mes premières rencontres avec ces jeunes pleins de ressources.
En avant vers d’autres aventures…
Nos premières élections en classe
Les revoilà. Mademoiselle Coline et sa bande d’élèves.Présentation de l’éditeur
Dans la classe de mademoiselle Coline, on se prépare à élire un ou une déléguée. Affiches électorales, tracts, campagne, tout est là pour faire de belles élections. Mais dès les premiers débats, les choses s'enveniment...
Tout est parti d'une remarque malheureuse de Jorge qui a prétendu que les filles ne pouvaient pas être présidentes. Madame Coline a trouvé l'occasion idéale pour rappeler ce qu'est un stéréotype et en a profité pour organiser des élections dans sa classe. Ce qui partait d'une bonne intention va très vite tourner au désastre : les tensions entre les filles et les garçons vont se généraliser au point que les débats organisés relèveront plus de la mesquinerie que de l'échange d'idée. Madame Coline est déçue... Elvis aussi. Il préférait sa classe quand les élèves s'entendaient tous bien et ne voulaient pas tous être au pouvoir. Mais il a peut-être une super idée pour tout arranger.
Cette fois-ci cela va chauffer. Pas étonnant, on connaît l’atmosphère autour des élections des adultes. Cela ne se présente pas autrement chez les jeunes.
Dommage.
Mais heureusement il y a Elvis qui a toujours de bonnes idées. Une fois de plus il arrive à arranger l’affaire.
J’ai adoré autant que mes premières rencontres avec ces jeunes pleins de ressources.
En avant vers d’autres aventures…
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustrations : Ian De Haes
Et si ça existait ?
On ne peut que tomber amoureux du petit Achille dont l’imagination déborde pour inventer des métiers extraordinaires.
Guérisseur de peines, partageur de soucis, embellisseur d’extérieur… et il va y avoir tout plein d’autres… on est certain de trouver son métier de rêve.
Jouissif, extra… Marie Colot at her best !
Et les illustrations de Ian de Haes s’associent parfaitement avec cette belle fantaisie
Et si ça existait ?
Une histoire qui enchante ! Délicieuse.Présentation de l’éditeur
Un album pour inviter l'enfant à imaginer le métier qui lui ressemble vraiment !
Achille et Salomé, se baladent en rêvassant au métier qu'ils feront plus tard. Salomé d'abord très cadrante avec son frère finit par se laisser aller au jeu de l'imagination. Ensemble, ils explorent le champs des possibles, laissent libre cours à leurs envies, inventent des métiers encore inconnus mais plus séduisants les uns que les autres.
Au travers des questionnements d'Achille et de sa sœur sur ce qu'ils aimeraient faire plus tard, on aborde la question de la recherche de soi, de la motivation et des barrières auxquelles un enfant peut faire face lorsqu'il laisse ses désirs et son imaginaire s'exprimer. Pour pouvoir s'écouter et trouver ce que l'on aime, il faut parfois faire fi des avis qui nous poussent à rentrer dans le moule. Achille et sa sœur au fur et à mesure de leur discussion font place à leur rêverie et leur imaginaire.
On ne peut que tomber amoureux du petit Achille dont l’imagination déborde pour inventer des métiers extraordinaires.
Guérisseur de peines, partageur de soucis, embellisseur d’extérieur… et il va y avoir tout plein d’autres… on est certain de trouver son métier de rêve.
Jouissif, extra… Marie Colot at her best !
Et les illustrations de Ian de Haes s’associent parfaitement avec cette belle fantaisie
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Re: Marie Colot
Illustrations : Manuela Ferry
Petite Mer
Je viens de découvrir les illustrations de Manuela Ferry et je suis enthousiaste.
Pour l’instant pas d’autres livres d’elle disponible mais je vais retenir son nom.
Le sujet des baleines me réussit très bien, en voici un autre moment magique passé en leur compagnie.
Petite Mer
Une belle histoire comme seulement Marie Colot les sait raconter.Présentation de l’éditeur
« Quand j’avais ton âge, j’ai rencontré une baleine. Pas n’importe laquelle ! La baleine la plus triste du monde. Dans le minuscule bassin qui lui servait de maison, elle pleurait. Je le sais. Pour la consoler, j’ai posé la main sur la vitre qui nous séparait. Et elle s’est approchée. Tout près... »
La rencontre, dans un parc d’attraction, entre une petite fille et une baleine, rencontre qui déclenche une action engagée pour la Liberté.
Je viens de découvrir les illustrations de Manuela Ferry et je suis enthousiaste.
Pour l’instant pas d’autres livres d’elle disponible mais je vais retenir son nom.
Le sujet des baleines me réussit très bien, en voici un autre moment magique passé en leur compagnie.
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George Gershwin
Re: Marie Colot
Illustrations : Rascal
Les baleines préfèrent le chocolat
Je dois avouer que je ne m’attendais en effet pas de trouver une histoire qui allait s’accorder à mes lectures autour des baleines… mais j’aime beaucoup Marie Colot et en voyant ce livre parmi ceux de mes recherches avec le mot magique du moment, je voulais quand même franchir le pas.
Et cela fût un très bon choix.
Burger (et oui, on ne retient même pas son vrai nom) est un rayon de soleil. Elle va montrer à toute cette bande de méchants ce qu’elle est capable de faire.
Je plussoie à 100 % à l’avis de la maison d’édition – une sacrée leçon d’optimisme
Les baleines préfèrent le chocolat
Présentation de l’éditeur
Péripéties, humours et émotions
Burger, c’est la nouvelle de la classe et elle porte ce surnom à cause de ses kilos en trop. À coups de bonbons et de bonne humeur, elle se fait pourtant une chouette bande de copains. Ils partagent son goût débordant de la vie et se mobilisent sans hésiter, et avec une bonne dose d’inventivité, lorsque sa vie est en danger.
Une histoire touchante et haute en couleurs qui célèbre le pouvoir de l’amitié, au-delà des apparences, et qui nous révèle que, tant qu’il y a de la vie, il y a peut-être de l’espoir.
Une leçon d’optimisme !
Je dois avouer que je ne m’attendais en effet pas de trouver une histoire qui allait s’accorder à mes lectures autour des baleines… mais j’aime beaucoup Marie Colot et en voyant ce livre parmi ceux de mes recherches avec le mot magique du moment, je voulais quand même franchir le pas.
Et cela fût un très bon choix.
Burger (et oui, on ne retient même pas son vrai nom) est un rayon de soleil. Elle va montrer à toute cette bande de méchants ce qu’elle est capable de faire.
Je plussoie à 100 % à l’avis de la maison d’édition – une sacrée leçon d’optimisme
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