Jennifer Lesieur
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Re: Jennifer Lesieur
Amelia Earhart
Là où Jane Mendelsohn a frôlé plutôt l’imaginaire pour donner vie à son personnage, Jennifer Lesieur a choisit d’écrire une biographie.Présentation de l’éditeur
En 1927, Charles Lindbergh effectue la première traversée de l’Atlantique en solitaire. L’exploit n’est pas réédité jusqu’en 1932, où c’est une aviatrice, l’Américaine Amelia Earhart, qui franchit l’océan à son tour. Elle devient une star internationale. Frondeuse, élégante et décontractée, Amelia ne cessera d’aligner les records, malgré certaines carences techniques. Sa soir de liberté et sa détermination emportent tout – il en faut pour voler à bord des fragiles carlingues à ciel ouvert de l’époque. Quand un journaliste l’interroge : « Pourquoi volez-vous ? », elle répond, invariablement : « For the fun of it. » Pour le plaisir, pour l’amusement. Trois ans après l’Atlantique, elle traverse le Pacifique. Entre temps elle aura épousé l’éditeur George Putnam, son manager et agent, volontiers manipulateur mais à qui elle imposera un contrat de mariage lui garantissant une totale indépendance. Promoteur audacieux, il fera d’elle une icône de la femme moderne dans l’Amérique de Roosevelt. En 1937, à court de nouveaux exploits, celle qu’on surnomme « Lady Lindy » – en raison de son étrange ressemblance physique avec Lindbergh – entreprend un tour du monde. Elle a quarante ans. Ce sera son dernier vol : elle disparaît en mer alors qu’elle est sur le point de le boucler. Les moyens engagés par Roosevelt pour sauver l’aviatrice sont exceptionnels : 3000 hommes, 66 avions, 9 navires et 4 millions de dollars. On ne retrouvera pas trace de l’appareil. Aujourd’hui, le mystère reste entier, les hypothèses abondent qui continuent d’alimenter la légende : on l’a vue espionne, abattue en vol ou capturée par les Japonais, mais aussi robinsonne sur un îlot du Pacifique… Et quand Apple lance sa campagne « Think different », elle figure aux côtés de Gandhi, d’Einstein, ou de Miles Davis. Le portrait vif et tendre d’une héroïne comme on n’en fait plus.
Peut-être il y ait des réticences pour ce genre.
Il ne faut pas craindre avec ce livre. L’auteur sait emporter son lecteur.
On est tout proche de Amelia Earhart et la fascination qu’elle a suscité lors de son vivant ne s’est pas rapetissée.
Elle reste toujours un modèle hors norme et une héroïne extraordinaire.
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George Gershwin
Re: Jennifer Lesieur
Incroyable la détermination de cette femme!
Je n'en avais jamais entendu parler avant...
Et elle était très belle!
Je n'en avais jamais entendu parler avant...
Et elle était très belle!
Aeriale- Messages : 11745
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Jennifer Lesieur
oui, elle était quelqu'un d'extraordinaire...
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Re: Jennifer Lesieur
Rose Valland
l'espionne à l’œuvre
Je plussoie à 100 % à ce que Jérôme Garcin dit, un vrai roman d’aventures… et bien plus.Présentation de l’éditeur
Le récit inédit de la femme qui sauva soixante mille œuvres d'art pillées par les nazis.
Cette femme a sauvé plus de soixante mille œuvres au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Mais personne ne connaît son nom : Rose Valland.
Lorsque Goering débarque à Paris pour se servir parmi les collections spoliées aux Juifs, elle est là, qui espionne, fondue dans le décor, insoupçonnable. Elle voit et note tout. Les titres, les artistes, les propriétaires, les origines et les destinations. Au risque d'être fusillée ou déportée.
Elle poursuit sa mission de justice jusqu'à sa mort, mais son obsession du secret touche jusqu'à sa vie privée, jugée inavouable.
Pour résister, il faut savoir disparaître.
Le roman de sa vie lui redonne sa place dans l'Histoire.
" Une biographie ardente, qui a l'allure d'un roman d'aventures "
Jérôme Garcin, L'Obs
J’avais déjà « rencontré » Rose Valland lors de deux autres occasion. Mais celles-là étaient du côté BD.
J’étais toute contente de voir le nom de Jennifer Lesieur dont je garde de si bons souvenirs de ma lecture de son livre pour Amelia Earhart.
Quel bel hommage elle a rendu maintenant à cette résistante, souvent injustement oubliée.
Une vraie héroïne, mais lors de ces années, les personnes qui sortaient du lot n’étaient le plus souvent pas de sexe féminin.
Quel courage, quelle audace, extraordinaire !
J’espère qu’on va remarquer le livre de Jennifer Lesieur et donner à Rose Valland enfin son importance qu’elle mérite.
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