Robert McCloskey
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Re: Robert McCloskey
Un si bel été
et ben, en voici mon plus grand coup de cœur pour un livre d’été.Présentation de l’éditeur
Nord-Est des États-Unis. Une île du Maine. Un été des années cinquante : deux fillettes nous font découvrir le charme de cette côté baignée par l'Atlantique et partager leurs moments de jeux, d'insouciance, mais aussi d'inquiétude à l'annonce de l'arrivée d'un ouragan.
Une évocation nostalgique de vacances familiales, servie par la poésie du texte et la force suggestive des illustrations.
Tout comme le dit la présentation de l’éditeur – la poésie du texte est extra (j’ai la version anglaise, sinon j’aurais posté des extraits).
C’est quand même pas habituel de rencontrer une telle qualité côté texte dans le domaine de la jeunesse. Je suis vraiment enthousiaste.
Je suis déjà certaine de refaire une lecture de ce beau livre… un tel moment de bonheur (même la frayeur de l’ouragan n’est pas si flippant) ne se refuse pas.
Mon été (qui n’a même pas encore commencé !!) s’annonce très bien.
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George Gershwin
Re: Robert McCloskey
Les illustrations de paysages sont magnifiques et en effet le petit bout de texte que j'ai pu lire sur la dernière est vraiment bien écrit.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3619
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: Robert McCloskey
Délicieux ! Merci.
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'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3619
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Re: Robert McCloskey
Laissez passer les canards
Présentation de l’éditeur
Aidés par un policier irlandais, Monsieur et Madame Malard et leurs huit canetons déambulent calmement à travers les rues encombrées de Boston, bravant mille dangers pour atteindre le jardin public de la ville où abondent les cacahuètes.
Sans cesse réédité depuis sa première parution, « Make Way For Ducklings » est devenu l'un des plus grands classiques de la littérature enfantine des États-Unis.
Le graphisme est fort, le trait précis, réaliste et humoristique. Le grand format et le ton sépia des illustrations pleine page ajoutent encore au pouvoir narratif de l'histoire simple, amusante et réconfortante de cette famille de canards qui a ravi des générations d'enfants dans le monde entier.
À cause de l’album de Becca Stadtlander, je voulais découvrir d’abord moi-même ce fameux livre de Robert McCloskey.
Publié en 1941, les canards n’ont pas arrêté de faire la une. Et je peux le comprendre à 100 %.
Il s’agit d’une histoire tellement charmante aux illustrations exquises… on ne peut que tomber sous le charme.
Quel beau moment de lecture
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George Gershwin
Re: Robert McCloskey
Des myrtilles pour Lily
Présentation de l’éditeur
Cling ! clang ! clung ! Lily et sa maman s'en vont cueillir des myrtilles pour en faire de bonnes confitures. Mais quand Lily s'aventure sur l'autre versant de la colline, elle y découvre une maman ourse qui se prépare à résister au froid des longs hivers. Dans le même temps, la maman de Lily est suivie par un petit ours qui lui aussi s'intéresse beaucoup aux myrtilles.
Avec quel enfant chacune des mères regagnera-t-elle son logis ?
découvert cet album après que Grace Lin a parlé sur sa page FB de sa cueillette de myrtilles
et de l’hommage qu’elle a fait pour une planche de cet album dans son livre Gâteau de la lune
Et en plus, cet album fête cette année ses 75 ans… wow, un vrai classique !
Aaah, les albums de Robert McCloskey et leur petit air de vintage.
C’est magnifique et exquis.
J’adore !
Et même si je ne suis pas la plus grande fan de myrtilles, cette histoire est un délice.
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George Gershwin
Re: Robert McCloskey
lors de ma lecture de Country Place et les descriptions du hurricane, j'ai dû penser à l'album Un si bel été et j'ai eu envie de relire cette histoire
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