A l'affiche
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Re: A l'affiche
Tant mieux! Depuis la fin des vacances et des incontournables grosses productions destinées aux teenagers beaucoup me tententQueenie a écrit:Et c'est cool pour ça que tu parles des films, ça me donne de bonnes pistes !
En dernier celui ci, coup de coeur
Petite chronique d'une famille débarquée à Paris à l'ère Mitterand dont la mère se voit trois ans plus tard quittée par son mari. Complètement déstabilisée alors que ses ados eux s'émancipent à leur tour, elle trouve un emploi dans une radio de nuit. Elle y rencontre une jeune SDF qu'elle va abriter sous son toit.
Un bien joli récit, sensible et lumineux, qui nous fait partager les petits malheurs et bonheurs de cette famille à la recherche d'un nouvel équilibre qu'elle trouve dans l'écoute aux autres, la générosité et le don de soi. La caméra semble les filmer à leur insu, entre leurs allées venues dans un Paris souvent de nuit et cette atmosphère bienveillante des eigties où la pop s'i nfiltrait partout.
C'est le deuxième film que je vois de ce cinéaste et à chaque fois j'y redécouvre la même fraicheur, la même finesse, la tendresse déjà si troublante que j'avais ressentie dans "Amanda". Un moment de pur plaisir où nostalgie et appétit de vivre se conjuguent pour mieux nous cueillir. Je suis encore sortie sous le charme, les interprètes y sont pour beaucoup, tous authentiques et sans fard, comme la photo, vintage au possible. Et j'adore de plus en plus Charlotte Gainsbourg! Il fait un bien fou, ce film
Aeriale- Messages : 11968
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-L'école du bout du monde-
Un jeune instit du Bouhtan, en dernière année de formation et rêvant davantage d'aventure en Australie, guitare en main, se voit muté dans un village perdu au pied de l'Himalaya, à plus de 4800 m d'altitude: Lunana. Arrivé sur place après une semaine de marche, il n'a qu'une idée en tête, retrouver la civilisation. Mais la générosité et la bienveillance qu'il va y trouver vont peu à peu le faire changer d'état d'esprit.
Une véritable plongée dans un monde hors du temps, sans électricité ni le moindre confort moderne, où la beauté des paysages, l'authenticité des lieux et la pureté rencontrées nous transportent bien loin, un univers différent dans lequel la valeur de l'instant prime sur toute autre quête.
On ressort de ce film comme d'une expérience purificatrice, plus humble et plus neuf! Avec des notions sur les yaks inconnues jusque là ;-) Simple, serein, un vrai voyage au coeur de l'homme, un retour bienfaisant à l'essentiel. Faut tenter!
Un jeune instit du Bouhtan, en dernière année de formation et rêvant davantage d'aventure en Australie, guitare en main, se voit muté dans un village perdu au pied de l'Himalaya, à plus de 4800 m d'altitude: Lunana. Arrivé sur place après une semaine de marche, il n'a qu'une idée en tête, retrouver la civilisation. Mais la générosité et la bienveillance qu'il va y trouver vont peu à peu le faire changer d'état d'esprit.
Une véritable plongée dans un monde hors du temps, sans électricité ni le moindre confort moderne, où la beauté des paysages, l'authenticité des lieux et la pureté rencontrées nous transportent bien loin, un univers différent dans lequel la valeur de l'instant prime sur toute autre quête.
On ressort de ce film comme d'une expérience purificatrice, plus humble et plus neuf! Avec des notions sur les yaks inconnues jusque là ;-) Simple, serein, un vrai voyage au coeur de l'homme, un retour bienfaisant à l'essentiel. Faut tenter!
Aeriale- Messages : 11968
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Re: A l'affiche
-L'affaire Collini-
Je n'étais pas trop attirée par ce film. L'affiche avec la croix gammée, le côté sombre affiché, etc. Trop classique, peut être prévisible... Je me méfiais.
Sur les conseils d'une amie j'y suis allée. Et en fait s'il est quand même cela, j'avoue avoir été prise par le sujet. Tiré d'un roman (et non de faits réels, ce que je croyais au départ) il met en place un thriller politique autour de l'assassinat apparemment sans mobile, le coupable s'étant dénoncé d'entrée et refusant de parler, d'un homme d'affaire allemand important. L'avocat commis d'office, un jeune (dont le passé est révélé un peu lourdement) se retrouve confronté à un ténor du barreau.
Bien sûr quelques ficelles assez grosses
L'acteur principal est très bon (Elyas M'Barek) le rythme efficace. C'est pas un film incontournable mais c'est un bon moment de cinéma, si vous en avez d’le temps!
Je n'étais pas trop attirée par ce film. L'affiche avec la croix gammée, le côté sombre affiché, etc. Trop classique, peut être prévisible... Je me méfiais.
Sur les conseils d'une amie j'y suis allée. Et en fait s'il est quand même cela, j'avoue avoir été prise par le sujet. Tiré d'un roman (et non de faits réels, ce que je croyais au départ) il met en place un thriller politique autour de l'assassinat apparemment sans mobile, le coupable s'étant dénoncé d'entrée et refusant de parler, d'un homme d'affaire allemand important. L'avocat commis d'office, un jeune (dont le passé est révélé un peu lourdement) se retrouve confronté à un ténor du barreau.
Bien sûr quelques ficelles assez grosses
- Spoiler:
- le parcours des personnages est relié maladroitement, je trouve
L'acteur principal est très bon (Elyas M'Barek) le rythme efficace. C'est pas un film incontournable mais c'est un bon moment de cinéma, si vous en avez d’le temps!
Aeriale- Messages : 11968
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-Compétition officielle-
Un industriel en pharmaceutique richissime se met en tête de produire un film pour marquer de son nom l'histoire du cinéma. Il engage donc les plus côtés au box office, tous au talent reconnu mais à l'égo démesuré.
Un film très drôle qui nous montre l'envers du décor, les luttes d'égos et les élucubrations désopilantes d'une réalisatrice passablement déjantée jouée par Penelope Cruz. Le film joue aussi beaucoup sur L'opposition des deux acteurs ( Antonio banderas et l'argentin Oscar Martinez) l'un gonflé de son succés planétaire, l'autre persuadé qu'il incarne le talent au sens propre.
Ca nous vaut quelques scènes dont on se souviendra, plus improbables les unes que les autres, mais je vous laisse la surprise. Une chouette satire du monde du cinéma, dans un décor ultra minimaliste et radical, où les acteurs s'en donnent à coeur joie pour mieux démystifier cette aura dont il est bon parfois de se défaire pour mieux appréhender la réalité. Un très bon moment!
Un industriel en pharmaceutique richissime se met en tête de produire un film pour marquer de son nom l'histoire du cinéma. Il engage donc les plus côtés au box office, tous au talent reconnu mais à l'égo démesuré.
Un film très drôle qui nous montre l'envers du décor, les luttes d'égos et les élucubrations désopilantes d'une réalisatrice passablement déjantée jouée par Penelope Cruz. Le film joue aussi beaucoup sur L'opposition des deux acteurs ( Antonio banderas et l'argentin Oscar Martinez) l'un gonflé de son succés planétaire, l'autre persuadé qu'il incarne le talent au sens propre.
Ca nous vaut quelques scènes dont on se souviendra, plus improbables les unes que les autres, mais je vous laisse la surprise. Une chouette satire du monde du cinéma, dans un décor ultra minimaliste et radical, où les acteurs s'en donnent à coeur joie pour mieux démystifier cette aura dont il est bon parfois de se défaire pour mieux appréhender la réalité. Un très bon moment!
Aeriale- Messages : 11968
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Rifkin's festival
Le topo banal chez Woody: Un prof d'université, marié à une agent en communication, accompagne sa femme lors du festival pour la présentation du film du réalisateur dont elle est en charge. Bien sûr la femme en pince pour ce dernier, de 10 ans son cadet, alors que le mari va lui tomber sous le charme d'une jeune femme médecin espagnole en galère avec son mari artiste peintre.
Un classique chassé croisé amoureux où la différence d'âge joue à plein, dans le milieu du cinéma. Tout est réuni pour une énième représentation des divagations psycho-névrosées du double Allen joué par Wallace Shawn, aussi cynique et gentiment à l'ouest que son modèle, mais j'ai trouvé que l'actrice surjouait et ca m'a gênée.
L'ensemble se laisse voir quand même agréablement et sans surprise, dans une ville San Sebastian que l'on aimerait bien visiter en sortant, et si on se dit qu'il radote un peu, le père Allen, c'est quand même une belle prouesse à 85 ans passés! Les fans de Louis Garrel, dans un rôle tout en dérision, y trouveront peut-être leur compte. Un petit moment sympa de cinéma, ( et à la fraîche) c'est toujours ça à prendre ;-)
Le topo banal chez Woody: Un prof d'université, marié à une agent en communication, accompagne sa femme lors du festival pour la présentation du film du réalisateur dont elle est en charge. Bien sûr la femme en pince pour ce dernier, de 10 ans son cadet, alors que le mari va lui tomber sous le charme d'une jeune femme médecin espagnole en galère avec son mari artiste peintre.
Un classique chassé croisé amoureux où la différence d'âge joue à plein, dans le milieu du cinéma. Tout est réuni pour une énième représentation des divagations psycho-névrosées du double Allen joué par Wallace Shawn, aussi cynique et gentiment à l'ouest que son modèle, mais j'ai trouvé que l'actrice surjouait et ca m'a gênée.
L'ensemble se laisse voir quand même agréablement et sans surprise, dans une ville San Sebastian que l'on aimerait bien visiter en sortant, et si on se dit qu'il radote un peu, le père Allen, c'est quand même une belle prouesse à 85 ans passés! Les fans de Louis Garrel, dans un rôle tout en dérision, y trouveront peut-être leur compte. Un petit moment sympa de cinéma, ( et à la fraîche) c'est toujours ça à prendre ;-)
Aeriale- Messages : 11968
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-La nuit du 12-
Un très bon film inspiré d'un fait réel qui s'est passé dans la Vallée de Maurienne en 2016 (une jeune fille brulée vive par une nuit d'octobre) et dont le meurtrier n'a jamais été retrouvé. Tour à tour les suspects sont interpellés et auditionnés mais si les preuves manquent, ils apparaissent tous comme potentiellement coupables.
Dominique Noll nous immerge dans cette enquête et touche au plus près tous les dysfonctionnements d'une police et ceux d'une société en mal de repères où quelques uns tentent d'y voir clair mais sont hélas rattrapés par la brutalité des faits, le profond clivage qui persiste entre des mentalités opposés dans "Un monde fait pour les hommes"
C'est fin, très psychologique et très humain, cela ne force pas dans la démonstration mais appuie juste là où ça fait mal. Les à priori , le machisme, la solitude qui parfois ronge ces enquêteurs, leur manque de moyens aussi, plein de choses suggérées et non affichées, le cinéaste nous laissant libre de donner un sens à tout ça, s’il y’en a. Enquête non résolue mais ô combien perturbante. Je me suis régalée!
NB: Je découvre cet acteur, Bastien Bouillon, excellent dans son rôle de taiseux, investi jusqu'à l'obsession de ce crime non résolu et qui s'ouvre peu à peu à une approche différente grâce à son acolyte, Bouli Lanners au top, et d'une jeune collègue à la fin du film. Jusqu'à sortir de son vélodrome et découvrir le cyclisme à l'air libre
Un très bon film inspiré d'un fait réel qui s'est passé dans la Vallée de Maurienne en 2016 (une jeune fille brulée vive par une nuit d'octobre) et dont le meurtrier n'a jamais été retrouvé. Tour à tour les suspects sont interpellés et auditionnés mais si les preuves manquent, ils apparaissent tous comme potentiellement coupables.
Dominique Noll nous immerge dans cette enquête et touche au plus près tous les dysfonctionnements d'une police et ceux d'une société en mal de repères où quelques uns tentent d'y voir clair mais sont hélas rattrapés par la brutalité des faits, le profond clivage qui persiste entre des mentalités opposés dans "Un monde fait pour les hommes"
C'est fin, très psychologique et très humain, cela ne force pas dans la démonstration mais appuie juste là où ça fait mal. Les à priori , le machisme, la solitude qui parfois ronge ces enquêteurs, leur manque de moyens aussi, plein de choses suggérées et non affichées, le cinéaste nous laissant libre de donner un sens à tout ça, s’il y’en a. Enquête non résolue mais ô combien perturbante. Je me suis régalée!
NB: Je découvre cet acteur, Bastien Bouillon, excellent dans son rôle de taiseux, investi jusqu'à l'obsession de ce crime non résolu et qui s'ouvre peu à peu à une approche différente grâce à son acolyte, Bouli Lanners au top, et d'une jeune collègue à la fin du film. Jusqu'à sortir de son vélodrome et découvrir le cyclisme à l'air libre
Aeriale- Messages : 11968
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Dernière édition par Queenie le Mer 10 Aoû - 9:35, édité 1 fois
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Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 7164
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Re: A l'affiche
Bon, on aura des trucs à voir en rentrant s'ils sont toujours à l'affiche.
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domreader- Messages : 3637
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Re: A l'affiche
Sundown
J'ai oublié de vous parler de Sundown. Un film qui ne m'a pas transportée
Une famille se repose dans un super hôtel de luxe à Acapulco. La journée se passe à se prélasser entre cocktails et baignades sous un soleil torride. Peu de partage pourtant, on pense à un couple en crise, mais tout est feutré, rien n'éclate dans cette douce torpeur. Jusqu'au jour où un coup de téléphone leur annonce le décès brutal de la belle mère. Alors que tous s'engouffrent dans l'avion de retour à Londres, le présumé père (Tim Roth) décide de rester sur place sous un fallacieux prétexte.
A partir de là; échoué dans une pension miteuse où le taxi le dépose, il va passer son temps à boire des litres de bière et regarder la foule jusqu'à ce qu'une jolie mexicaine lui tienne compagnie. On se demande où veut en venir le cinéaste. C'est long, lent, et très apathique. On est réveillé par un règlement de compte au beau milieu de la plage, quelques scènes de sexe pour agrémenter, mais à part ça, rien, que dalle...Jusqu'à ce qui nous est révélé à la toute fin, où du coup on remet tout en place.
Drôle de film, je ne sais pas trop quoi en penser. Ce n'est pas désagréable à regarder non plus, Charlotte Gainsbourg fait de son mieux et Tim Roth est bien dans son rôle de dépressif: Aucune émotion ne passe et pourtant quelque chose reste, bizarrement. Je ne sais pas encore pourquoi ;- )
J'ai oublié de vous parler de Sundown. Un film qui ne m'a pas transportée
Une famille se repose dans un super hôtel de luxe à Acapulco. La journée se passe à se prélasser entre cocktails et baignades sous un soleil torride. Peu de partage pourtant, on pense à un couple en crise, mais tout est feutré, rien n'éclate dans cette douce torpeur. Jusqu'au jour où un coup de téléphone leur annonce le décès brutal de la belle mère. Alors que tous s'engouffrent dans l'avion de retour à Londres, le présumé père (Tim Roth) décide de rester sur place sous un fallacieux prétexte.
A partir de là; échoué dans une pension miteuse où le taxi le dépose, il va passer son temps à boire des litres de bière et regarder la foule jusqu'à ce qu'une jolie mexicaine lui tienne compagnie. On se demande où veut en venir le cinéaste. C'est long, lent, et très apathique. On est réveillé par un règlement de compte au beau milieu de la plage, quelques scènes de sexe pour agrémenter, mais à part ça, rien, que dalle...Jusqu'à ce qui nous est révélé à la toute fin, où du coup on remet tout en place.
Drôle de film, je ne sais pas trop quoi en penser. Ce n'est pas désagréable à regarder non plus, Charlotte Gainsbourg fait de son mieux et Tim Roth est bien dans son rôle de dépressif: Aucune émotion ne passe et pourtant quelque chose reste, bizarrement. Je ne sais pas encore pourquoi ;- )
Aeriale- Messages : 11968
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Là où chantent les écrevisses
(et non je n'ai pas lu le livre)
Très beau film, de belles images de forêt, de marais, de plage, de jolie bicoque. Des plumes, des coquillages, des insectes. Du romantisme. Et un meurtre.
Belle histoire, très bien menée. Pour ceux et celles qui ne la connaissent pas :
Kya vit seule dans sa maison des marais depuis toute petite (petit à petit sa famille s'est barrée à cause du père violent, qui lui-même a fini par partir).
Elle se débrouille, elle vivote.
Elle vit dans la peur des autres, qui de toutes façons l'ostracisent à mort, donc ne voit jamais personne.
Elle adore son marais et toute la biodiversité, qu'elle dessine, qu'elle répertorie.
Un jour, y'a le gentil Tate qui l'approche grâce à des échanges de plumes.
Amitié-Amour, c'est le super bon gars respectueux, qui lui apprend à lire mais finit par partir pour réussir sa vie.
En parallèle, le film commence sur la découverte du cadavre d'un jeune homme de famille bourgeoise : Chase.
Comme il est retrouvé dans le marais, très vite on accuse Kya.
C'est très prenant, très doux.
Un très joli film.
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Queenie- Messages : 7164
Date d'inscription : 29/11/2016
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Re: A l'affiche
J’avais lu le roman, j’avais trouvé ça mignon sans plus. Mais on m’a conseillé l’adaptation qui a bien plu autour de moi.
J’espère qu’il sera toujours à l’affiche quand on rentre...
J’espère qu’il sera toujours à l’affiche quand on rentre...
Aeriale- Messages : 11968
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Aeriale a écrit:J’avais lu le roman, j’avais trouvé ça mignon sans plus. Mais on m’a conseillé l’adaptation qui a bien plu autour de moi.
J’espère qu’il sera toujours à l’affiche quand on rentre...
Pareil pour moi, sauf que j'avais bien aimé le roman, je vais peut-être aller voir le film alors, @Liseron aussi l'avait lu et plutôt bien aimé je crois.
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domreader- Messages : 3637
Date d'inscription : 02/12/2016
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Re: A l'affiche
Un très beau film documentaire sur Ennio Morricone, réalisé par Giuseppe Tornatore (Cinema Paradiso) sur le compositeur fabuleux qu'il était, alors qu'il fut plutôt méprisé par ses pairs.
On voit comment son immense culture musicale lui a permis de composer des musiques de films qui collaient à l'image et qui sont parfois devenues culte. Il a surtout été connu du grand public pour ses musiques de films, et d'ailleurs tous les plus grands réalisateurs ont fait appel à lui. Un documentaire qui permet aussi de survoler une histoire du cinéma depuis les années 50 et d'entendre des extraits de ses oeuvres musicales sans rapport avec le cinéma. Très bon vraiment.
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domreader- Messages : 3637
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: A l'affiche
oh cela me rappelle un des films pour lequel il a composé la bande-son...
il y a plus d'une que j'aime bien, mais The Mission était pour moi toujours à part
il y a plus d'une que j'aime bien, mais The Mission était pour moi toujours à part
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: A l'affiche
Justement il parle de la composition de la musique de ce film et de la façon dont il incorporé la musique indigène locale à une composition beaucoup plus classique. Le film donne à voir et entendre l'extrême diversité de ses musiques et son extraordinaire créativité.
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domreader- Messages : 3637
Date d'inscription : 02/12/2016
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