A l'affiche
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Re: A l'affiche
-Les feuilles mortes-

Deux esseulés de la vie, plombés par le marasme économique et la difficulté de rester la tête hors de l'eau, se rencontrent lors d'un karaoké mais n'osent s'aborder. Quelque temps après le hasard les remet en présence, mais parfois il peut aussi jouer des tours.
Un film complètement atypique, comme à chaque fois chez Kaurismäki, qui baigne dans un décor sorti direct des années 60 aux couleurs sombres et chaudes à la fois. On se croirait hors du temps, dans un lieu sorti de nulle part, mais les nouvelles du front russe en Ukraine situent précisemment l'intrigue.

Quant à celle ci elle est toute simple. Ca parle de solitude, d'égarements, d'alcoolisme et de précarité. Rien de joyeux c'est sûr, mais dans ce dernier l'atmosphère est encore plus sinistre. Je n'ai pas retrouvé ce ton décalé qui me plait tant et qui permet d'alléger le contexte. Tout est lugubre, froid et distant. Je n'y ai pas retrouvé le charme attendu et l'amie qui m'accompagnait a même fini par s'endormir.
Pas évident de filmer le vide et la désespérance sans tomber dans une forme de léthargie. Heureusement il ne durait qu'une heure et demi. Dommage. Je vais plutôt me revoir ses précédents (L'autre côté de l'espoir par exemple, que j'avais adoré
)


Deux esseulés de la vie, plombés par le marasme économique et la difficulté de rester la tête hors de l'eau, se rencontrent lors d'un karaoké mais n'osent s'aborder. Quelque temps après le hasard les remet en présence, mais parfois il peut aussi jouer des tours.
Un film complètement atypique, comme à chaque fois chez Kaurismäki, qui baigne dans un décor sorti direct des années 60 aux couleurs sombres et chaudes à la fois. On se croirait hors du temps, dans un lieu sorti de nulle part, mais les nouvelles du front russe en Ukraine situent précisemment l'intrigue.

Quant à celle ci elle est toute simple. Ca parle de solitude, d'égarements, d'alcoolisme et de précarité. Rien de joyeux c'est sûr, mais dans ce dernier l'atmosphère est encore plus sinistre. Je n'ai pas retrouvé ce ton décalé qui me plait tant et qui permet d'alléger le contexte. Tout est lugubre, froid et distant. Je n'y ai pas retrouvé le charme attendu et l'amie qui m'accompagnait a même fini par s'endormir.
Pas évident de filmer le vide et la désespérance sans tomber dans une forme de léthargie. Heureusement il ne durait qu'une heure et demi. Dommage. Je vais plutôt me revoir ses précédents (L'autre côté de l'espoir par exemple, que j'avais adoré


Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
J'ai bien aimé même si en effet il est sombre, les nouvelles d'Ukraine donnant sans doute une tonalité particulièrement déprimante. Il y a quand même le ton habituel et un peu d'humour, et malgré tout une sorte de happy-end fragile.
_________________
Je ne lis jamais un livre dont je dois écrire la critique ; on se laisse tellement influencer. (Oscar Wilde)
Arabella- Messages : 4745
Date d'inscription : 29/11/2016
Re: A l'affiche
Oui bien sûr, c’est un film qui sort de l’ordinaire. Ne serait ce que pour son ambiance complètement désuète, presque anachronique ( la radio, les téléphones à fil, les meubles en Formica, etc..) et ces karaokés tellement tristes qu’ils en deviennent comiques. Il y a tout de même ce charme particulier, propre à ses films, qui capte inévitablement.
Après, il y a aussi de l’humour, leur séance de cinéma entre autre. Mais disons que je m’attendais à plus. Un peu déçue., surtout.
Après, il y a aussi de l’humour, leur séance de cinéma entre autre. Mais disons que je m’attendais à plus. Un peu déçue., surtout.
Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-Dogman-

Vu il y a deux jours, et j'ai passé un bon moment. On se demande toujours avec Besson, il peut y avoir un côté extrême, un peu trop hollywoodien. Ici, il existe aussi, avec des performances de chiens à se demander si on n'est pas plutôt dans un cartoon Disney, et des scènes très réussies visuellement mais limite esbroufes, mais le tout est quand même réussi et il y a des images très fortes.

Certaines m'ont fait bien sûr penser à Joker, avec le parcours de cet homme détruit par une enfance humiliante qui se cherche une autre voie, d'autres amours, là des chiens sur lesquels il reporte ses manques affectifs. Et qui se construit un autre visage, une personnalité volontairement effrayante pour exister.
Je découvre Caleb Landry Jones, impressionnant dans ce rôle, et l'actrice jouant la psychiatre. Mais la palme revient aux toutous qui ont été sacrément bien dressés pour le film! Je vais d'ailleurs voir de plus près comment les éducateurs s'y sont pris..


Vu il y a deux jours, et j'ai passé un bon moment. On se demande toujours avec Besson, il peut y avoir un côté extrême, un peu trop hollywoodien. Ici, il existe aussi, avec des performances de chiens à se demander si on n'est pas plutôt dans un cartoon Disney, et des scènes très réussies visuellement mais limite esbroufes, mais le tout est quand même réussi et il y a des images très fortes.

Certaines m'ont fait bien sûr penser à Joker, avec le parcours de cet homme détruit par une enfance humiliante qui se cherche une autre voie, d'autres amours, là des chiens sur lesquels il reporte ses manques affectifs. Et qui se construit un autre visage, une personnalité volontairement effrayante pour exister.
Je découvre Caleb Landry Jones, impressionnant dans ce rôle, et l'actrice jouant la psychiatre. Mais la palme revient aux toutous qui ont été sacrément bien dressés pour le film! Je vais d'ailleurs voir de plus près comment les éducateurs s'y sont pris..
- Spoiler:
- Peut-être une carrière s'ouvrirait pour North? C'est aussi un excellent comédien

Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Aeriale a écrit:Oui bien sûr, c’est un film qui sort de l’ordinaire. Ne serait ce que pour son ambiance complètement désuète, presque anachronique ( la radio, les téléphones à fil, les meubles en Formica, etc..) et ces karaokés tellement tristes qu’ils en deviennent comiques. Il y a tout de même ce charme particulier, propre à ses films, qui capte inévitablement.
Après, il y a aussi de l’humour, leur séance de cinéma entre autre. Mais disons que je m’attendais à plus. Un peu déçue., surtout.
Il m'a fallu un bon quart d'heure pour entrer dans le film, mais après j'ai bien aimé. Il y a eu des rires dans la salle quand il y avait des excès de noirceur, notamment la très chouette chanson du groupe Maustetytöt (très connu en Finlande, apparemment), Syntynyt suruun ja puettu pettymyksin ("Né dans le chagrin et habillé de déception", tout un programme, les paroles étant à l'avenant).
Après, oui, même si le scénario est toujours mince chez Kaurismäki, Les Feuilles mortes ne resteront certainement pas mon préféré. J'espère que mon préféré, ce sera le prochain.
eXPie- Messages : 765
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: A l'affiche
Je l'ai trouvé superbe "Les feuilles mortes" : des cadrages parfaits, couleurs et décors impecc. Et beaucoup d'humour pince-sans-rire. J'ai en effet ri souvent. Est-ce qu'en fait ce n'était pas fait pour ? C'était du premier degré de la déprime ?
_________________
Et, du monde indistinct des rêves, là où se terrent les secrets mystiques, une réponse surgit.
Queenie- Messages : 6808
Date d'inscription : 29/11/2016
Localisation : *CabanCouette*
Re: A l'affiche
Je pense aussi que c'était fait exprès, oui. Quand le héros, je crois, éteint rapidement la radio juste après une énième annonce de massacres de civils Ukrainiens par les Russes, il a réussi à rendre ça drôle (tout en ne l'étant pas, évidemment).
eXPie- Messages : 765
Date d'inscription : 04/12/2016
Re: A l'affiche
Ben oui.., mais après c’est un humour qui marche ou pas. Honnêtement certaines scènes m’ont plus plombée qu’autre chose et dans la salle j’entendais les mouches voler.
C’est un humour auquel je suis sans doute plus hermétique. Idem pour Le livre des solutions qui ne m’a pas fait sourire des masses. Bien que j’aie pris beaucoup plus de plaisir avec le Kaurismaki pour les autres raisons que vous citez ( décor, lumière, ce côté intemporel et désuet paradoxalement bien marqué dans l’actualité ) Et que les autres films de lui m’ont fait rire. Cette fois ça n’a pas fonctionné au max pour moi
J’ai vu aussi L’air de la mer rend libre , je vous en parle après!
C’est un humour auquel je suis sans doute plus hermétique. Idem pour Le livre des solutions qui ne m’a pas fait sourire des masses. Bien que j’aie pris beaucoup plus de plaisir avec le Kaurismaki pour les autres raisons que vous citez ( décor, lumière, ce côté intemporel et désuet paradoxalement bien marqué dans l’actualité ) Et que les autres films de lui m’ont fait rire. Cette fois ça n’a pas fonctionné au max pour moi

J’ai vu aussi L’air de la mer rend libre , je vous en parle après!
Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-L'air de la mer rend libre-

Saïd, jeune homosexuel issu d'une famille traditionnelle musulmane, se retrouve plus ou moins contraint d'épouser Hadjira, elle même obligée par sa mère. Alors que les parents simulent l'innocence face à ses choix, tout est en fait organisé pour qu'enfin il rentre dans le moule.
Le film aborde le problème de l'homosexualité et sa confrontation à l'Islam de manière simple et frontale, sans fausse pudeur ni excès. Le couple formé par ces deux acteurs est attachant. Elle confinée dans l'attente, le silence, l'espoir d'une vie de famille et forcément frustrée. Et lui, pris en étau entre le poids de la religion, des traditions, et sa difficulté à vivre pleinement sa sexualité.
C'est sensible, réaliste et filmé sans esbroufe ni surplus. On se retrouve à se mettre à leur place, à se demander comment réagirait-on face à ce manque de liberté. Un petit film qui fait réfléchir, qui ouvre des voies. Une belle surprise!


Saïd, jeune homosexuel issu d'une famille traditionnelle musulmane, se retrouve plus ou moins contraint d'épouser Hadjira, elle même obligée par sa mère. Alors que les parents simulent l'innocence face à ses choix, tout est en fait organisé pour qu'enfin il rentre dans le moule.
Le film aborde le problème de l'homosexualité et sa confrontation à l'Islam de manière simple et frontale, sans fausse pudeur ni excès. Le couple formé par ces deux acteurs est attachant. Elle confinée dans l'attente, le silence, l'espoir d'une vie de famille et forcément frustrée. Et lui, pris en étau entre le poids de la religion, des traditions, et sa difficulté à vivre pleinement sa sexualité.
C'est sensible, réaliste et filmé sans esbroufe ni surplus. On se retrouve à se mettre à leur place, à se demander comment réagirait-on face à ce manque de liberté. Un petit film qui fait réfléchir, qui ouvre des voies. Une belle surprise!

Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
-Une année difficile-

Deux paumés très endettés, plus concernés par la débrouille et leurs fins de mois difficiles, se retrouvent embarqués un peu contre leur gré et beaucoup par opportunisme dans un groupe de militants écolos dirigé par une jeune pasionaria dont bien sûr l'un d'eux va tomber sous le charme.
Ca démarre très fort avec une scène dantesque dans un hypermarché un jour de Back Friday sur l'air de la valse à mille temps de Jacques Brel et le rythme, entrecoupé de quelques scènes où l'humour joue à plein, ne va pas souvent décélérer. La petite romance sous jacente sert juste le scénario, elle finit sur une séquence pleine de charme dont on risque de se souvenir et ferme la boucle.

C'est frais, généreux, sans chichis et il est difficile de ne pas sourire. Pour ma part j'ai beaucoup aimé le duo Pio Marmaï et Jonathan Cohen qui s'en donne à coeur joie. Bien sûr certains vont faire la fine bouche, penser que le film ne s'engage pas assez mais ce n'est pas le but, en fait. Tomber sur une bonne comédie par ces temps de crise ne se refuse pas! Je pense qu'il pourrait plaire à pas mal d'entre vous, allez y


Deux paumés très endettés, plus concernés par la débrouille et leurs fins de mois difficiles, se retrouvent embarqués un peu contre leur gré et beaucoup par opportunisme dans un groupe de militants écolos dirigé par une jeune pasionaria dont bien sûr l'un d'eux va tomber sous le charme.
Ca démarre très fort avec une scène dantesque dans un hypermarché un jour de Back Friday sur l'air de la valse à mille temps de Jacques Brel et le rythme, entrecoupé de quelques scènes où l'humour joue à plein, ne va pas souvent décélérer. La petite romance sous jacente sert juste le scénario, elle finit sur une séquence pleine de charme dont on risque de se souvenir et ferme la boucle.

C'est frais, généreux, sans chichis et il est difficile de ne pas sourire. Pour ma part j'ai beaucoup aimé le duo Pio Marmaï et Jonathan Cohen qui s'en donne à coeur joie. Bien sûr certains vont faire la fine bouche, penser que le film ne s'engage pas assez mais ce n'est pas le but, en fait. Tomber sur une bonne comédie par ces temps de crise ne se refuse pas! Je pense qu'il pourrait plaire à pas mal d'entre vous, allez y


- Spoiler:
- J'allais oublier de mentionner la bande son de Grandbrothers que j'ai adorée
Dernière édition par Aeriale le Ven 3 Nov - 19:40, édité 1 fois
Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Je l'ai vu la semaine dernière, et sans être aussi enthousiaste que toi, je l'ai trouvé plaisant, c'est un film qu'on regarde avec le sourire, le faux militantisme, l'imposture comique est bien sympathique avec un sommet qui est l'assaut de la Banque de France (très drôle). Pio Maria s'en tire plutôt bien en amoureux transi et Jonathan Cohen aussi en faux cynique pas très malin.
_________________
'La littérature est une maladie textuellement transmissible, que l'on contracte en général pendant l'enfance'. Jane Yolen.
domreader- Messages : 3270
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Ile de France
Re: A l'affiche
On l’a vu aussi il y a deux jours, on a beaucoup ri et ça fait un bien fou par les temps qui courent. Tout à fait d’accord avec toi @Aeriale ! Les acteurs sont excellents, j’adore Pio Marmaï…
Par contre, on était avec un copain qui a moins aimé, c’est la réalisation qui l’a gêné, trop de mouvements de caméra désordonnés et trop bruyant, nous a-t-il dit.
Moi, rien que de repenser à certaines scènes, j’ai le sourire aux lèvres !!
Par contre, on était avec un copain qui a moins aimé, c’est la réalisation qui l’a gêné, trop de mouvements de caméra désordonnés et trop bruyant, nous a-t-il dit.
Moi, rien que de repenser à certaines scènes, j’ai le sourire aux lèvres !!
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"Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire, j'ai la certitude d'être encore heureux" Jules Renard
Liseron- Messages : 3991
Date d'inscription : 02/01/2017
Localisation : Toulouse
Re: A l'affiche
-The Old Oak-

Dans un ancien petit village minier anglais débarque un bus de réfugiés syriens. Les habitants, la plupart réfractaires voire haineux envers ces étrangers, les rabrouent ou les ignorent. Le propriétaire du pub, où quelques vieux habitués trompent leur ennui, est un des rares à les accueillir sans discrimination. Poussé par Yara, jeune réfugiée, ils décident de transformer son arrière salle en cantine pour les plus démunis, redonnant vie au lieu oublié.
Comme d'habitude chez Ken Loach, il y a beaucoup de bienveillance dans sa démonstration, peut-être trop, et si le film laisse voir un visage optimiste face au problème du racisme et de l'intégration, on se dit que c'est surtout une image, un message forcément idéalisé que Ken Loach veut transmettre. De bons sentiments, de l'humanisme, c'est toujours bon à prendre mais pas inoubliable. Je me suis un peu ennuyée..


Dans un ancien petit village minier anglais débarque un bus de réfugiés syriens. Les habitants, la plupart réfractaires voire haineux envers ces étrangers, les rabrouent ou les ignorent. Le propriétaire du pub, où quelques vieux habitués trompent leur ennui, est un des rares à les accueillir sans discrimination. Poussé par Yara, jeune réfugiée, ils décident de transformer son arrière salle en cantine pour les plus démunis, redonnant vie au lieu oublié.
Comme d'habitude chez Ken Loach, il y a beaucoup de bienveillance dans sa démonstration, peut-être trop, et si le film laisse voir un visage optimiste face au problème du racisme et de l'intégration, on se dit que c'est surtout une image, un message forcément idéalisé que Ken Loach veut transmettre. De bons sentiments, de l'humanisme, c'est toujours bon à prendre mais pas inoubliable. Je me suis un peu ennuyée..

Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: A l'affiche
Merci pour ton retour sur "Une année difficile" @Aeriale !
Je vais peut-être aller le voir ce week-end !
Je vais peut-être aller le voir ce week-end !
_________________

Luciole- Messages : 1038
Date d'inscription : 04/12/2016
Age : 48
Localisation : France - Pays de la Loire
Re: A l'affiche
Luciole a écrit:Merci pour ton retour sur "Une année difficile" @Aeriale !
Je vais peut-être aller le voir ce week-end !
Tu nous diras!
Sinon on est allés voir Killers of the Flower moon

Dans les années 20; la découverte du pétrole sur les terres des Osages fait basculer ce peuple d' Amérindiens dans un autre dimension. Devenus immensément riches en même temps que convoités par des Blancs cupides, ils se voient disparaitre tour à tour mystérieusement.
J'ai bien aimé cette partie de l'histoire américaine peu connue, tirée d'un roman qui en révèle les aspects sombres, autour de De Niro, redoutable de perversité en patriarche roublard, prêt à tout pour récupérer au centuple ses généreux dons à la communauté qu'il est censé soutenir. Di Caprio qui joue ici un personnage complexe, amoureux de sa jeune squaw mais lâche, dominé par la figure imposante de son oncle, est convaincant mais j'ai été gênée par ses mimiques à la Brando un peu trop appuyées dans la seconde partie


Un peu long (plus de 3 heures et demi) sans que cela m'ait pesé vraiment, c'est quand même une belle fresque assez nuancée sur un sujet peu exploité. Un bon moment donc..
Aeriale- Messages : 10969
Date d'inscription : 30/11/2016
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