Christian Durieux
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Christian Durieux
Christian Durieux, né le 18 janvier 1965 à Bruxelles, est un auteur de bande dessinée belge francophone.
Source : Wikipédia
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Re: Christian Durieux
Un Enchantement
Présentation de l’éditeur
Exceptionnellement fermé au public ce soir-là, le musée du Louvre accueille une réception mondaine, donnée en l’honneur d’un homme politique qui quitte ses fonctions.
Ressentant cela comme un enterrement, celui-ci quitte discrètement la soirée, et s’éloigne, une bouteille dans chaque main, dans les salles voisines. Dans l’aile Sully, au salon Carré, il trouve une jeune femme assise sur un banc, face à La Vierge en majesté de Duccio, les mains devant les yeux… Que fait-elle là ? Pourquoi se cache-t-elle le visage ?
Il s’ensuit alors une nuit fantasque, entre séduction et érudition, humour et émotion, réflexions politiques et poésie.
Charmé tout autant que charmeur, le vieil homme tente de séduire cette muse vive, facétieuse, apaisante et évanescente qui l’accompagne pour son dernier soir.
Un Enchantement est le sixième rendez-vous que le Musée du Louvre a donné à la bande-dessinée. Après Nicolas De Crécy, Marc-Antoine Mathieu, Eric Liberge, Yslaire et Hirohiko Araki, c'est au tour de Christian Durieux (Les gens honnêtes) d'organiser sa petite visite personnelle du plus grand musée du monde. L'idée de départ est séduisante : « offrir » à un auteur le Louvre comme écrin et lui laisser toute liberté pour créer un récit. Évidemment, suivant le cas, se frotter aux plus grands chefs-d’œuvre de l'histoire de l'art se révèle être une tâche plus facile à imaginer qu'à poser sur le papier.
source
Dans la postface de Christian Durieux, on peut lire
Jean Cocteau, que j’aime, avait classé l’ensemble de ses œuvres, si disparate, sous le registre de la poésie : poésie du théâtre, poésie du roman, poésie du cinéma, poésie critique ou du quotidien. En toute naïveté, j’aimerais faire une poésie de bande dessinée
Avec son idée à la fin du livre autour du tableau d'Antoine Watteau, Le pèlerinage à l’ile de Cythère il arrive à créer un peu de cette poésie…
J’ai bien aimé cet album, à part pour l’homme politique qui est célébré : selon quelques indices qu’il fait, on peut croire à François Mitterrand, les traits qu’il donne au personnage me font penser sur quelques planches à Jacques Chirac.. cet aspect a été un peu troublant... sinon c’est bien de suivre cette série autour du Louvre... cela fait autant plaisir qu’une visite
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Re: Christian Durieux
Scénario : Christophe Dabitch
Le Captivé
Christophe Dabitch retrace le parcours de ce malheureux ‘captivé’ du point de vue de son médecin, Philippe Tissié.
Christian Durieux arrive avec des belles planches monochromes à insuffler de vie à ces deux hommes aux destins si particuliers.
Le Captivé
J’ai ‘rencontré’ le personnage d’Albert Dadas lors de ma lecture du Voyageur malgré lui de Minh Tran Huy et en faisant des recherches sur ce personnage extraordinaire, je suis tombée sur cette BD.Présentation de l’éditeur
Fin du XIXe siècle, à Bordeaux. Albert Dadas est le premier patient atteint de la "folie du fugueur" à être soigné. Le jeune psychiatre, Philippe Tissié, allant à l'encontre des récents écrits de Charcot, utilise l'hypnose. Cette rencontre changera leur vie à tous les deux. Sur ce sujet hors norme et méconnu, après un travail fouillé de documentation, Christophe Dabitch reconstitue la vie d'errance d'Albert Dadas et la resitue dans le contexte médical de l'époque. Christian Durieux, de son trait délicat et plein d'empathie, donne chair à un personnage doux et effaré.
Christophe Dabitch retrace le parcours de ce malheureux ‘captivé’ du point de vue de son médecin, Philippe Tissié.
Christian Durieux arrive avec des belles planches monochromes à insuffler de vie à ces deux hommes aux destins si particuliers.
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Re: Christian Durieux
Scénrio: Christian Perrissin
Geisha ou le jeu du shamisen
C’est un univers tout à fait à part et fascinant. Les règles et le mode de vie étaient prédéfinis.
Si on s’intéresse à ce sujet, cette BD est vraiment une bonne découverte.
J’aime bien le scénariste aussi bien que l’illustrateur, j’attends la suite…
Les premières pages
Geisha ou le jeu du shamisen
Ma première rencontre avec le monde des Geishas s’est fait dans les romans de Kafū Nagai.Présentation de l'éditeur
Japon, 1912. Setsuko Tsuda a 8 ans quand elle quitte avec ses parents leur village pour la grande ville côtière, dernier espoir d’une vie meilleure. Elle chemine derrière son père, un samouraï déchu qui oublie sa ruine dans les vapeurs d’alcool, avec sa soeur et sa mère, servante éternelle du patriarche.
Les premiers temps sont prometteurs. Mais son père est fauché par un tramway. Il perd sa jambe, et tout espoir de trouver un travail. La fillette est alors vendue à une maison réputée de geisha et fera l’apprentissage des arts. Il lui faudra savoir chanter, danser, marcher avec autant d’élégance que de talent afin d’éviter de devenir servante à son tour, ou prostituée. L’enfant a un don pour le shamisen. À savoir jouer de cette guitare à trois cordes, elle peut diriger sa vie. À devenir geisha, elle pourra assurer la survie de sa famille et s’assurer un avenir. Mais rien ne sera facile pour l’enfant au visage disgracieux et à l’allure sauvage. Elle deviendra Kitsune, la renarde…
Un récit en bande dessinée éminemment romanesque, écrit et bâti sur une filmographie japonaise qui aura certainement inspirée les plans choisis par Durieux, et dont les noirs et blancs sont à lire comme un hommage au cinéma des années 30. Geisha ou le jeu du shamisen s’appuie aussi sur une bibliographie japonisante, de Taniguchi à Bouvier, rendant un vibrant hommage aux femmes cultivées du Japon traditionnel qui fascinent autant qu’elles intriguent. Perrissin, d’une écriture délicate, raconte une histoire incarnée et mélancolique portée par les noirs raffinés de Durieux. Le temps des geisha est ravivé.
C’est un univers tout à fait à part et fascinant. Les règles et le mode de vie étaient prédéfinis.
Si on s’intéresse à ce sujet, cette BD est vraiment une bonne découverte.
J’aime bien le scénariste aussi bien que l’illustrateur, j’attends la suite…
Les premières pages
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Re: Christian Durieux
Scénario: Jean-Pierre Gibrat
Les gens honnêtes - Edition intégrale
Ce livre reprend les quatre épisodes:
Les gens honnêtes - tome 1
Les gens honnêtes - tome 2
Les gens honnêtes - tome 3
Les gens honnêtes - tome 4
La publication de l’édition intégrale m’a redonné envie de découvrir et voilà ce qui est fait.
Ohlala… quel bonheur de parcourir ces 500 pages et faire partie de la vie de Philippe et de sa tribu.
Un scénario qui emporte le lecteur pendant plusieurs années dans différents moments de la vie de Philippe et de sa famille/ses amis.
C’est crédible et on suit avec beaucoup de plaisir ces différents chamboulements que notre héros doit subir.
Tellement touché par tout ce petit monde… j’ai adoré à fond !!
Pour presque 300 pages c’est difficile de choisir des planches… mais voilà une image qui résume parfaitement le bonheur qu’on éprouve en lisant cette sublime saga…
Les gens honnêtes - Edition intégrale
Ce livre reprend les quatre épisodes:
Les gens honnêtes - tome 1
Présentation de l’éditeur
Aujourd'hui, Philippe fête son anniversaire. 53 ans, déjà. Sa maison est confortable, ses enfants sont grands, sa mère est bavarde, son nouveau vélo est magnifique. Une belle tranche de vie, dans la simplicité, l'honnêteté. Mais celui qui empoisonne le gâteau, c'est le patron de Philippe quand il lui annonce son licenciement. Victime collatérale de la mondialisation, Philippe coule à pic. Perd tout, même son toit. Mais cette plongée au coeur de lui-même va lui permettre d'ouvrir son regard sur les autres. Les gens honnêtes n'ont rien d'ordinaire. Chronique de la tragi-comédie du quotidien, Les gens honnêtes marque la rencontre entre deux auteurs réunis par la tendresse qu'ils éprouvent pour leurs personnages. Jean-Pierre Gibrat, au scénario, et Christian Durieux, au dessin, savent faire vibrer à l'unisson la parcelle indicible de la création romanesque: son humanité.
Les gens honnêtes - tome 2
Présentation de l’éditeur
Les gens honnêtes, ce sont les gens ordinaires qu on croise tous les jours, ces anonymes apparemment sans histoires qui font face comme ils le peuvent aux épreuves que la vie leur impose parfois. Gibrat et Durieux racontent, avec beaucoup de sensibilité et d humour, les hauts et les bas de la famille Manche. Grand-père depuis peu, Philippe mène une vie tranquille. Toujours un peu porté sur le Côte du Rhône, il affiche une désinvolture que rien ne semble pouvoir altérer, pas même le renvoi de son fils Arnaud du lycée mais qu'à cela ne tienne, il va aller avec lui dans le bordelais, voir ce lycée hôtelier où Arnaud pourrait terminer ses études. Simplement, on n’est jamais à l'abri d'une bonne idée... Celle-ci va surgir, dans un moment d'ennui profond dans le TGV.
Et s’il montait un salon de coiffure dans le TGV ?
Les gens honnêtes - tome 3
Présentation de l’éditeur
Installé dans un village du Bordelais cerné de vignes, Philippe Manche mène une vie paisible entre sa librairie, les parties de pêche avec les copains et sa relation amoureuse et épistolaire avec Camille. L'été arrive, et avec lui sa mère et son fils, venus le rejoindre pour les vacances. Entre ceux qui restent, ceux qui partent et ceux qui rêvent de le faire, la vie de Philippe croise quelques zones de turbulence, mais aussi de vrais moments de grâce. On retrouve les dialogues savoureux et l'humanisme bienveillant des "Gens honnêtes", le temps d'un bout de chemin souvent drôle, parfois doux-amer sur les sentiers de la vie, sous la plume et le pinceau tout en finesse de Gibrat et de Durieux.
Les gens honnêtes - tome 4
Lors de la parution du premier tome, j’avais noté ces gens honnêtes… mais puisqu’il y a toujours trop de tentations, finalement je n’ai pas franchi le pas.Présentation de l’éditeur
Les chemins de la vie sont souvent faits de hasards, de virages, de demi-tours. Pour Philippe comme pour les autres, la route a été mouvementée. Cadre citadin puis chômeur, coiffeur dans les trains et aujourd'hui bouquiniste rural, Philippe a divorcé, est tombé amoureux de Camille, l'a vue partir. Pour son entourage, gravitant autour de sa librairie au coeur d'un paisible petit village du Bordelais, point de lignes droites non plus : sa mère, veuve et nouvellement amoureuse, Decousso, son ami maçon à la tête et à l'arbre généalogique pleins de voyages, Camille, partie découvrir le monde, tous avancent au gré des hasards, des contraintes, des envies. Dans ce quatrième et dernier tome des "Gens honnêtes", chronique douce-amère créée par Jean-Pierre Gibrat et Christian Durieux, les chemins de Philippe et de ses proches vont pourtant enfin prendre sens, dans un dénouement sensible et tendre, à l'image des précédents épisodes. Un récit touchant, drôle et toujours juste.
La publication de l’édition intégrale m’a redonné envie de découvrir et voilà ce qui est fait.
Ohlala… quel bonheur de parcourir ces 500 pages et faire partie de la vie de Philippe et de sa tribu.
Un scénario qui emporte le lecteur pendant plusieurs années dans différents moments de la vie de Philippe et de sa famille/ses amis.
C’est crédible et on suit avec beaucoup de plaisir ces différents chamboulements que notre héros doit subir.
Tellement touché par tout ce petit monde… j’ai adoré à fond !!
Pour presque 300 pages c’est difficile de choisir des planches… mais voilà une image qui résume parfaitement le bonheur qu’on éprouve en lisant cette sublime saga…
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Re: Christian Durieux
Scénrio: Christian Perrissin
Geisha ou Le jeu du shamisen
Suite et fin de l’histoire autour de cette jeune femme.
Quand on suit une série, cela peut être contraignant de retrouver un deuxième tome après quelques mois. Va-t-on retrouver l’atmosphère du début… est-ce qu’on se rappelle des sensations de la première lecture ?
Eh bien, je dois dire, le premier épisode a fait si bonne impression, je n’avais aucun soucis de poursuivre la suite dès la première page.
J’ai adoré le scénario, mais je dois dire que je suis surtout subjuguée par les planches de Christian Durieux. Il a vraiment capturé ce Japon du début du XXème siècle.
Une beauté saisissante et des petits détails qui donnent une vraie force à cette histoire.
Très beau moment de lecture !
Geisha ou Le jeu du shamisen
Présentation de l’éditeur
Setsuko Tsuda a atteint ses 18 ans, et a terminé son apprentissage de geisha. Elle s’est spécialisée dans le jeu du shamisen, guitare à trois cordes qui accompagne le chant des geisha, et s’exerce dans la montagne auprès d’Okaa-san, la geisha qui l’a formée, tombée gravement malade. A l’auberge où elle réside, Setsuko rencontre un étudiant en littérature française, dont la fantaisie et la joie de vivre la fascine et lui ouvrent les portes d’un univers insoupçonné… Loin de l’okiya, la jeune femme va faire le point sur sa vie et son métier.
Suite et fin de l’histoire autour de cette jeune femme.
Quand on suit une série, cela peut être contraignant de retrouver un deuxième tome après quelques mois. Va-t-on retrouver l’atmosphère du début… est-ce qu’on se rappelle des sensations de la première lecture ?
Eh bien, je dois dire, le premier épisode a fait si bonne impression, je n’avais aucun soucis de poursuivre la suite dès la première page.
J’ai adoré le scénario, mais je dois dire que je suis surtout subjuguée par les planches de Christian Durieux. Il a vraiment capturé ce Japon du début du XXème siècle.
Une beauté saisissante et des petits détails qui donnent une vraie force à cette histoire.
Très beau moment de lecture !
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