Christian Perrissin
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Christian Perrissin
Christian Perrissin, né le 1er janvier 1964 en France, est scénariste de bande dessinée.
source et suite
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Life is a lot like Jazz
Best when you improvise
George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Images: Tom Tirabosco
Kongo
Grand, grand, grand coup de cœur pour cette BD ! Extraordinaire !!
Aussi bien côté scénario que côté images, c’est un sans faute!
C’est passionnant de voir la source de ce livre magistral qu’est Au cœur des ténèbres. Les images font l’effet qu’on s’y croit. Voilà qu’on n’a pas seulement devant soi une partie de la biographie de l’auteur, mais en même temps une sorte de visuel pour le roman (et même plus, si on considère qu’il a d’abord écrit Un avant-poste du progrès avant de retourner avec Au cœur des ténèbres une 2e fois au Kongo et vraiment venir au bout de ses souvenirs).
Six pages en fin du livre sont consacrés aux suites du voyage de Conrad et après avoir suivi ses aventures au Kongo, on ne s’étonne pas qu’il a eu, à côté de ses maladies physiques, des dépressions pour se remettre de tout.
Bien qu’il va encore retrouver du travail sur un bateau après ses expériences au Congo, il se met plus sérieusement à écrire…. Et comme le dit Christian Perrissin si bien: Josef Teodor Konrad Korzeniowski a vécu, place à Joseph Conrad..
Envie de retrouver Conrad, envie de relire cette BD, envie de découvrir plus de Christian Perrissin…
Kongo
Présentation de l’éditeur
Mai 1890. Le capitaine au long cours de la marine britannique, Josef Konrad Korzeniowski quitte Bruxelles, puis Bordeaux pour le Congo, en dépit d’un sentiment d’appréhension inhabituel chez lui… Il part pour trois ans, mais qu’est-ce pour lui, après six années passées en Orient, ou son séjour en Australie. Il a été embauché par une compagnie belge, pour prendre le commandement d’un steamer, afin de remonter le fleuve jusqu’au Haut-Congo, une région de ténèbres... Car là est officiellement leur mission à tous ces messagers de lumière. Au nom du roi Léopold, « tout ce qui se réalise au Congo à pour but premier le développement du territoire et l’émancipation des populations » qu’il faut sauver de leurs mœurs effroyables. La réalité est bien sûr tout autre, il s’agit avant tout de pourvoir aux intérêts commerciaux de la compagnie via le trafic d’ivoire, et de prendre de vitesse les autres pays européens et arabes dans leur course à la colonisation, afin d’être les premiers à arracher les richesses des entrailles de ce pays…
Grand, grand, grand coup de cœur pour cette BD ! Extraordinaire !!
Aussi bien côté scénario que côté images, c’est un sans faute!
C’est passionnant de voir la source de ce livre magistral qu’est Au cœur des ténèbres. Les images font l’effet qu’on s’y croit. Voilà qu’on n’a pas seulement devant soi une partie de la biographie de l’auteur, mais en même temps une sorte de visuel pour le roman (et même plus, si on considère qu’il a d’abord écrit Un avant-poste du progrès avant de retourner avec Au cœur des ténèbres une 2e fois au Kongo et vraiment venir au bout de ses souvenirs).
Six pages en fin du livre sont consacrés aux suites du voyage de Conrad et après avoir suivi ses aventures au Kongo, on ne s’étonne pas qu’il a eu, à côté de ses maladies physiques, des dépressions pour se remettre de tout.
Bien qu’il va encore retrouver du travail sur un bateau après ses expériences au Congo, il se met plus sérieusement à écrire…. Et comme le dit Christian Perrissin si bien: Josef Teodor Konrad Korzeniowski a vécu, place à Joseph Conrad..
Envie de retrouver Conrad, envie de relire cette BD, envie de découvrir plus de Christian Perrissin…
Dernière édition par kenavo le Dim 22 Oct - 6:59, édité 1 fois
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George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Dessins: Matthieu Blanchin
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Martha Jane Cannary (1852-1903)
(Tome 1-Les années 1852-1869)
(Tome 2-Les années 1870-1876)
(Tome 3-Les dernières années 1877-1903)
La vie aventureuse de celle que l'on nommait Calamity Jane
Pendant trois longs tomes avec plein de choses à lire, on ressort de cette lecture avec toute une panoplie d’informations sur la vie de Calamity Jane, ce qui n’était pas donné, puisqu’elle a laissé très peu de ‘vérités’ (elle adorait raconter des histoires et du coup on doit s’imaginer qu’elle a inventé plus d’une de ses aventures), mais on voit aussi ce développement de l’ouest des Etats-Unis.
Extraordinaire. Aussi bien sur le plan du scénario que sur les images, rien à dire, c’est une réussite !
Je viens de vivre tout un tas d’aventures et je peux compter un autre personnage parmi mes ‘connaissances’, impossible de sortir de cet opus et ne pas avoir l’impression d’avoir au moins traversé un peu la route ensemble avec Martha Jane…
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Martha Jane Cannary (1852-1903)
(Tome 1-Les années 1852-1869)
(Tome 2-Les années 1870-1876)
(Tome 3-Les dernières années 1877-1903)
La vie aventureuse de celle que l'on nommait Calamity Jane
Quelle vie ! Quelle aventure ! Et quel défi de mettre tout cela dans une BD. Exploit réussi, plus que cela, très réussi !Présentation de l'éditeur
Martha Jane Cannary est certainement l'une des personnalités les plus connus des États Unis d'Amérique, sous le nom de Calamity Jane. Mais qui est-elle réellement ? Christian Perrissin et Matthieu Blanchin se sont penchés sur les écrits de Calamity Jane, Les Lettre à sa fille, et sur de nombreux autres écrits pour nous raconter la vie de cette aventurière, célèbre, mais assez méconnue, qui a croisé le Général Custer, et dont le grand amour se nommait Wild Bill Hickok. Mais c'est avant tout le portrait d'une femme que les auteurs dévoilent au-delà du mythe dans cette trilogie intimiste à grand spectacle.
Née le 1er mai 1852 dans le Missouri, elle est l'aînée d'une famille de six enfants. Ses parents, de pauvres agriculteurs décident de tout abandonner pour aller vers l'Ouest, à Salt Lake City, où vit la plus grande communauté mormone. Elle a 15 ans quand ses parents meurent. Élevant seule sa fratrie, elle se retrouve contrainte de les abandonner pour ne pas avoir à se marier avec un homme qui la convoite. Sa vie aventureuse commence. Un peu partout sur les territoires des Wyoming, Dakota et Montana, on repérera le passage de cette extravagante jeune femme, cocher de diligence un jour, serveuse de saloon le lendemain, cow-girl, sage-femme, poseur de rails... mille petits boulots qui contribueront à lui tailler une réputation sulfureuse dans un Ouest à la fois sauvage et puritain et qui lui vaudront son surnom.
Pendant trois longs tomes avec plein de choses à lire, on ressort de cette lecture avec toute une panoplie d’informations sur la vie de Calamity Jane, ce qui n’était pas donné, puisqu’elle a laissé très peu de ‘vérités’ (elle adorait raconter des histoires et du coup on doit s’imaginer qu’elle a inventé plus d’une de ses aventures), mais on voit aussi ce développement de l’ouest des Etats-Unis.
Extraordinaire. Aussi bien sur le plan du scénario que sur les images, rien à dire, c’est une réussite !
Je viens de vivre tout un tas d’aventures et je peux compter un autre personnage parmi mes ‘connaissances’, impossible de sortir de cet opus et ne pas avoir l’impression d’avoir au moins traversé un peu la route ensemble avec Martha Jane…
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George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Dessins: Guillaume Martinez
Une Vie
(Tome 1-1916 : Land Priors): Winston Smith (1903-1984). La biographie retrouvée
Mais chapeau bas pour Christian Perrissin, il induit bien son lecteur en erreur. Quel talent ! Jusqu’à la fin du livre j’ai lancé à plusieurs reprises des recherches… surtout vers la fin quand il sort des photographies, apparemment trouvés dans les biens de ce Winston…
Mais quel plaisir fût cette lecture !
Un pur régal !!
L’Angleterre et ses écoles privées, tout un monde à découvrir et aussi bien côté scénario que dessin, c’est réjouissant de suivre ce garçon lors de ces premières années…
J’en ressors enthousiaste et j’attends la suite avec impatience !
Une Vie
(Tome 1-1916 : Land Priors): Winston Smith (1903-1984). La biographie retrouvée
Inutile de faire des recherches, Dover W. Smith n’a jamais existé ! Le seul personnage qu’on retrouve avec ces données, c’est Winston Smith, personnage principal du roman 1984 de George Orwell.Présentation de l’éditeur
Dover W. Smith dit Winston : né à Douvres en 1903, écrivain et journaliste anglais. Décédé accidentellement en France en 1984. Après avoir étudié à Eton, il part en Chine en pleine tourmente révolutionnaire. Compagnon d'armes de George Orwell sur le front d'Aragon en Espagne, agent du MI-6 pendant la Seconde Guerre mondiale, la vie et l'œuvre de Smith sont imprégnées des grands bouleversements de la première moitié du XXe siècle.
Au début des années 50, il séjourne en Afrique équatoriale, avant de s'installer en Californie où il devient scénariste pour Hollywood. Il se retire dans les Alpes françaises au début des années 70 où il disparaîtra au cours d'une promenade en juin 1984.
Smith laissera une autobiographie inachevée dans laquelle il se livre sans concession (Une vie, Gallimard, 1985).
Cette autobiographie, Christian Perrissin la découvre chez un bouquiniste, et la première lecture est un enchantement. Une vie est l'adaptation de cette autobiographie. Elle relate une de ces existences comme ont pu l'être celles d'Hemingway, Graham Greene ou Kessel... Une formidable génération d'écrivains qui vivaient le plus intensément possible, aux quatre coins du monde, pour ensuite pouvoir livrer à leurs lecteurs des récits qui n'auraient pu être écrits par aucun autre.
Une existence hors du commun qui devient, grâce à Christian Perrissin et Guillaume Martinez, la peinture de toutes les espérances d'une époque à travers cette bande dessinée en six volumes !
Mais chapeau bas pour Christian Perrissin, il induit bien son lecteur en erreur. Quel talent ! Jusqu’à la fin du livre j’ai lancé à plusieurs reprises des recherches… surtout vers la fin quand il sort des photographies, apparemment trouvés dans les biens de ce Winston…
Mais quel plaisir fût cette lecture !
Un pur régal !!
L’Angleterre et ses écoles privées, tout un monde à découvrir et aussi bien côté scénario que dessin, c’est réjouissant de suivre ce garçon lors de ces premières années…
J’en ressors enthousiaste et j’attends la suite avec impatience !
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George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Dessins : Boro Pavlovic
Alexandra David-Néel : Les Chemins de Lhassa
Naturellement il montre des événements précédents ce grand moment dans la vie de l’exploratrice. Mais cette passion de voir la ville défendue, est au centre de cette BD.
Le scénario est impeccable, les planches sont très jolies… mais il m’a manqué un petit bout pour être aussi enthousiaste que pour l’autre livre.
Peut-être l’aspect plus personnel m’a touché plus dans la version de Fred Campoy.
Mais n’importe laquelle des deux on veut lire, Alexandra David-Néel mérite toute cette attenion.
Alexandra David-Néel : Les Chemins de Lhassa
Contrairement à Fred Campoy, Christian Perrissin a choisi de se concentrer sur seulement un événement majeure d’Alexandra David-Néel. Son entrée à Lhassa.Présentation de l’éditeur
L'odyssée d'une femme éprise de liberté.
Gyantsé Tibet, mai 1924.
David MacDonald, agent de l'empire britannique, reçoit la visite d'un jeune lama et d'une européenne. Voilà 13 ans qu'Alexandra David-Néel parcourt l'Asie, accompagnée d'Aphur, son boy devenu fils adoptif. Un voyage hors-norme à la découverte de civilisations et de cultures qui dépassent l'Occident.
Elle a rencontré des rois, des Maharajas, et même le Dalaï-Lama en personne ! Point d'orgue de son périple : elle a séjourné à Lhassa, la ville interdite, pendant plusieurs mois, déguisée en mendiante. Une prouesse qu'aucune Occidentale n'avait accomplie avant elle...
Christian Perrissin et Boro Pavlovic nous font découvrir le parcours passionnant de l'une des exploratrices les plus célèbres de l'Histoire.
Un nouvel album au goût d'ailleurs de la collection "Explora", toujours accompagné d'un dossier pédagogique éclairant le contexte historique et politique de l'époque.
Naturellement il montre des événements précédents ce grand moment dans la vie de l’exploratrice. Mais cette passion de voir la ville défendue, est au centre de cette BD.
Le scénario est impeccable, les planches sont très jolies… mais il m’a manqué un petit bout pour être aussi enthousiaste que pour l’autre livre.
Peut-être l’aspect plus personnel m’a touché plus dans la version de Fred Campoy.
Mais n’importe laquelle des deux on veut lire, Alexandra David-Néel mérite toute cette attenion.
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George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Dessins: Guillaume Martinez
Une Vie
(Tome 2-King's scholar : 1917-1921): Winston Smith (1903-1984). La biographie retrouvée
Un bon mélange entre la trame de l’histoire qui montre la jeune femme qui découvre la biographie de Winston Smith et les pages qui montrent Winston Smith et son entrée à Eton.
Une BD avec laquelle on passe un très bon moment et dont on n’a qu’un souhait : voir la suite !
Une Vie
(Tome 2-King's scholar : 1917-1921): Winston Smith (1903-1984). La biographie retrouvée
L’aventure continue. Et c’est aussi bien que dans le premier tome.Présentation de l’éditeur
Dover W. Smith dit Winston : né à Douvres en 1903, écrivain et journaliste anglais. Décédé accidentellement en France en 1984. Après avoir étudié à Eton, il part en Chine en pleine tourmente révolutionnaire. Compagnon d'armes de George Orwell sur le front d'Aragon en Espagne, agent du MI-6 pendant la Seconde Guerre mondiale, la vie et l'œuvre de Smith sont imprégnées des grands bouleversements de la première moitié du XXe siècle.
Au début des années 50, il séjourne en Afrique équatoriale, avant de s'installer en Californie où il devient scénariste pour Hollywood. Il se retire dans les Alpes françaises au début des années 70 où il disparaîtra au cours d'une promenade en juin 1984.
Smith laissera une autobiographie inachevée dans laquelle il se livre sans concession (Une vie, Gallimard, 1985).
Cette autobiographie, Christian Perrissin la découvre chez un bouquiniste, et la première lecture est un enchantement. Une vie est l'adaptation de cette autobiographie. Elle relate une de ces existences comme ont pu l'être celles d'Hemingway, Graham Greene ou Kessel... Une formidable génération d'écrivains qui vivaient le plus intensément possible, aux quatre coins du monde, pour ensuite pouvoir livrer à leurs lecteurs des récits qui n'auraient pu être écrits par aucun autre.
Une existence hors du commun qui devient, grâce à Christian Perrissin et Guillaume Martinez, la peinture de toutes les espérances d'une époque à travers cette bande dessinée en six volumes !
Un bon mélange entre la trame de l’histoire qui montre la jeune femme qui découvre la biographie de Winston Smith et les pages qui montrent Winston Smith et son entrée à Eton.
Une BD avec laquelle on passe un très bon moment et dont on n’a qu’un souhait : voir la suite !
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George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Dessins : Christian Durieux
Geisha ou le jeu du shamisen
C’est un univers tout à fait à part et fascinant. Les règles et le mode de vie étaient prédéfinis.
Si on s’intéresse à ce sujet, cette BD est vraiment une bonne découverte.
J’aime bien le scénariste aussi bien que l’illustrateur, j’attends la suite…
Les premières pages
Geisha ou le jeu du shamisen
Ma première rencontre avec le monde des Geishas s’est fait dans les romans de Kafū Nagai.Présentation de l'éditeur
Japon, 1912. Setsuko Tsuda a 8 ans quand elle quitte avec ses parents leur village pour la grande ville côtière, dernier espoir d’une vie meilleure. Elle chemine derrière son père, un samouraï déchu qui oublie sa ruine dans les vapeurs d’alcool, avec sa soeur et sa mère, servante éternelle du patriarche.
Les premiers temps sont prometteurs. Mais son père est fauché par un tramway. Il perd sa jambe, et tout espoir de trouver un travail. La fillette est alors vendue à une maison réputée de geisha et fera l’apprentissage des arts. Il lui faudra savoir chanter, danser, marcher avec autant d’élégance que de talent afin d’éviter de devenir servante à son tour, ou prostituée. L’enfant a un don pour le shamisen. À savoir jouer de cette guitare à trois cordes, elle peut diriger sa vie. À devenir geisha, elle pourra assurer la survie de sa famille et s’assurer un avenir. Mais rien ne sera facile pour l’enfant au visage disgracieux et à l’allure sauvage. Elle deviendra Kitsune, la renarde…
Un récit en bande dessinée éminemment romanesque, écrit et bâti sur une filmographie japonaise qui aura certainement inspirée les plans choisis par Durieux, et dont les noirs et blancs sont à lire comme un hommage au cinéma des années 30. Geisha ou le jeu du shamisen s’appuie aussi sur une bibliographie japonisante, de Taniguchi à Bouvier, rendant un vibrant hommage aux femmes cultivées du Japon traditionnel qui fascinent autant qu’elles intriguent. Perrissin, d’une écriture délicate, raconte une histoire incarnée et mélancolique portée par les noirs raffinés de Durieux. Le temps des geisha est ravivé.
C’est un univers tout à fait à part et fascinant. Les règles et le mode de vie étaient prédéfinis.
Si on s’intéresse à ce sujet, cette BD est vraiment une bonne découverte.
J’aime bien le scénariste aussi bien que l’illustrateur, j’attends la suite…
Les premières pages
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Best when you improvise
George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Dessins: Guillaume Martinez
Une Vie
(Tome 3-A chinese year : Mars 1925 - avril 1926): Winston Smith (1903-1984). La biographie retrouvée
Ce moment en Chine des années 1925-1926 redonne très bien l’atmosphère des colonies britanniques.
Et c’est plus que malicieux de faire rencontrer Winston Smith, personnage d’un roman de George Orwell, l’auteur-même lors de sa visite en Orient…
J’adore tous ces petits clins d’œil, cette histoire fait revisiter le XXème siècle d’une manière tout à fait fascinante.
J’attends la suite…
Une Vie
(Tome 3-A chinese year : Mars 1925 - avril 1926): Winston Smith (1903-1984). La biographie retrouvée
Chapeau bas pour ce scénario… c’est ingénieux, passionnant et tellement prenant… je suis adepte.Présentation de l’éditeur
Christian Perrissin et Guillaume Martinez nous entraînent à la suite d’un certain Winston Smith, écrivain et reporter anglais, qui va traverser le siècle et faire des rencontres marquantes : Aldous Huxley, Orwell… En 1925, le voici à Shangaï en pleine révolution…
Ce moment en Chine des années 1925-1926 redonne très bien l’atmosphère des colonies britanniques.
Et c’est plus que malicieux de faire rencontrer Winston Smith, personnage d’un roman de George Orwell, l’auteur-même lors de sa visite en Orient…
J’adore tous ces petits clins d’œil, cette histoire fait revisiter le XXème siècle d’une manière tout à fait fascinante.
J’attends la suite…
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George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Ca m'a l'air bien sympa à lire, et passionnant aussi, cette série sur ce fameux Winston Smith. Les planches sont très soignées en tout cas, les détails etc...
Si je trouve la première quelque part (A la Bibli pour commencer) je jette un coup d'oeil, voire plus :-)
Si je trouve la première quelque part (A la Bibli pour commencer) je jette un coup d'oeil, voire plus :-)
Aeriale- Messages : 11937
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Christian Perrissin
ah oui, ce serait trop chouette, cette série est vraiment extraordinaire - aussi bien côté scénario qu'images
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George Gershwin
Re: Christian Perrissin
Dessins : Christian Durieux
Geisha ou Le jeu du shamisen
Suite et fin de l’histoire autour de cette jeune femme.
Quand on suit une série, cela peut être contraignant de retrouver un deuxième tome après quelques mois. Va-t-on retrouver l’atmosphère du début… est-ce qu’on se rappelle des sensations de la première lecture ?
Eh bien, je dois dire, le premier épisode a fait si bonne impression, je n’avais aucun soucis de poursuivre la suite dès la première page.
J’ai adoré le scénario, mais je dois dire que je suis surtout subjuguée par les planches de Christian Durieux. Il a vraiment capturé ce Japon du début du XXème siècle.
Une beauté saisissante et des petits détails qui donnent une vraie force à cette histoire.
Très beau moment de lecture !
Geisha ou Le jeu du shamisen
Présentation de l’éditeur
Setsuko Tsuda a atteint ses 18 ans, et a terminé son apprentissage de geisha. Elle s’est spécialisée dans le jeu du shamisen, guitare à trois cordes qui accompagne le chant des geisha, et s’exerce dans la montagne auprès d’Okaa-san, la geisha qui l’a formée, tombée gravement malade. A l’auberge où elle réside, Setsuko rencontre un étudiant en littérature française, dont la fantaisie et la joie de vivre la fascine et lui ouvrent les portes d’un univers insoupçonné… Loin de l’okiya, la jeune femme va faire le point sur sa vie et son métier.
Suite et fin de l’histoire autour de cette jeune femme.
Quand on suit une série, cela peut être contraignant de retrouver un deuxième tome après quelques mois. Va-t-on retrouver l’atmosphère du début… est-ce qu’on se rappelle des sensations de la première lecture ?
Eh bien, je dois dire, le premier épisode a fait si bonne impression, je n’avais aucun soucis de poursuivre la suite dès la première page.
J’ai adoré le scénario, mais je dois dire que je suis surtout subjuguée par les planches de Christian Durieux. Il a vraiment capturé ce Japon du début du XXème siècle.
Une beauté saisissante et des petits détails qui donnent une vraie force à cette histoire.
Très beau moment de lecture !
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