Edward Hopper
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Re: Edward Hopper
Histoire : Robert Burleigh, Illustrations : Wendell Minor
Edward Hopper
Paints His World
Ce qui est étonnant – je n’ai pas trouvé un commentaire de ma part.
L’histoire raconte le parcours de Edward Hopper pour amener les jeunes lecteurs à faire connaissance avec lui.
Wendell Minor a crée les images justes pour illustrer le tout.
Bonne première entrée dans le monde de Robert Burleigh et belle approche du « géant » Hopper.
Edward Hopper
Paints His World
Ma première rencontre avec Robert Burleigh s’est faite avec cet album. Pas étonnant si on considère l’artiste dont il parle.Présentation de l’éditeur
As a boy, Edward Hopper knew exactly what he wanted to be when he grew up: on the cover of his pencil box, he wrote the words EDWARD HOPPER, WOULD-BE ARTIST. He travelled to New York and to Paris to hone his craft. And even though no one wanted to buy his paintings for a long time, he never stopped believing in his dream to be an artist. He was fascinated with painting light and shadow, and his works explore this challenge. Edward Hopper's story is one of courage, resilience, and determination. In this striking picture book biography, Robert Burleigh and Wendell Minor invite young readers into the world of a truly special American painter (most celebrated for his paintings Nighthawks and Gas).
Ce qui est étonnant – je n’ai pas trouvé un commentaire de ma part.
L’histoire raconte le parcours de Edward Hopper pour amener les jeunes lecteurs à faire connaissance avec lui.
Wendell Minor a crée les images justes pour illustrer le tout.
Bonne première entrée dans le monde de Robert Burleigh et belle approche du « géant » Hopper.
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George Gershwin
Re: Edward Hopper
oui, je l'aime aussi beaucoup...
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Re: Edward Hopper
Ah oui... toujours super d’en découvrir de nouvelles :-)
Aeriale- Messages : 11930
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Edward Hopper
Invitation au voyage - Nos inspirations
Lumières de Nouvelle-Angleterre
Le Massachusetts d'Edward Hopper
Une presqu'île baignée de soleil, des dunes de sable qui s’étendent à perte de vue : sur la côte Est des États-Unis, dans l’État du Massachusetts, Cape Cod est une langue de terre un peu isolée à la nature intacte. Dans les années 1930, Edward Hopper, le plus grand peintre réaliste américain du XXe siècle, va trouver ici une lumière particulière qui fera jaillir ses couleurs.
Disponible jusqu’au 22/04/2022 : ici
Les images de ce reportage :
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Re: Edward Hopper
Stairway at 48 rue de Lille, Paris
Edward Hopper, vingt-quatre ans, est planté devant le 48 rue de Lille à Paris. La façade de l’église baptiste est austère et frileuse ce mois de novembre 1906. Madame Jammes lui sous-loue une chambre dans l’appartement qu’elle occupe dans l’immeuble. Aujourd’hui à midi, elle a mitonné une saucisse de Morteau aux lentilles et Edward se caresse le ventre de contentement. Puis, serrant contre lui son carnet de dessin, il prend la direction du Quartier latin.
Marc Villard, Nouvelle : Rue des Lombards
Chop Suey
- Nous ferons quoi dans ce coffee shop ? dit John.
- Vous prendrez une table et vous commanderez des boissons. Vous n’aurez rien à faire de spécial. J’ai surtout besoin d’avoir les consommateurs en premier plan avec l’enseigne lumineuse Shop Suey derrière, ça peut être intéressant.
Marc Villard, Nouvelle : L’homme aux doigts d’or
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Re: Edward Hopper
Javier Santiso, Un pas de deux
Bon, j’ai tenté… mais bien que j’ai déjà eu plein d’informations que la relation entre Jo et Edward n’était par moment pas très bonne et que Edward pouvait vraiment être quelqu’un de trèèèès spécial… Javier Santiso m’était quand même trop lourd.Présentation de l’éditeur
"Parfois, je rêve, je me vois donnant des coups de pinceau, le sang me monte aux yeux, je reprends du poil de la bête, je saccage les verts, laisse tomber des chapes de bleus sur la toile. Je suis alors aux anges, au milieu des tubes, je patauge au milieu des flaques de couleurs, et l’homme qui est à côté sans y être ne devient plus qu’un lointain souvenir, un feu follet, un crissement sur le grain de la toile."
Ce roman est le portrait d’Edward Hopper à travers les yeux de sa femme, elle aussi artiste. Josephine réalise le constat sans concession d’une existence emmurée à l’ombre d’un homme pour lequel elle a tout sacrifié. Cet amant qui n’a cessé de s’éloigner, elle ne l’a retenu qu’en devenant son modèle, et finalement toutes les femmes à la fois, à défaut d’être la sienne.
L’histoire magnifique et cruelle de ce couple est portée par une langue lumineuse, habitée, qui permet d’explorer la profondeur et l’ambivalence des sentiments.
Je veux bien accepter qu’on peut aussi dire du négatif de personnages fameux… mais quand je n’ai moi-même après les premiers chapitres plus envie de reprendre le livre puisque cette lecture me donne la flemme… non, ce n’était pas un livre pour moi…
Avis aux amateurs.
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Re: Edward Hopper
Tiens... Je n'imaginais pas Hopper sous cet angle, surtout par rapport à sa femme.
Dommage ça aurait pu être intéressant, mais là je crains..
Dommage ça aurait pu être intéressant, mais là je crains..
Aeriale- Messages : 11930
Date d'inscription : 30/11/2016
Re: Edward Hopper
Edward Hopper : une histoire américaine
Une exploration de l’œuvre du peintre américain Edward Hopper (1882-1967), dont l’univers urbain et mélancolique résonne puissamment avec son époque et avec une vie intime solitaire et conflictuelle.
Pour ses paysages urbains déserts baignés d’une lumière froide, ses scènes de café ou d’intérieur habités de personnages solitaires, introspectifs, Edward Hopper s’est imposé comme l’un des artistes américains majeurs du XXe siècle.
Produit de son époque et de sa génération, observateur critique d’une société placée sous le signe de la vitesse et de la modernité, il se singularise par sa trajectoire artistique s’affranchissant des modes – il restera toute sa vie indifférent à l’abstraction –, et par ses toiles à l’atmosphère silencieuse et énigmatique, reflets de son propre caractère taciturne.
L’œuvre de Hopper se lit volontiers à l’aune d’un parcours personnel qui l’amène de New York à la côte du Massachusetts en passant par des années de formation à Paris, et d’une vie conjugale à la fois stimulante et orageuse. Son épouse, Josephine Nivison, elle-même peintre, deviendra ainsi son agente et son unique modèle, mettant de côté sa propre carrière pour promouvoir avec succès la production de son mari, jusqu’à sa mort en 1967.
Inconscient collectif
En multipliant les allers-retours entre la vie d’Edward Hopper, son époque et ses toiles, le documentariste Phil Grabsky propose une stimulante redécouverte de cette figure iconique de l’art moderne dont l’œuvre, bien qu’entrée dans l’inconscient collectif américain, aura pourtant eu peu d’héritiers. En plus d’explorer ses œuvres, des plus emblématiques – Chop Suey ou Nighthawks – aux moins connues, ce documentaire s’appuie également sur de touchantes archives ainsi que sur les carnets d’Edward Hopper et ceux de son épouse, dont le rôle décisif à ses côtés mérite d’être remis en lumière. Si ses œuvres peuvent se lire comme des histoires, le film laisse cependant le soin au spectateur de trancher quant à leur signification profonde. Car selon Hopper, "c’est probablement le regard que chacun porte sur la toile qui détermine ce qu’elle est".
Disponible jusqu’au au 03/06/2024 : ici
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